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mardi, 13 décembre 2016

Comment Anne Hidalgo arrose les associations à Paris

Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2016

12 décembre 2016 par Pierrot 

Voici le TOP des 10 subventions les plus choquantes de la Ville de Paris pour Contribuables Associés :

1. 40 500 euros à l’association SAFE en 2 subventions du département de Paris. L’une de 25 000 euros pour installer des distributeurs automatiques de seringues dans Paris, ainsi que des trousses d’inhalation pour des fumeurs de crack.

L’autre de 15 500 euros pour une étude sur « les pratiques et sur les prises de risques des usagers injecteurs de drogues ». (source)

L’association gère actuellement 34 automates répartis dans 16 arrondissements parisiens, un maillage toxique de la capitale que l’administration parisienne qualifie d’ »implantation harmonieuse » (sic). Voir notre article « Salles de shoot : des associations dopées à l’argent public ».

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2. 23 000 euros à l’association « L’impossible » pour deux projets dont « des ateliers artistiques et citoyens en prison qui proposent une résidence d’écriture sonore en détention sur le thème de l’identité autour de la création et la fabrication d’objets sonore.

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Source : contre-info

lundi, 22 février 2016

Les harkis bâillonnés par l’État ?

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2016

Nouvelle colère des anciens harkis.
 
 
Nouvelle colère des anciens harkis : l’État semble vouloir imposer des associations aux effectifs étonnamment pléthoriques pour évincer, des réunions au ministère, des associations plus petites mais, elles, 100 % harkies !

Jeudi dernier, le 18 février, M. Todeschini, secrétaire d’État chargé des Anciens combattants, a présidé au ministère de la Défense une réunion du « G12 harki » – Groupe d’associations d’anciens harkis habilitées par le ministère – pour y étudier des solutions aux problèmes que vivent, depuis plus d’un demi-siècle, ces soldats français ayant risqué leur vie sous nos couleurs. Et lors de cette réunion, qu’ont appris les participants dont le nombre vérifié d’adhérents va de 45 – neuf ne dépassent pas la centaine de membres – à 320 ? Tout simplement que l’État avait décidé de faire des « propositions pour la constitution du G12 harki » en présentant cinq associations ayant « un poids relativement important permettant de les retenir » ! Et un poids non des moindres : la plus petite compte plus de 100 membres et les quatre autres – comme cela tombe curieusement bien – dépassent allègrement les 500 membres, et même une les 800 !

Pour les actuels représentants des harkis habilités au « G12 », il est pour le moins étonnant que les associations choisies aient autant d’adhérents : à 25 € la cotisation, celle qui en déclare 800 aurait ainsi 20.000 € par an en caisse, versés par d’anciens harkis ou même des enfants ou amis de ceux-ci ! Ils estiment cela peu probable… Une autre association proposée par M. Todeschini, natif et élu d’Alsace-Lorraine, fait référence à 554 membres anciens combattants en… Alsace et en Allemagne !
Or, sur les moteurs de recherche, si on associe le nom de cette association au mot « harkis », un seul document apparaît : une thèse de doctorat récente (3/12/2014, université de Strasbourg, Aurélie Bludszus, 489 pages) dans laquelle le nom de cette association n’est cité que dans la liste récapitulative en fin de document, mais pas pour ses actions en faveur des harkis. Le mot « harkis » n’est employé qu’au chapitre sur l’Amicale des pieds-noirs de Moselle, l’Association nationale des Français d’Afrique du Nord, d’outre-mer et leurs amis, le Front national des rapatriés et le Cercle algérianiste… Mais pas avec l’association aux 554 membres proposée par le secrétaire d’État.

Quand un collectif de harkis regroupant, donc, plusieurs associations des Alpes-Maritimes qui ont largement accueilli les harkis ne fait état « que » de 320 adhérents, une association de l’Est de la France en annoncerait, elle, plus de 550…

Si les associations proposées par l’État entraient dans le G12, soit des associations de harkis – et uniquement de harkis – telles celles de l’Aveyron ou de l’Aude passeraient à la trappe, soit le G12 deviendrait G17 et, dans ce cas, les voix des « petites » associations pèseraient moins face à des « mastodontes » mais ne réunissant que peu de harkis…

Source : http://www.bvoltaire.fr/

mardi, 13 octobre 2015

Une association humanitaire se retire de Calais après avoir vu les clandestins brûler nourriture et vêtements

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2015

Vu sur MPI : L’association humanitaire Human Relief Foundation (HRF) avait envoyé des bénévoles et du matériel à Calais. Mais l’association caritative a décidé de mettre fin à son aide après la visite récente de son directeur exécutif, Kassim Tokan, au camp « New Jungle » à Calais.

Kassim Tokan explique avoir été choqué de voir des migrants qui « brûlent la nourriture et les vêtements » de l’aide humanitaire. « Sur le coup je pensais qu’ils avaient une raison valable, mais la majorité d’entre eux n’ont pas de raison… ils veulent juste y aller [au Royaume-Uni] pour avoir de l’argent, une meilleure situation économique. »

Kassim Tokan a aussi souligné que 95 à 97 % des migrants étaient de jeunes hommes. Certains d’entre eux lui ont dit qu’ils étaient contents de rester dans le camp.

Tout cela a poussé Kassim Tokan à décider que l’HRF réorientera ses aides humanitaires vers les Syriens réfugiés au Liban ou en Cisjordanie, déclarant que les migrants de Calais n’en ont nul besoin.

« Ils ont suffisamment de nourriture, ils ont suffisamment de vêtements qu’ils les répandent partout dans le camp. », a déclaré Kassim Tokan à ITV.

« Ces gens viennent de quelques pays, qui ne sont pas en guerre, tout est là bas, ils peuvent y travailler, je ne sais pas pourquoi ils sont là. »

Source : http://www.contre-info.com/

dimanche, 23 mars 2014

Une association non-déclarée d’Afro-Maghrébins fiche les policiers

Publié par Guy Jovelin

 

Regroupés en collectif dénommé « Stop le contrôle au faciès », des Afro-Maghrébins ont lancé une application sur l’internet, permettant notamment de ficher les policiers, créant une base de données avec les visages des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur. Cette pratique est déjà utilisée par les trafiquants de drogues et l’extrême-gauche. Il s’agit officiellement de « garder une trace » des contrôles en guise de preuve en cas de problèmes futurs. « Si une personne craque au bout de cinq contrôles la même semaine, elle pourra le prouver » prétend un membre du « collectif », qui revendique la constitution d’une base de données « systématisées » des agents. Gage de la fiabilité de l’opération, n’importe qui pourra, de façon anonyme, remplir un formulaire détaillant les conditions de contrôles.

Le logo de l’association fait explicitement référence au Black Power, qui désigne la frange extrémistes du mouvement raciste noir aux États-Unis, qui, comme les Black Panthers, commirent de multiples crimes, jusqu’au viol et au meurtre de femmes blanches.

Les Afro-Maghrébins sont contrôlés, selon une enquête non-officielle, 6 fois plus que les Blancs. Les populations étrangères sont donc largement sous-contrôlées au regard du risque qu’elles représentent : ainsi, dans les prisons, ces étrangers inassimilables représentent plus de 80 % des prisonniers.

Source