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mardi, 16 janvier 2018

Les voyous n’ont plus peur du gendarme, ni du flic, et ils ont raison

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

On  ne peut espérer se faire respecter que si l’on est craint ! Or, vous n’êtes plus craint.

Le peur du gendarme, du policier, du « flic », n’existe plus puisqu’il n’y a plus aucune raison d’en avoir peur !

Il est injurié, caillassé, tabassé, matraqué, roué de coups, enflammé dans son véhicule, etc. et il ne se défend pas, il ne réagit pas, il se laisse faire ! Comment dans de telles conditions peut-il espérer être respecté, être craint ?

La légitime défense n’existe plus pour lui, elle ne lui est plus applicable, ni même permise !

Il n’a plus le droit ni de défendre sa vie, ni celle de ses proches, de ses collègues !

Par peur de la sanction, par peur de la médiatisation, par peur de l’incompréhension !

Quelques exemples récents et significatifs : Viry-Châtillon : des voyous, des criminels, incendient volontairement, à l’aide de cocktails Molotov, des véhicules de police dans le but de « brûler » les policiers qui sont à l’intérieur.

Attaqués, menacés de mort, se sont-ils défendus ? Non. Ils avaient des armes et n’auraient pas dû hésiter une seule seconde à tirer. En l’air d’abord puis sur ceux qui auraient poursuivi leur agression. Au moins pour défendre la vie de leurs collègues, si la leur importe peu, selon eux !

Le soir de la Saint-Sylvestre 2017, à Champigny-sur-Marne, cette charmante cité où nous allions nous baigner en famille, et en toute sérénité, dans les piscines il y a encore une cinquantaine d’années, une jeune femme policière est projetée à terre par une horde sauvage, déchaînée, qui la roue de coups de pieds, qui vise son visage, qui voudrait la voir ensanglantée. Elle hurle de peur et de souffrance. Cette jeune policière est le chauffeur du véhicule de police et conduit son supérieur, le capitaine de permanence, chef du service de sécurité publique de Chennevières-sur-Marne. Il est là, présent, pris à parti également. Il est armé. Il attendait quoi pour tirer dans le tas, pour dégager et sauver sa jeune collègue, pour défendre sa propre vie ? On se le demande ?

Quel serait son terrible remords si sa jeune collègue avait succombée à cette agression sauvage ?

Des cambrioleurs armés attaquent la bijouterie du « Ritz ». Deux s’enfuient à moto. On voit un policier tenter de les stopper, sans succès, au risque même d’être projeté au sol. Il est armé. Son droit, son devoir, n’était-il pas de sortir son arme et de tirer sur la moto des fugitifs ?

Des exemples ? Je pourrai en citer des dizaines, hélas ! Il ne se passe pas une semaine sans que nos forces de l’ordre ne subissent les agressions des délinquants, des casseurs, des criminels.

Autre exemple plus tragique, celui de « ce jeune pacifiste », parait-il, qui à deux heures du matin se trouvait, par hasard, au milieu de ceux qui lançaient des cocktails Molotov et des pavés sur les gendarmes. L’éclatement d’une grenade a mis fin à ses jours. Il est bien évident que le gendarme qui a lancé cette grenade ne le visait pas particulièrement. Est-ce que l’on vise quelqu’un lorsque l’on lance une grenade ? Il s’est trouvé là, au mauvais endroit, au mauvais moment, il a pris un risque et il en a payé le prix fort !

Si les forces de l’ordre avaient été plus fermes, plus agressives, les jours précédents afin de dégager la zone, cet accident ne se serait peut-être pas produit. Mais il y avait les ordres !

Dans la prison de Venin-le-Vieil, un terroriste, connu pour sa dangerosité, se jette sur trois surveillants et les blesse à l’aide d’un ciseau. Aucun des trois n’a eu la possibilité de réagir et d’assommer ou abattre cet assassin ? Ils étaient trois tout de même !

