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vendredi, 19 janvier 2018

« Tranches de vie », un film visionnaire sur le Grand Remplacement

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

 

Petit extrait de « Tranches de vie », un film de Gérard Lauzier de 1985. C’était il y a 30 ans.

Visionnaire sur le Grand Remplacement…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 16 octobre 2014

Annabelle, le film qui dérape dans la salle ! (par Joris Karl)

 

Publié par Guy Jovelin

D’habitude, ce sont les films d’horreur qui fichent la trouille. Là, c’est le public. « Annabelle », sorti la semaine dernière, est pourtant un film ultra-classique issu d’un genre né dans les sixties. Une poupée (forcément maléfique), une héroïne (forcément blonde), et au-dessus de la marmite, comme toujours, une pincée de bigoterie rédemptrice, des portes qui s’entrouvent en pleine nuit et des acteurs qui – c’est la règle suprême – n’allument jamais la lumière dans leur baraque passé minuit !

On aurait pu s’en contenter. Mais la poupée maudite a visiblement semé la zizanie dans les salles de plusieurs grandes villes : la presse relate des faits violents dans les cinémas de Marseille, Strasbourg ou Montpellier. Le film amènerait « une clientèle de jeunes pas facile », précise la direction du cinéma phocéen Le Prado. On parle de bastons généralisées, de sièges arrachés, d’urine joyeusement déversée. Une quasi-orgie païenne, en somme, célébrée par une jeunesse qui n’a pas lu Nietzsche mais qui est chaque jour par-delà le bien et le mal. Selon les témoins, à chaque apparition du fantôme ou de la poupée, les ados crient, insultent, sursautent à chaque claquement de porte, courent dans les travées, commentent à voix haute. Souvent, on parle de« débordements » et, « pour raison de sécurité », le film n’est même plus diffusé dans une série de salles. Ou comment une civilisation meurt lentement au milieu des pop-corn écrasés.

Le même phénomène se répète donc de plus en plus souvent, et l’amateur d’épouvante se souvient que lors des projections de « Paranormal Activity 4 », les mêmes violences avaient émaillé les projections. Assistant à la séance de cet opus, j’avais moi-même dû recadrer un peu sèchement quatre ou cinq jeunes derrière moi, qui partaient « en live » dès les premières images. C’était dans une petite ville de province et les jeunes avaient compris le message. Mais il est facile d’imaginer qu’avec un public issu de « quartiers sensibles », mon verbe ferme et diplomate n’aurait pas suffi. Regarder un film dans ces conditions est littéralement intolérable. Autant lire du Proust en écoutant Diam’s à donf. On peut comprendre qu’un grand nombre de spectateurs n’ait même plus envie de se déplacer. Comme toujours, on refuse d’affronter le problème, et les séances sont tout simplement… annulées.

Sans éducation, sans gêne, sans culture, sans aucune notion du respect de l’autre, la génération « moi je » est en sécession avec ceux qui demeurent dans la civilisation. Je n’oublierai jamais ce lycéen qui, à la sortie du film « Walkyrie », vu à Lyon, disait à son pote : « Putain, je croyais qu’ils allaient le tuer, Hitler ; j’suis deg’. »

Avec « Annabelle », les décideurs peuvent au moins couper le courant. Mais dès qu’on sort du cinéma ?

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samedi, 15 février 2014

« Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ? », le dernier film antiraciste et pro-métissage

 

http://img.filmsactu.net/datas/films/q/u/qu-est-ce-qu-on-a-fait-au-bon-dieu/xl/qu-est-ce-qu-on-a-fait-au-bon-dieu-photo-52f8da36dc564.jpg

Christian Clavier et Chantal Lauby sont des Français moyens : inintéressants, bourgeois, racistes, vieux… Mais heureusement ils ont quatre filles pour remédier à cela : chacune va s'adonner au métissage, avec un Juif, un Arabe, un Asiatique ; la dernière choisira, bien entendu, un Africain.

Le film est produit par Les Films du 24, présents ces dernières années dans Do Not Disturb d’Yvan Attal (avec Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg), La Traversée (avec Michaël Youn) ou Joséphine d’Agnès Obadia (avec Marilou Berry et Bérengère Krief). Il réunit, autour de Christian Clavier et Frédérique Bel : Elie Semoun, Chantal Lauby et Ary Abittan, mais aussi Medi Sadoun et Jassem Mougari, ainsi que Pascal N’Zonzi, Noom Diawara, Nicolas Mouen et Tatiana Rojo et Frédéric Chau.

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