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samedi, 30 juillet 2016

Terrorisme : nous goûtons les fruits amers du nouvel ordre mondial

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2016

Rédigé par 1000itant le 27 juillet 2016.

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Les dérégulations économiques en Europe et la guerre au moyen-Orient sont deux ingrédients d’un même poison : le nouvel ordre mondial. Combien de morts faudra t-il comptabiliser pour que les peuples cessent de faire confiance à l’oligarchie mondialiste qui nous gouverne ? Dans cet article, nous démontrons que les dérégulations économiques et démographiques imposées par Bruxelles, amplifient les effets destructeurs des initiatives mercantiles et guerrières qui gouvernent la guerre au moyen-Orient, car le paradigme libéral-libertaire du nouvel ordre mondial est intrinsèquement pervers.

A ce titre, l’espace Schengen est mortifère parce que non régulé. Le sang Français a payé 230 morts cette année pour le savoir. Aucun système, absolument aucun, qu’il soit naturel, anthropique ou naturel-anthropisé ne fonctionne sans régulation. La sélection naturelle est un des mécanismes de régulation les mieux connus aujourd’hui, mais il est aveugle, violent et impitoyable : il fait des morts. Or, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, Schengen impose une sorte de régulation naturelle des flux migratoires et des communautarismes en Europe, et cela commence à faire des morts, comment s’en étonner ?

Dans ce contexte non maîtrisé, les utopies mercantiles de ceux qui ont voulu (et veulent toujours) des États informes et sans aucune régulation aux frontières ont, pendant quarante ans, construit la poudrière sur laquelle nous sommes assis en 2016. Nous sommes bien obligés de constater que des intérêts financiers pétroliers et gaziers, soutenus par des partis politiques, notamment français, qui mélangent électoralisme, géo-stratégie, clanisme économique et religions mal comprises, se sont autorisés à enclencher un mécanisme infernal : la guerre civile au moyen-orient, en entretenant sur notre sol les factions terroristes qui se retournent aujourd’hui contre le peuple Français.

La bombe a été amorcée à Schengen en 1985, elle a été armée en Irak en 1990 (première guerre du Golf) et encouragée à Maastricht à partir de 1992 (ouverture de l’Union Européenne sur la mondialisation sauvage). La mèche a été allumée en Irak par les USA en 2003 (deuxième guerre du Golf). Et à nouveau, puisque le balais infernal avait été ouvert par l’empire américain, leurs vassaux européens n’ont rien trouvé de mieux que d’encourager l’embrasement de la Syrie à partir de 2011.

Avec Nicolas Sarkozy et François Hollande, les diplomaties anglaises et françaises ont agi dans le secret et contre les intérêts supérieurs de leur pays. Mais les retombées parisiennes et niçoises n’ont manifestement pas encore été suffisamment sanglantes pour donner à la classe politique l’ouverture d’esprit suffisante : nous n’avons entendu absolument aucun mea culpa alors qu’elle a construit avec un entêtement aveugle les drames d’aujourd’hui.

Car entretenir des réseaux terroristes sur notre territoire en prétendant les instrumentaliser à des fins géo-stratégiques est une folie dans laquelle nos gouvernants se sont fourvoyés, persistent, mais ne signent pas : les morts autour de la Mare Nostrum se comptent en centaines de milliers, et les populations déplacées déplacent avec elles le chaos qu’on leur a imposé. L’absence de frontières en Europe interdit toute réaction efficace, mais n’était-ce pas l’effet recherché ? La situation est devenue incontrôlable.

Nous devons alors reconnaître que pendant quarante ans de construction européenne, nous nous sommes trompés. Car le paradigme du nouvel ordre mondial que l’Union Européenne veut imposer, notamment à travers Schengen est intrinsèquement pervers. En effet, tout système «dérégulé» ne peut qu’être injuste et violent. Le système américain est injuste et violent. Les États-Unis d’Europe sur le mode américain ne pourraient-être qu’injustes et violents.

Ainsi, une France dérégulée, dans une Europe dérégulée, dans un monde dérégulé, est déjà une catastrophe, combien de morts faudra t-il pour s’en persuader ? Nous en goûtons partout en Europe les fruits amers : agressions quotidiennes décuplées, banlieues incendiées à chaque nouvel an, inauguration des viols de masse en Allemagne, prolifération de la voyoucratie clanique et des réseaux de pillages organisés, arrivent aujourd’hui les attentats de masse. Si nous échappons encore aux affrontements armés en France, c’est uniquement parce que les populations civiles ne sont pas encore officiellement armées, c’est la seule raison. Distribuez quelques armes, et vous aurez la Guerre syrienne en France.

