Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 01 juin 2014

Le MRAP propose de bander les yeux des policiers pour lutter contre le contrôle au faciès

Publié par Guy Jovelin

 
French Security Is Reinforced Over European terror AlertsLe mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples se mobilise ces prochains jours autour du thème du délit de faciès. S'appuyant sur une étude récente du CRNS, le MRAP dénonce les contrôles pol... Lire la suite »
 

dimanche, 23 mars 2014

Une association non-déclarée d’Afro-Maghrébins fiche les policiers

Publié par Guy Jovelin

 

Regroupés en collectif dénommé « Stop le contrôle au faciès », des Afro-Maghrébins ont lancé une application sur l’internet, permettant notamment de ficher les policiers, créant une base de données avec les visages des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur. Cette pratique est déjà utilisée par les trafiquants de drogues et l’extrême-gauche. Il s’agit officiellement de « garder une trace » des contrôles en guise de preuve en cas de problèmes futurs. « Si une personne craque au bout de cinq contrôles la même semaine, elle pourra le prouver » prétend un membre du « collectif », qui revendique la constitution d’une base de données « systématisées » des agents. Gage de la fiabilité de l’opération, n’importe qui pourra, de façon anonyme, remplir un formulaire détaillant les conditions de contrôles.

Le logo de l’association fait explicitement référence au Black Power, qui désigne la frange extrémistes du mouvement raciste noir aux États-Unis, qui, comme les Black Panthers, commirent de multiples crimes, jusqu’au viol et au meurtre de femmes blanches.

Les Afro-Maghrébins sont contrôlés, selon une enquête non-officielle, 6 fois plus que les Blancs. Les populations étrangères sont donc largement sous-contrôlées au regard du risque qu’elles représentent : ainsi, dans les prisons, ces étrangers inassimilables représentent plus de 80 % des prisonniers.

Source