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jeudi, 25 janvier 2018

Suède: Une féministe refuse de signaler l’agression sexuelle d’un migrant afghan sur sa fille de 12 ans: « Il pourrait être expulsé »

 Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2018

viol suède

Une féministe a refusé d'informer la police lorsque son petit ami, demandeur d'asile, a commis une agression sexuelle sur sa fille de 12 ans: « Je craignais qu'il ne soit renvoyé » , a expliqué la femmeElle va même ordonner à sa fille de « ne pas dire quoi que ce soit » au sujet de ce qui est arrivé.

La fille a refusé de vivre avec son agresseur et sa mère amoureuse - le lendemain de l'agression, elle a déménagé chez son père où l'histoire a été découverte.

(...)

 

 

-feminist vägrade anmäla när flyktingdejten sexöverföll hennes 12-åriga dotter: "Han kan ju utvisas" http://www.friatider.se/mamma-v-grade-anm-la-flyktingbarn-som-sexangrep-hennes-12-riga-dotter 

 

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

lesobservateurs

mercredi, 18 octobre 2017

« Ma peau blanche me dégoûte » : l’aveu d’une fondatrice du féminisme

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2017

Auteur : admin4

« Ma peau blanche me dégoûte » : l’aveu d’une fondatrice du féminisme auteur, enseignant, journaliste, etc., Robin Morgan a aussi été un leader du gauchisme aux Etats-Unis.

Dans la citation reprise ici se manifestent la haine (de soi notamment) et la folie du gauchisme.

« Depuis le début des années 1960, Robin Morgan a été une membre influente du féminisme radical et une des leaders du féminisme international. Son anthologie Sisterhood Is Powerful, publiée en 1970, aurait contribué à la naissance des mouvements féministes aux États-Unis. […] [Elle s’attarde aussi sur] les difficultés d’être et femme et noire.

Pendant les années 1960, elle a participé au mouvement des droits civiques et aux manifestations contre la guerre du Vietnam. Elle a aussi fondé, ou participé à la fondation, de nombreuses institutions et groupes féministes. » (Source Wikipedia)

 robin-morgan.jpg

« Ma peau blanche me dégoûte. Mon passeport me dégoûte. Ils sont la marque d’un privilège privilège obtenu au prix de l’agonie d’autres. Si je pouvais m’écorcher entièrement, je l’aurais fait avec plaisir. Si je pouvais devenir une opprimée, je serais libre. »

Robin Morgan (in The Demon Lover, NY: Norton & Co., 1989 p. 224)

 

Source : contre-info

jeudi, 05 octobre 2017

Ulla Lundegård, féministe suédoise : « La polygamie, ce n’est pas si horrible… »

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

 

Pourquoi serait-ce si horrible qu’un homme arrive en Suède avec trois épouses et une ribambelle d’enfants ?
Est-ce que chaque membre de cette famille est plus pestiféré que chacun d’entre nous ? Ces personnes n’ont-elles pas un droit égal à vivre dignement et à résider en Suède ?

Pourquoi insistons-nous autant sur le fait que cet homme a trois épouses ? Et pourquoi ces déclarations de rejet quand la municipalité doit procurer un logement à tous ces gens ? Ils ont aussi le droit de vivre, non ?

[…]

Il se peut même qu’ils vivent une vie plus intéressante que de nombreux couples suédois […]

Ce que je veux dire par là, c’est que la tradition patriarcale prévaut dans toutes les générations, dans toutes les couches, en privé et en public.[…] et nous en sommes tous victimes, quel que soit le sexe ou la culture.‎

Ulla Lundegård, artiste et écrivain

(Traduction Fdesouche)

Expressen

samedi, 23 septembre 2017

Un manuel scolaire pour CE2 écrit à la sauce féministe

Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2017

Destiné aux écoliers, il promeut l’écriture « inclusive » ou « genrée » qui féminise tous les noms. On y lit que « grâce aux agriculteur.rice.s, aux artisan.e.s et aux commerçant.e.s, la Gaule était un pays riche ».

Les professeurs des écoles contactés sont sûrs d’eux: il s’agirait d’une première. Le manuel Magellan et Galilée Questionner le monde, destiné aux élèves de CE2 et publié en mars 2017 par Hatier, promeut «l’écriture inclusive», défendue par certaines féministes. Ceci consiste à inclure le féminin, entrecoupé de points, dans tous les noms, comme dans «mes ami.e.s». Dans la partie de ce manuel consacrée à l’histoire, on peut donc lire:

«Les agriculteur.rice.s au fil du temps», «Les artisan.e.s au fil du temps» ou encore «Les savant.e.s» et «Les puissant.e.s». On y apprend que «grâce aux agriculteur.rice.s, aux artisan.e.s et aux commerçant.e.s, la Gaule était un pays riche».

Il s’agit de cesser «d’invisibiliser les femmes», défendent les promoteurs de cette écriture. À leurs yeux, «le masculin l’emporte sur le féminin», et cette règle de grammaire instituée au XVIIe siècle, abusive selon eux, n’aurait plus lieu d’être.

C’est Alexandre Fiebig, professeur de physique-chimie qui a débusqué le lièvre via un spécimen numérique et qui l’a posté sur un groupe Facebook d’enseignants. Ironiques, ces derniers s’interrogent. De tels artifices ne risquent-ils pas d’introduire des confusions de déchiffrage et de compréhension? Surtout auprès d’enfants si jeunes? Sans compter que cette écriture militante n’a pas grand sens à l’oral. Et qu’elle n’est pas demandée par les programmes scolaires.

En page de garde, l’éditeur assume, expliquant avoir choisi d’appliquer les recommandations du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes datant de 2015. Il a veillé à «équilibrer autant que possible le nombre de femmes et d’hommes présentés», à accorder les noms de métiers, de titres, de grades et de fonctions, «en utilisant l’orthographe préconisée, comme artisan.e», ou encore à utiliser l’ordre alphabétique lors d’une énumération de termes identiques au féminin et au masculin afin de ne pas systématiquement mettre le masculin en premier: par exemple, les femmes et les hommes.

«Tout ceci contribue à une éducation à l’égalité entre tous», estime-t-il. Chez Hatier, une salariée confirme l’édition de ce livre, expliquant que «dans ce milieu très féminin de l’édition scolaire, nous avons pris l’habitude de communiquer entre nous, depuis cette année, via l’écriture inclusive, notamment dans nos mails. La maison y est attachée.» On s’y prête notamment un «manuel d’écriture inclusive», édité par une agence de communication en 2016, lequel promeut l’usage du «point médian», semblable au trait d’union, «mais plus discret»: «musicien·ne·s», «motivé·e·s». Tout un programme.

Le Figaro