Il nous faut donc de toute urgence affirmer politiquement que le credo libéral du nouvel ordre mondial imposé par la finance internationale consanguine de la commission bruxelloise est une monstruosité, portée en France par LR-PS. Pendant que les Niçois pleurent leurs morts innocents, on trouve pourtant un Julien Dray pour les accuser sans aucune pudeur d’avoir aggravé le risque par eux-mêmes, on trouve encore Natacha Polony pour pleurnicher sans honte dans le Figaro. L’intellectuelle voudrait que «cette guerre ne devienne pas civile» ! Mais toutes ces guerres sont déjà civiles. Comment peut-elle encore faire preuve d’un tel aveuglement ? La guerre est civile en Irak, la guerre est civile en Syrie, et la guerre en France ne demande qu’à être armée pour devenir civile !

«Ne pas céder à la haine», comme on entend le répéter les journalistes aveugles ou vendus, c’est d’abord reconnaître que le paradigme qui sous-tend le nouvel ordre mondial imposé aux peuples européens à travers l’Union Européenne détruit l’Europe, parce que ce paradigme du tout-libéral-libertaire détruit l’unité de ses populations, les appauvrit irrémédiablement, et les dresse les unes contre les autres : le nouvel ordre mondial génère le Chaos, parce qu’il espère s’imposer sur un chaos qu’il aura patiemment construit. Le paradigme est mauvais, il nous faut en changer de toute urgence et remettre en chantier les fondamentaux de la construction européenne.

 

Source : 24heuresactu

mardi, 10 novembre 2015

Schengen sans retour! Les frontières de l’UE se referment derrière les clandestins pour les empêcher de repartir- Reportage.

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2015

 migrants complain

Les frontières de l’Union sont grandes ouvertes à sens unique devant les trains, les bateaux, les cars, et même les jets privés qui transportent les clandestins, mais elles se referment aussitôt derrière eux, ainsi que l’explique un reportage de Breitbart. Pour le retour, plus de trains, plus de bateaux, plus de cars, plus de jets privés! C’est ainsi que les commissaires de l’Union et de l’ONU qui ne bénéficient d’aucun mandat légitime programment l’invasion des pays de l’Union.  

Les frontières de l’espace Schengen ne sont donc pas tout-à-fait sans contrôle, lorsque les clandestins arrivent, ils sont pris en charge, mais lorsque déçus, ils veulent repartir, « les chemins derrière [eux] sont clos »: Schengen, c’est sans retour!

A vrai dire, Les revendications « populistes » des Européens qui de plus en plus s’expriment à coup d’incendies des centres d’accueil et autres actions musclées, comme samedi dernier en Suède, devancent la volonté des immigrants clandestins eux-mêmes qui se plaignent volontiers des pays européens et qui aimeraient repartir chez eux, mais ils ne le peuvent pas disent-ils, « derrière eux les chemins sont clos ». C’est ce que démontre la traduction ci-dessous du reportage que le site britannique « Breitbart-Londres », a effectué en Autriche à la frontière avec la Slovénie, ce qui a donné l’occasion aux clandestins de« s’exprimer par eux-mêmes plutôt que par des organismes de bienfaisance »immigrationnistes :

Une plainte clé émergent parmi les migrants dés qu’il leur est donné la possibilité de s’exprimer -plutôt que de passer par les organismes de bienfaisance immigrationnistes – il s’agit de la météo en Europe. Ainsi un jeune migrant afghan qui a été interrogé alors qu’il était retenu à la frontière entre l’Autriche et la Slovénie:

Déplorant le fait de ne pas pouvoir retourner dans son pays natal, l’homme s’inquiète du manque de capacité de l’Union à traiter de manière adéquate les millions de réfugiés et de migrants qui vont arriver en Europe cette année: « L’Europe a beaucoup de problèmes. Il y a beaucoup de problèmes, en particulier pour ceux qui viennent ici avec leur famille, et de jeunes enfants « , dit-il.

Tiens, un Afghan, comme par hasard! Quelqu’un qui n’a rien à voir avec un fuyard syrien, mais tout à voir avec un clandestin économique. Si, en effet, la guerre est un bon moyen de motiver les candidats à l’immigration, l’économie en est le véritable objet bien dissimulé.

« Il n’y a pas de chemin de retour »

Selon lui, les Européens qu’il rencontre sont cruels à l’image de leur météo. Mais les chemins derrière lui sont clos. Néanmoins, se plaint-il, il va poursuivre sa route puisque les frontières sont fermées derrière lui, alors, dit-il, que les pays des Balkans font tout ce qu’ils peuvent pour faire transporter les migrants vers le Nord aussi rapidement que possible, afin qu’ils ne stagnent pas sur place. Il a dit:«Ici, il fait si froid et personne ne se soucie de nous. Maintenant, nous n’avons pas d’autre solution que continuer, il n’y a pas de chemin de retour. Nous avons déjà franchi sept ou huit frontières « .

Ce jeune Afghan n’ est pas le seul à partager ce point de vue. Parlant à une équipe de l’agence Reuters, un Syrien se plaint en mauvais anglais: « le temps est si froid, et les gens sont trop nombreux. Il y a trop de gens qui viennent ici « .

