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dimanche, 10 septembre 2017

SAINT-MARTIN : LA SOUS-PRÉFÈTE S’EST ENFUIE, PILLAGES ET FUSILLADES SUR FOND D’EFFONDREMENT DE L’ÉTAT FRANÇAIS

Publié par Guy Jovelin le 10 septembre2017

Sur l’île de Saint-Martin, l’État Français s’est effondré en moins de 24 heures après le passage de l’ouragan « Irma ». Largement occultée par les médias étatiques hexagonaux, cette réalité a cependant pu être communiquée au plus grand nombre par les gens présents sur place grâce aux réseaux sociaux. Une anarchie qui tranche avec la mobilisation immédiate du gouvernement américain.


Saint-Martin : la sous-préfète s’est enfuie, pillages et fusillades sur fond d’effondrement de l’État français

La sous-préfète s’enfuit 

Premier élément de cet effondrement, la fuite de la sous-préfète de l’île, Anne Laubiès. Cette dernière a abandonné les habitants à leur sort et avec son départ précipité, c’est l’organisation politico-administrative française qui s’est évaporée instantanément. 

Cette fuite n’entraînera, bien sûr, aucune poursuite pénale. 

Les nombreux pillards, essentiellement des individus d'origine africaine, ont rapidement mis à profit cet écroulement du gouvernement pour se livrer à des meurtres et pillages à grande échelle. Les Français de l’île expliquent avoir du organiser, sur conseil d’une gendarmerie totalement dépassée, des milices pour garantir leur sécurité. 

Anarchie française, mobilisation générale américaine 

Contrairement aux USA qui ont mis en place un vaste plan d’évacuation en Floride, le gouvernement français est pour l’essentiel resté spectateur malgré les informations dont il disposait au sujet de l’arrivée de l’ouragan. Dès le 31 août, les premières informations sur la venue de l’ouragan étaient connues et ce dernier mettra une semaine complète à atteindre l’île de Saint-Martin. 

Ce délai n’a pour ainsi dire jamais été mis à profit pour évacuer l’île ou préparer un puissant dispositif sécuritaire. 

En Floride, le gouvernement fédéral ainsi que les autorités de cet état ont procédé depuis des jours à l’évacuation préventive des zones potentiellement touchées tandis que tous les services gouvernementaux étaient mobilisés en prévision. Le président Trump détaille depuis des jours les mesures à prendre, donne les adresses des sites internet diffusant les informations indispensables ou supervise la mise en œuvre du dispositif de crise. 

Il y a trois jours déjà, le président américain s’adressait directement au peuple américain pour lui signifier l’urgence de se préparer. 

Pour mesurer le gouffre qui sépare les deux gouvernements, on rappellera que Saint-Martin est une petite île d’un peu plus de 600 kilomètres carrés – un dixième du Finistère – peuplée par seulement 35.000 habitants. La superficie de la Floride représente un tiers de celle de la France pour 20 millions d’habitants. 

En d’autres termes, l’État Français a été mis à genoux par un ouragan ayant frappé l’équivalent d’une petite ville hexagonale comme Alfortville là où les USA assurent, dans l’ordre, la gestion d’une crise impliquant l’équivalent d’un tiers de la population française. 

Une priorité pour Macron et l’État Français : sauver les apparences 

Face aux images et témoignages communiqués sur les réseaux sociaux, le gouvernement français tente désormais de limiter les retombées politiques. Il s’agit donc d’organiser et de scénariser un déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Objectif : faire croire que tout est sous le contrôle de l’état et du président français. 

Cet effondrement rapide du gouvernement représente un avertissement pour la société française : en cas de crise et d’émeutes raciales à grande échelle, elle sera livrée à elle-même. Nul ne doit faire confiance à l’État, sous peine de s’exposer à de cruelles déconve

jeudi, 30 avril 2015

Émeutes raciales à Baltimore : l'état d'urgence déclaré

 

 Publié par Guy Jovelin

Après la mort d’une racaille afro-américaine suit à une arrestation, ses congénères ont multiplié les attaques, agressions et pillages ces derniers jours. La situation s’est dégradée fortement  avec des attaques extrêmement violentes. Au moins seize policiers ont été blessés dont au moins un grièvement. Les dégâts sont considérables. Les criminels noirs ont notamment totalement détruit un vaste ensemble qui devait accueillir des retraités ; une pharmacie et un centre commercial ont également été incendiés.

Les trois principaux gangs de voyous du secteur, les Crips, les Bloods et la Black Guerilla Family auraient conclu une trêve pour attaquer ensemble, selon les autorités. Cela pourrait expliquer l’ampleur des violences.

Le gouverneur vient de décréter l’état d’urgence. La garde nationale a été déployée dans les rues de la ville. Même le maire de la ville, également une afro-américaine, a dénoncé les pillages et autres crimes commis par les prétendus« manifestants ».

Pendant que les médias du Système pleurent la mort de criminels noirs tués par des policiers blancs, les crimes racistes antiblancs se multiplient donc aux États-Unis avec la bénédiction, la complicité et le silence des mêmes médias, mais également grâce à la passivité de la prétendue police « raciste » de Barack Obama.

En fin de semaine dernière, des Blancs qui venaient assister à une rencontre de base-ball au stade Camden Yard ont été très violemment attaqués par une horde de noirs hors de contrôle. Les supporteurs agressés ont dû se réfugier dans un restaurant après qu’une manifestation de « protestation » contre les violences policières eut dégénéré en émeute raciale antiblanche. Malgré une des législations sur le port d’arme parmi les plus dures d’Amérique, 210 meurtres ont été commis en 2014 à Baltimore, la quasi-totalité entre afro-américains. La ville est gangrenée par les gangs, sans que cela n’émeuve jamais les médias qui ne s’intéressent qu’à la mort de racailles.

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