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jeudi, 30 avril 2015

Émeutes raciales à Baltimore : l'état d'urgence déclaré

 

 Publié par Guy Jovelin

Après la mort d’une racaille afro-américaine suit à une arrestation, ses congénères ont multiplié les attaques, agressions et pillages ces derniers jours. La situation s’est dégradée fortement  avec des attaques extrêmement violentes. Au moins seize policiers ont été blessés dont au moins un grièvement. Les dégâts sont considérables. Les criminels noirs ont notamment totalement détruit un vaste ensemble qui devait accueillir des retraités ; une pharmacie et un centre commercial ont également été incendiés.

Les trois principaux gangs de voyous du secteur, les Crips, les Bloods et la Black Guerilla Family auraient conclu une trêve pour attaquer ensemble, selon les autorités. Cela pourrait expliquer l’ampleur des violences.

Le gouverneur vient de décréter l’état d’urgence. La garde nationale a été déployée dans les rues de la ville. Même le maire de la ville, également une afro-américaine, a dénoncé les pillages et autres crimes commis par les prétendus« manifestants ».

Pendant que les médias du Système pleurent la mort de criminels noirs tués par des policiers blancs, les crimes racistes antiblancs se multiplient donc aux États-Unis avec la bénédiction, la complicité et le silence des mêmes médias, mais également grâce à la passivité de la prétendue police « raciste » de Barack Obama.

En fin de semaine dernière, des Blancs qui venaient assister à une rencontre de base-ball au stade Camden Yard ont été très violemment attaqués par une horde de noirs hors de contrôle. Les supporteurs agressés ont dû se réfugier dans un restaurant après qu’une manifestation de « protestation » contre les violences policières eut dégénéré en émeute raciale antiblanche. Malgré une des législations sur le port d’arme parmi les plus dures d’Amérique, 210 meurtres ont été commis en 2014 à Baltimore, la quasi-totalité entre afro-américains. La ville est gangrenée par les gangs, sans que cela n’émeuve jamais les médias qui ne s’intéressent qu’à la mort de racailles.

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