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mercredi, 13 février 2019

Taxe carbone : la Macronie prépare déjà son retour !

Publié par Guy Jovelin le 13 février 2019

Rédigé par notre équipe le 12 février 2019.

Et si le pouvoir macronien se foutait complètement du monde ? Ce sentiment est déjà partagé par des millions de Français, mais il pourrait finir par s’emparer des quelques irréductibles qui souhaitent donner sa chance au produit Macron malgré sa date de péremption dépassée. En effet, non content d’embobiner les Français avec le grand débat, la Macronie songe à voix haute à augmenter la taxe carbone… Ont-ils la mémoire si courte pour oublier que les gilets jaunes se sont levés en premier lieu contre cette taxe inique ? Les « marcheurs » n’ont en fait rien oublié, ils pratiquent juste la révolution macronienne.

Ecouter les Cerbères de la Macronie est toujours une épreuve pour les oreilles et l’esprit. Il y a du cynisme, de la mauvaise foi, parfois des mensonges éhontés et une idéologie à faire pâlir d’envie les plus sectaires. Pourtant, au sein de cette boite à horreurs, on trouve parfois des informations (qui font, certes, froid dans le dos). Ainsi, en l’espace de deux jours, deux macroniens influents n’ont rien trouvé de mieux à dire que la taxe carbone allait certainement signer son grand retour. Les Français sont descendus en masse dans la rue pour la suppression de la hausse de cette taxe et le pouvoir n’a qu’une idée en tête : imposer une nouvelle augmentation.

Trois mois de mobilisation pour rien ?  

C’est ce qu’on appelle la révolution macronienne. On part d’une situation, on fait un tour à 360° et on en revient à la situation initiale. Malheureusement, cela se passe avec les pires délires du pouvoir. L’augmentation prévue de la taxe carbone a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, mais une fois la colère déversée, l’inique Macronie (pléonasme) se plait à invoquer le retour de cette même taxe. Le coup a été porté par deux soldats de Jupiter. Brune Poirson, Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique a lancé la première charge ce dimanche, l’air de rien. La taxe carbone (dont la majeure partie des dividendes n’est pas utilisée à des fins écologiques) serait « un outil en faveur de la transition écologique, qui a un vrai impact parce qu’il envoie un signal prix qui permet aux gens de changer leur comportement ». Malgré des mois de lutte et de cris de détresse, Poirson n’a toujours pas compris que les Français ne pouvaient pas se payer de voiture hybride. Poirson tente une petite temporisation en concluant : « il faut en débattre ».

Mais pourquoi débattre de ce qui a déjà été réglé ? N’est-ce pas la philosophie d’Emmanuel Macron lui-même ? Le président ne veut pas débattre de ce qui a déjà été décidé (suppression de l’ISF, de l’exit taxe, augmentation de la CSG, etc.), mais là il faudrait revenir sur le grand NON des Français concernant la taxe carbone. C’est du grand n’importe quoi auquel souscrit le Délégué général de la République en Marche. Cet inconnu du grand public qui tire les ficelles du parti s’est déclaré favorable à une prochaine augmentation de la taxe carbone « à condition (…) que ça ne se fasse pas au détriment des classes populaires ». Le petit laïus ajouté à la main sur les classes populaires ne trompe personne. La Macronie veut sa revanche et elle sera terrible.

Mais pourquoi donc les médias font-ils l’impasse sur ces déclarations plus que perturbantes ? Peut-être pour éviter de conforter encore des gilets jaunes bien plus nombreux dans la rue que les chiffres et discours officiels ne veulent le faire croire. Peut-être pour tenter de protéger une énième fois une Macronie qui insulte les Français à longueur de journée. Pourtant, il est impossible de tout cacher surtout quand la Macronie commence à se répandre dans les médias. La colère du peuple n’en sera que décuplée.

 

Source : 24heuresactu

 

lundi, 04 février 2019

Retour des djihadistes, c'est NON ! Sauf… si c'est pour leur mettre 12 balles dans la peau !