Les forces de l’ordre, la police, ne seront de nouveau respectés en France que si elles se font respecter. Elles doivent imposer leurs lois, face à ceux qui les bafouent quotidiennement.

La police n’est plus maîtresse du terrain, elle n’y a plus tous les droits, elle ne peut que reculer, se protéger, recevoir et ne pas répliquer.

Ce dernier week-end, à Crosne (Essonne), l’exemple contraire : la police ne s’est pas laissé impressionner par la réaction brutale et dangereuse d’un groupe de rappeurs qui, volontairement, a tamponné leur véhicule pour tenter de s’échapper. Les policiers n’ont pas hésité à tirer à quatre reprises dans les pneus de la voiture et les rappeurs ont été appréhendés. Ces policiers, ils peuvent en être persuadés, seront respectés à l’avenir dans leur cité de Crosne !

Voilà l’exemple à suivre si l’on veut inspirer le respect, si on le réclame, sans quelquefois vraiment le mériter !

Nous sommes en guerre, parait-il, alors il est urgent que la peur change de camp. Il ne suffit pas de faire « promener des patrouilles » de militaires, de faire circuler des véhicules de police, loin des zones « interdites » aux forces de l’ordre. Il faut investir, nettoyer, expulser les étrangers dès leur arrestation et avant même leur condamnation.

Il ne doit plus exister des « zones de non-droits » sur te territoire de la république.

Il est des pays plus dangereux que la France (est-ce certain ?), les Etats-Unis par exemple, où la police et les forces de l’ordre, quand elles sont nécessaires, imposent le droit, la loi, sans état d’âme.

Si les forces de l’ordre ne sont pas suffisantes, ou à la hauteur, pour ce genre d’opérations alors les « Paras », la « Légion », cette armée qui a su gagner la « Bataille d’Alger » dans les années 57/58, sauront gagner la « Bataille de France », si on lui en donne l’ordre et les moyens !

Ce qui ne se fera pas, ni aujourd’hui, ni demain. Nos gouvernants ne sont-ils pas élus pour faire respecter les droits de ceux qui n’en n’ont aucun et bafouer les droits de ceux qui n’en n’ont plus !

Gérard Collomb, notre sinistre ministre de l’Intérieur, ne s’est-il pas montré particulièrement satisfait puisque les fêtes de fin d’année ont été parfaitement calmes : seulement 8 policiers et 3 militaires blessés, 1031 véhicules incendiés et 510 arrestations… à peine un peu plus que l’an dernier. Bravo !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

dimanche, 19 novembre 2017

Le maire de Clermont-Ferrand veut honorer les voyous

Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2017

Ob_7091e0_emdtUn rassemblement prévu samedi à la mémoire de Wissam El-Yamni, décédé après avoir été interpellé dans des conditions controversées à Clermont-Ferrand en 2011, a été interdit vendredi soir par la préfecture. Wissam El-Yamni est mort neuf jours après être tombé dans le coma le soir de son arrestation, le 31 décembre 2011. Un rapport de l’Inspection générale de la police nationale avait relevé l’emploi sur la victime, lors de son transport au commissariat, de la technique du « pliage », consistant à maintenir la tête appuyée sur les genoux. Mais un rapport d’experts avait ensuite estimé que le jeune chauffeur routier avait succombé à un « cocktail toxique » d’alcool et de cocaïne.

L’annonce de cet hommage a généré un projet de contre-manifestation au sein de la police et « le risque d’une confrontation violente entre les participants à ces deux rassemblements ne saurait être accepté », a justifié le préfet du Puy-de-Dôme. Il avait appelé dès jeudi à renoncer à ce rassemblement face aux « risques de tensions entre une partie de la population et la police nationale », tandis que l’enquête judiciaire est toujours en cours. La famille a réagi :

« Nous ne pouvons que nous conformer à cette décision », « Il est sidérant que face au lobby policier, les autorités de l’Etat estiment ne pas être en capacité de faire respecter la liberté de réunion et de manifestation ».

