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samedi, 01 décembre 2018

Danièle Obono, députée de La France insoumise, nommée à la Sorbonne

Publié par Guy Jovelin le 01 décembre 2018

Par  le 30/11/2018

 

Sa nomination au conseil d’administration de l’UFR de science politique de Paris-I fait tiquer certains enseignants, qui soulignent sa proximité avec les Indigènes de la République.

Vendredi 23 octobre, la députée de La France insoumise Danièle Obono, qui ne cache pas sa proximité avec les Indigènes de la République, a été nommée au conseil d’administration de l’UFR (Unité de formation et de recherche) de science politique de la plus prestigieuse université française, Paris-I-Panthéon-Sorbonne. Danièle Obono y siège en tant que personnalité extérieure, au titre de parlementaire. En 2017, la députée avait provoqué une grosse polémique en prenant la défense d’Houria Bouteldja, la porte-parole du Parti des indigènes de la République (PIR), et en affirmant la considérer comme une camarade (…)

L’Obs via fdesouche

mercredi, 13 juin 2018

Danièle Obono : une bourgeoise chez Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 12 juin 2018.

Danièle Obono, une députée sans le sou

Interviewée par Jean-Jacques Bourdin hier matin, la députée mélenchoniste Danièle Obono a réussi son exercice médiatique. En effet, son interview qui a enchaîné les clichés et les bêtises est finalement sortie de la triste norme politicienne habituelle. Obono a tiré la sonnette d’alarme en raison d’indemnités de député trop faibles ! On savait que les Français étaient dans la mouise, mais de là à ce que nos chers élus soient sans le sou !

En Marche – Les Insoumis : même combat ? Alors que la presse tente de faire croire que Mélenchon est le premier des opposants à la politique macronienne, ses ouailles semblent avoir été rapidement contaminées par l’idéologie dominante sur les bancs de l’Assemblée. Le toujours plus de fric prévaut et fonctionne avec d’autant plus de facilités qu’il vient directement des impôts des Français. Ainsi l’ancienne bibliothécaire trotskiste, Danièle Obono, s’est émue de la situation intenable de ses collègues députés qui doivent se payer un toit à Paris pour pouvoir être présents sur les bancs de l’Assemblée la semaine.

Députés – SDF : une même vie de misère

« Vous voulez qu’on les loge où, les députés ? Ils pourraient avoir les moyens de se loger s’ils avaient une indemnité suffisante pour le faire ». La bombe est lancée par Danièle Obono. Les députés ne sont pas loin d’aller crécher dans des centres d’urgence faute de pouvoir se payer un logement dans une ville aussi chère que Paris. Que fait la mairie socialiste d’Anne Hidalgo ? Que fait l’Etat face à cette situation indécente qui plonge dans la misère l’élite de la France ? L’Etat ne donne que 7 209,74 euros bruts mensuels (au minimum) à chacun des députés. Une misère selon Obono qui est peut-être plus habituée à des sommes ronflantes avec son salaire de petite fonctionnaire et une thèse universitaire commencée en 2003 et qui attend toujours une conclusion…

Rendez-vous compte ! L’indemnité de base n’est que de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 167,99 euros est versée et une indemnité de fonction de seulement 1 441,95 euros est accordée. Comment vivre avec si peu ? Il est temps que les Français payent plus d’impôts pour que les députés puissent vivre décemment. Ce ne sont pas les 1 200 euros supplémentaires mensuels – justement pour louer un logement – que peuvent demander les députés non Franciliens qui vont changer la donne. Il leur faut un salaire décent et vite !

Obono a vite compris le fonctionnement de la machine politique. Il faut se servir avant de songer à servir les autres. Cela concerne apparemment même les députés soit disant les plus proches du peuple… Le Front de Gauche est une véritable cour des miracles. Après le couple léniniste, voici la députée prolo-bourgeoise trotskiste. Le prochain numéro risque de détonner !

L’Assemblée nationale ferait bien de ne pas revenir sur sa politique accommodante avec les députés sans toit. Car ce que ne dit pas non plus Obono, c’est que l’argent des Français sert aussi à rembourser les frais d’hôtel des députés lorsqu’ils sont à Paris à raison de 200 euros par nuitée maximum. Un pécule minuscule qui serait à l’origine d’une révolution de masse si jamais il venait à être supprimé. Mais que la députée se rassure, les parlementaires votent rarement des lois qui vont contre leurs intérêts… Penser aux autres d’accord, mais penser à soi c’est encore mieux.

Une question se pose désormais à Obono et sa vocation immigrationniste. Comment accueillir des centaines de milliers de « migrants » dans des conditions décentes si la République n’est pas capable de s’occuper de ses propres parlementaires ? Autant dire à nos lecteurs que cette question ne trouvera pas de réponse même avec l’aide de son mentor Jean-Luc Mélenchon.

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 26 novembre 2017

DANIÈLE OBONO LÉGITIME LE RACISME ANTI-BLANC : PAS DE JUGE POUR DEMANDER LA LEVÉE DE SON IMMUNITÉ ?

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2017

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 Vincent Vauclin (Boulevard Voltaire)

Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d’obédience mélenchoniste, s’est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la « non-mixité raciale » de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.

Ne pouvant s’empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d’une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s’en indigner et s’interroger sur les dérives de cette « lutte contre les discriminations » qui oscille aujourd’hui entre le grotesque totalitaire et l’hystérie collective.

On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette « élue de la nation » semblait incapable de prononcer ces quelques mots : « Vive la France ». Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau « Nique la France » où l’on fustigeait le « paternalisme et le colonialisme » de notre pays. Ou encore de sa « fraternisation » avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s’était notamment distinguée en qualifiant les Français de « souchiens ». De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.

Mais si ses acolytes d’extrême gauche feignent l’indignation, c’est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n’est pas en rupture avec l’idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu’en pousser la mécanique jusqu’à ses conclusions logiques.

Et c’est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.
 
À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement – dont il s’agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l’ampleur et les implications -, l’urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.

Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l’arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu’il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue.

On peut, enfin, s’interroger sur l’inertie de la Justice républicaine – pourtant prompte à condamner sans relâche les « incitations à la haine raciale » et à demander des levées d’immunité parlementaire d’élus mal-pensants – qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu’il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.

 

Source : synthesenationale

vendredi, 23 juin 2017

Danièle Obono, le nouveau député qui veut permettre de « niquer la France »

Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2017

Connaissez-vous Danièle Obono ? Cette jeune femme née au Gabon est devenue député en France au soir du second tour des législatives.

Elue sur la liste de la France Insoumise – le parti de Jean-Luc Mélenchon -, Danièle Obono a déjà un « passé » à l’extrême gauche : LCR, NPA, mais aussi une grande proximité affichée avec le Parti des Indigènes de la République (PIR).

Danièle Obono a aussi la particularité d’avoir signé une pétition pour permettre de « niquer la France ».

Est-ce compatible avec la fonction de député ? Elle ne voit pas le problème…

 

Source :medias-presse.info