Publié par Guy Jovelin le 04 février 2019

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Retour des djihadistes, c'est NON ! Sauf…    
si c'est pour leur mettre 12 balles dans la peau !
 
Faut-il procéder au retour des djihadistes emprisonnés par les troupes kurdes dès lors que nos services ne sont pas parvenus à les tuer lors des combats ou par attaques ciblées et que le retrait américain, risque de créer les conditions d'une nouvelle déstabilisation ?
L'intense polémique en cours ces derniers jours, alimentée aussi par des calculs politiques, est biaisée : la véritable question ne doit pas être le RETOUR des djihadistes, logique en droit (encore que, la plupart étant binationaux, on ne voit pas pourquoi la France devrait procéder à leur transfert davantage que l'Algérie, le Maroc ou la Tunisie), mais aberrante d'un point de vue national, pour y être jugés et incarcérés surtout dans l’état actuel de notre hiérarchie des peines ; la vraie question est l'immense et légitime défiance d'une large majorité de la population contre une justice trop clémente au vu des chefs d'accusation et inadaptée à un contexte de guerre au moment où plusieurs dizaines de criminels islamiques vont être libérés des geôles de la République que, grâce à elle, à ses juges et à ses lois, ils n'auront connues que quelques années (sept ans dans le meilleur des cas).
Dans l'État national que nous voulons, la question du retour en France des djihadistes ne se poserait pas. Celle de leur départ non plus qui n'est, au demeurant, pas notre problème.
Dès lors qu'un ressortissant français part faire le Djihad, il rompt dans le même temps avec la France. Pour ceux-là, bi nationaux ou pas, avec le Parti de la France la déchéance de la nationalité serait automatique et nos services spéciaux seraient largement mis à contribution pour élimination.
Quand aux rescapés de nos opérations faits prisonniers par nos amis peshmergas, ils pourraient éventuellement être transférés sur le territoire français, puis jugés rapidement pour actes de guerre contre la France et la civilisation par une Cour de sûreté de l'État ou un Tribunal militaire avec toutes les chances, la peine de mort ayant été rétablie, de finir, comme il se doit, avec douze balles dans la peau devant un peloton d'exécution.

Jean-François Touzé, Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires

dimanche, 21 septembre 2014

Sarkozy, un long travail commence – par Pierre Saint-Servant

Publié par Guy Jovelin

Face à l'escroquerie politique Sarkozy, un long travail commence

20/09/2014 – PARIS (NOVOpress)

Vendredi 19 septembre 2014, Nicolas Sarkozy a choisi avec l’amour de la forme et le sens de la dignité qui le caractérisent de confirmer son retour – serpent de mer depuis de nombreux mois – dans la vie politique française. Retour qui avait d’ailleurs été anticipé grâce aux nombreuses mises en causes judiciaires dont il est le protagoniste.

Sa déclaration, qui singe la grandeur et le sens des responsabilités mais ne sonne finalement que factice et cérémonieuse, frappe surtout par sa vacuité. Fatigue du sens dirions-nous avec Richard Millet. Une millième fois, nous est joué le coup du changement, de la rupture, du nouvel élan, de l’avenir radieux. Encore heureux que Séguéla ne soit pas passé par là, lui qui appelait il y a quelques jours sur les ondes de Radio Classique à un “espoir d’espérance” en évoquant Sarkozy. Sont-ils tombés bas ? Et depuis combien de temps poursuivent-ils ces discours de basse fosse, nous imposent-ils cet air irrespirable ?

Sa déclaration, qui singe la grandeur et le sens des responsabilités mais ne sonne finalement que factice et cérémonieuse, frappe surtout par sa vacuité.

Malheureusement, plusieurs décennies de culture de masse, de vide culturel, de déracinement acharné, de destruction de l’école, de la famille et de tous les lignages des hommes francs (c’est-à-dire libres) nous portent à la plus grande vigilance. Qu’une nouvelle majorité de Français se forme autour du vide empli de mensonges n’est pas chose impossible. A coup de matraquage médiatique et de “story-telling” savament orchestré, l’imposture peut à nouveau faire son nid.

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