Convaincue que le jeune trentenaire a succombé à des violences policières, sa famille, avec l’accord du maire Olivier Bianchi PS, comptait organiser une commémoration dans un parc de la ville, au cours duquel un arbre devait être planté et une stèle dévoilée. Le parc est fermé ce jour, et les petits clermontois iront jouer ailleurs.

Au nom de l'intersyndicale Unité SGP-FOAllianceSynergie Officiers, Stéphane Baggioni, non sans saluer « la détermination du préfet », a estimé que

« cette affaire aurait pu être réglée autrement si la mairie avait agi différemment, dès le départ ». « À l'avenir, les relations avec la municipalité risquent d'être très difficiles. Au maire, maintenant, de faire amende honorable ».

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 12 juillet 2017

En Savoie, des habitants envisagent la mise en place de milices citoyennes pour chasser les voyous

Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2017

par   12 juillet 2017

Une vingtaine d’habitants d’Entrelacs/Albens, en Savoie, ont envahi lundi la salle du conseil municipal. La raison ? Ces habitants voulaient faire entendre à leurs élus municipaux leur colère face à la délinquance qui grandit dans la localité.

Pour preuve de cette montée de la délinquance, la fermeture de la supérette du centre-ville, la semaine dernière, à la suite d’agressions dont a été victime son gérant.

Selon le journal Le Dauphiné, une bande d’une vingtaine de jeunes sème le désordre.

Face à cette situation, les habitants ont menacé de constituer des milices citoyennes si les voyous continuent à bénéficier de l’impunité. Devant la colère populaire qui s’exprimait, les élus ont promis l’embauche d’un second policier municipal, la pose de caméras de surveillance et un soutien accru de la gendarmerie.

A suivre.

 

Source  : medias-presse.info

jeudi, 30 avril 2015

Émeutes raciales à Baltimore : l'état d'urgence déclaré

 

 Publié par Guy Jovelin

Après la mort d’une racaille afro-américaine suit à une arrestation, ses congénères ont multiplié les attaques, agressions et pillages ces derniers jours. La situation s’est dégradée fortement  avec des attaques extrêmement violentes. Au moins seize policiers ont été blessés dont au moins un grièvement. Les dégâts sont considérables. Les criminels noirs ont notamment totalement détruit un vaste ensemble qui devait accueillir des retraités ; une pharmacie et un centre commercial ont également été incendiés.

Les trois principaux gangs de voyous du secteur, les Crips, les Bloods et la Black Guerilla Family auraient conclu une trêve pour attaquer ensemble, selon les autorités. Cela pourrait expliquer l’ampleur des violences.

Le gouverneur vient de décréter l’état d’urgence. La garde nationale a été déployée dans les rues de la ville. Même le maire de la ville, également une afro-américaine, a dénoncé les pillages et autres crimes commis par les prétendus« manifestants ».

Pendant que les médias du Système pleurent la mort de criminels noirs tués par des policiers blancs, les crimes racistes antiblancs se multiplient donc aux États-Unis avec la bénédiction, la complicité et le silence des mêmes médias, mais également grâce à la passivité de la prétendue police « raciste » de Barack Obama.

En fin de semaine dernière, des Blancs qui venaient assister à une rencontre de base-ball au stade Camden Yard ont été très violemment attaqués par une horde de noirs hors de contrôle. Les supporteurs agressés ont dû se réfugier dans un restaurant après qu’une manifestation de « protestation » contre les violences policières eut dégénéré en émeute raciale antiblanche. Malgré une des législations sur le port d’arme parmi les plus dures d’Amérique, 210 meurtres ont été commis en 2014 à Baltimore, la quasi-totalité entre afro-américains. La ville est gangrenée par les gangs, sans que cela n’émeuve jamais les médias qui ne s’intéressent qu’à la mort de racailles.

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