jeudi, 18 février 2016
L’Autriche ferme ses frontières, les migrants resteront donc en Italie
Publié par Guy Jovelin le 18 février 2016
Face aux vagues d’immigrés clandestins qui submergent les pays du vieux continent, ce n’est plus Tous pour un et un pour tous, mais Sauve qui peut !
Schengen est bien mort, que les technocrates européens et les politiciens vendus aux grands groupes industriels qui veulent de la main d’œuvre à bas prix le veuillent ou non. Certains pays de l’Union Européenne, avec un certain retour au bon sens et face à l’incapacité de l’union Européenne à défendre leurs intérêts, saisissent, enfin, la gravité du danger qui les menace économiquement, culturellement, ethniquement, et prennent en conséquence des mesures de fermetures des frontières et de renvois des immigrés, qui ne sont des réfugiés que dans l’esprit falot de dame Merkel.
Et tant pis pour les pays qui croient encore aux contes de fées et au happy end hollywoodien ! Et tant pis, aussi, pour le voisin submergé !
C’est officiel : l’Autriche a annoncé, par les voix de son ministre de l’Intérieur Johanna Mikl Leitner e de son ministre de la Défense Hans Peter Doskozil, la fermeture des frontières avec l’Italie et les contrôles systématiques pour limiter le flux de migrants chez eux. Leitner n’exclut pas aussi l’utilisation de clôtures si nécessaires.
« La décision du gouvernement autrichien de restaurer les contrôles aux frontières avec l’Italie est très grave, a dit Deborah Bergamini, responsable de la Communication de Forza Italia. L’Autriche défendra les points de passage avec l’Italie pour empêcher le flux des migrants et cela signifie que non seulement le nombre d’immigrés dans notre pays ne diminuera pas, étant donné que les relogement à l’étranger des demandeurs d’asile sont pratiquement arrêtés, mais ce nombre est destiné à grandir parce que les débarquements continueront tant que la paix en Syrie et en Libye ne sera pas rétablie. L’Europe veut notre argent mais ensuite elle fait retomber sur nos épaules tout le drame de l’immigration, dans l’indifférence et l’impuissance du gouvernement italien. »
Il est certain que les pays méditerranéens qui font face au continent africain sont les plus vulnérables car les premiers abordables pour les migrants : ce sont eux qui doivent faire face aux débarquements sauvages de milliers de clandestins, chaque jour, sur des milliers de km de côtes maritimes. Le drame de l’immigration repose, en effet, avant tout sur eux.
Les Européens, à la botte des intérêts américains et israéliens et à la suite des folies guerrières du français Bernard-Henri Levy, ont semé la guerre et l’anarchie en Libye et en Syrie. Et la paix n’est pas pour demain !
C’est donc une politique ferme de fermeture totale des frontières, d’opposition à tous débarquements sauvages, de renvois systématiques, à l’envoyeur, des embarcations clandestines qui traversent la méditerranée, qui doit être mise en place par l’ensemble des pays européens. Mais encore faudrait-il que le gouvernement italien, selon le désir du peuple péninsulaire, ait la volonté de mettre un terme à l’accueil des migrants. Ce qui n’est pas le cas…déplaire aux lobbies immigrationnistes et à la bien-pensance mondiale est trop difficile pour ces politiciens démocrates !
Francesca de Villasmundo
Source : http://www.medias-presse.info/
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : autriche, fermeture des frontières, immigrés clandestins, italie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |