Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 10 novembre 2015

Schengen sans retour! Les frontières de l’UE se referment derrière les clandestins pour les empêcher de repartir- Reportage.

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2015

 migrants complain

Les frontières de l’Union sont grandes ouvertes à sens unique devant les trains, les bateaux, les cars, et même les jets privés qui transportent les clandestins, mais elles se referment aussitôt derrière eux, ainsi que l’explique un reportage de Breitbart. Pour le retour, plus de trains, plus de bateaux, plus de cars, plus de jets privés! C’est ainsi que les commissaires de l’Union et de l’ONU qui ne bénéficient d’aucun mandat légitime programment l’invasion des pays de l’Union.  

Les frontières de l’espace Schengen ne sont donc pas tout-à-fait sans contrôle, lorsque les clandestins arrivent, ils sont pris en charge, mais lorsque déçus, ils veulent repartir, « les chemins derrière [eux] sont clos »: Schengen, c’est sans retour!

A vrai dire, Les revendications « populistes » des Européens qui de plus en plus s’expriment à coup d’incendies des centres d’accueil et autres actions musclées, comme samedi dernier en Suède, devancent la volonté des immigrants clandestins eux-mêmes qui se plaignent volontiers des pays européens et qui aimeraient repartir chez eux, mais ils ne le peuvent pas disent-ils, « derrière eux les chemins sont clos ». C’est ce que démontre la traduction ci-dessous du reportage que le site britannique « Breitbart-Londres », a effectué en Autriche à la frontière avec la Slovénie, ce qui a donné l’occasion aux clandestins de« s’exprimer par eux-mêmes plutôt que par des organismes de bienfaisance »immigrationnistes :

Une plainte clé émergent parmi les migrants dés qu’il leur est donné la possibilité de s’exprimer -plutôt que de passer par les organismes de bienfaisance immigrationnistes – il s’agit de la météo en Europe. Ainsi un jeune migrant afghan qui a été interrogé alors qu’il était retenu à la frontière entre l’Autriche et la Slovénie:

Déplorant le fait de ne pas pouvoir retourner dans son pays natal, l’homme s’inquiète du manque de capacité de l’Union à traiter de manière adéquate les millions de réfugiés et de migrants qui vont arriver en Europe cette année: « L’Europe a beaucoup de problèmes. Il y a beaucoup de problèmes, en particulier pour ceux qui viennent ici avec leur famille, et de jeunes enfants « , dit-il.

Tiens, un Afghan, comme par hasard! Quelqu’un qui n’a rien à voir avec un fuyard syrien, mais tout à voir avec un clandestin économique. Si, en effet, la guerre est un bon moyen de motiver les candidats à l’immigration, l’économie en est le véritable objet bien dissimulé.

« Il n’y a pas de chemin de retour »

Selon lui, les Européens qu’il rencontre sont cruels à l’image de leur météo. Mais les chemins derrière lui sont clos. Néanmoins, se plaint-il, il va poursuivre sa route puisque les frontières sont fermées derrière lui, alors, dit-il, que les pays des Balkans font tout ce qu’ils peuvent pour faire transporter les migrants vers le Nord aussi rapidement que possible, afin qu’ils ne stagnent pas sur place. Il a dit:«Ici, il fait si froid et personne ne se soucie de nous. Maintenant, nous n’avons pas d’autre solution que continuer, il n’y a pas de chemin de retour. Nous avons déjà franchi sept ou huit frontières « .

Ce jeune Afghan n’ est pas le seul à partager ce point de vue. Parlant à une équipe de l’agence Reuters, un Syrien se plaint en mauvais anglais: « le temps est si froid, et les gens sont trop nombreux. Il y a trop de gens qui viennent ici « .

Certes, trop de gens viennent ici, Monsieur! Que diriez-vous si vous étiez d’ici ?  « Il n’y a pas de chemin de retour »! Quelle information de poids! Réflexions que le tout puissant lobby immigrationniste et les ONG « humanitaires » à sa botte ne sont pas prés de laisser filtrer.

« Ils reprennent leur marche vers le sud de l’Union pour échapper à la météo du nord »

Bien que ces hommes soient toujours pousser plus avant dans l’Union, beaucoup d’autres ont atteint l’objet de leurs désirs pour leur plus grande déception et désireraient repartir en arrière. Au paradis multiculturel de Malmö, troisième ville de Suède, la violence « des gangs anti-migrants », avec leurs attaques à la grenade usent les nerfs des vétérans des zones de guerre. 

Breitbart Londres a déjà rapporté les commentaires d’un clandestin syrien qui a déclaré en Juillet: «Je veux retourner en Syrie – ici j’ai très peur … je suis venu de Syrie parce que j’avais peur, mais ici c’est pire. »

Plus au nord, en Finlande, les migrants ont renoncé à l’idée de refaire leur vie à la frontière nord d’une Europe congelée, et reprennent leur marche vers le sud pour échapper à la météo. Le Jeune Muhammed a dit aux journalistes locaux: « Vous pouvez dire au monde que je déteste la Finlande. Il fait trop froid, il n’y a pas de thé, pas de restaurants, pas de bars, personne dans les rues, seulement des voitures « .

En Finlande l’accueil des clandestins n’a pas été exactement des plus chauds. Tel que Breitbart Londres l’avait rapporté en Septembre où des protestataires avaient stigmatisé les voyageurs clandestins en bombardant les véhicules avec des pierres et des feux d’artifice. Traduction E.D.

Nous retiendrons de cet intéressant reportage que les frontières de Schengen grandes ouvertes pour attirer le maximum de clandestins, se referment derrière eux sans leur laisser la possibilité de rebrousser chemin. Par contre, ils peuvent voyager à leur gré à l’intérieur des frontières de Schengen, d’un pays à l’autre, des pays froids vers les pays chauds dont la France fait partie. De même que la France ne ferme ses frontières aux clandestins, qu’à Calais pour les empêcher de gagner l’Angleterre, de même, si les trains, les cars et les jets privés sont réquisitionnés pour les disperser dans l’Union, plus aucun moyens de transport ne sont prévus pour les ramener chez eux ! 

Conclusion

Cette invasion sans retour est organisée à partir de l’ONU et de Bruxelles par des commissaires non-élus, sans aucune légitimité, pour submerger les pays et dissoudre les identités dans des pays où la dénatalité est encouragée pour faire de la place aux nouveaux venus. Tout cela au profit du gros capital apatride à la recherche d’esclaves sans repères, soutenus par l’idéologie mondialiste du melting pot, du métissage, de l’effacement des nations et des cultures. Nous sommes dans une ère de nouvelles féodalités. Les seigneurs étant les lobbies des entreprises multi-nationales et des commissaires de Bruxelles ou de l’ONU qui chapeautent les États. La propagande immigrationniste, jouant sur les émotions et les guerres, est propagée comme un masque vertueux pour faire accepter le Grand remplacement.

Emilie Defresne

emiliedefresne@medias-presse.info

 

 

Watch: Migrant Complains About Europe As He Steps Off The Train

 

Source : http://www.medias-presse.info/