Certes, trop de gens viennent ici, Monsieur! Que diriez-vous si vous étiez d’ici ?  « Il n’y a pas de chemin de retour »! Quelle information de poids! Réflexions que le tout puissant lobby immigrationniste et les ONG « humanitaires » à sa botte ne sont pas prés de laisser filtrer.

« Ils reprennent leur marche vers le sud de l’Union pour échapper à la météo du nord »

Bien que ces hommes soient toujours pousser plus avant dans l’Union, beaucoup d’autres ont atteint l’objet de leurs désirs pour leur plus grande déception et désireraient repartir en arrière. Au paradis multiculturel de Malmö, troisième ville de Suède, la violence « des gangs anti-migrants », avec leurs attaques à la grenade usent les nerfs des vétérans des zones de guerre. 

Breitbart Londres a déjà rapporté les commentaires d’un clandestin syrien qui a déclaré en Juillet: «Je veux retourner en Syrie – ici j’ai très peur … je suis venu de Syrie parce que j’avais peur, mais ici c’est pire. »

Plus au nord, en Finlande, les migrants ont renoncé à l’idée de refaire leur vie à la frontière nord d’une Europe congelée, et reprennent leur marche vers le sud pour échapper à la météo. Le Jeune Muhammed a dit aux journalistes locaux: « Vous pouvez dire au monde que je déteste la Finlande. Il fait trop froid, il n’y a pas de thé, pas de restaurants, pas de bars, personne dans les rues, seulement des voitures « .

En Finlande l’accueil des clandestins n’a pas été exactement des plus chauds. Tel que Breitbart Londres l’avait rapporté en Septembre où des protestataires avaient stigmatisé les voyageurs clandestins en bombardant les véhicules avec des pierres et des feux d’artifice. Traduction E.D.

Nous retiendrons de cet intéressant reportage que les frontières de Schengen grandes ouvertes pour attirer le maximum de clandestins, se referment derrière eux sans leur laisser la possibilité de rebrousser chemin. Par contre, ils peuvent voyager à leur gré à l’intérieur des frontières de Schengen, d’un pays à l’autre, des pays froids vers les pays chauds dont la France fait partie. De même que la France ne ferme ses frontières aux clandestins, qu’à Calais pour les empêcher de gagner l’Angleterre, de même, si les trains, les cars et les jets privés sont réquisitionnés pour les disperser dans l’Union, plus aucun moyens de transport ne sont prévus pour les ramener chez eux ! 

Conclusion

Cette invasion sans retour est organisée à partir de l’ONU et de Bruxelles par des commissaires non-élus, sans aucune légitimité, pour submerger les pays et dissoudre les identités dans des pays où la dénatalité est encouragée pour faire de la place aux nouveaux venus. Tout cela au profit du gros capital apatride à la recherche d’esclaves sans repères, soutenus par l’idéologie mondialiste du melting pot, du métissage, de l’effacement des nations et des cultures. Nous sommes dans une ère de nouvelles féodalités. Les seigneurs étant les lobbies des entreprises multi-nationales et des commissaires de Bruxelles ou de l’ONU qui chapeautent les États. La propagande immigrationniste, jouant sur les émotions et les guerres, est propagée comme un masque vertueux pour faire accepter le Grand remplacement.

Emilie Defresne

emiliedefresne@medias-presse.info

 

 

Watch: Migrant Complains About Europe As He Steps Off The Train

 

Source : http://www.medias-presse.info/

jeudi, 17 septembre 2015

SCHENGEN, LE DÉBUT DE LA FIN

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2015

Schengen, le début de la fin

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mercredi, 24 septembre 2014

L'Autriche demande à suspendre les accords de Schengen

 

Publié par Guy Jovelin

L'Autriche renvoie actuellement en Italie environ 30 migrants par jour. Les policiers dénoncent : « Au Brenner, la situation devient insoutenable »

L'opération Mare Nostrum et la gestion de l'immigration de la part de l'Italie n'exaspère pas seulement les syndics et gouverneurs italiens. L'Autriche aussi n'en peut plus de voir ce qui se passe à ses frontières. A tel point que le gouvernement autrichien est en pourparlers avec Bruxelles pour suspendre temporairement les accords de Schengen et de réintroduire des contrôles le long de la frontière avec l'Italie. Vienne a fait savoir qu'en 2014 il y a déjà eu 4.700 migrants arrêtés dans le pays et pratiquement tous renvoyés en Italie (une moyenne de 30 personnes par jour). Parmi les personnes arrêtées, seules 300 ont demandé l'asile politique en Autriche.

Le ministre de l'Intérieur Johanna Mikl-Leitner et les  gouverneurs de Salzbourg, Burgenland, de la Basse et Haute Autriche n'excluent pas la réintroduction de contrôles aux frontières.

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