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dimanche, 19 août 2018

France : Grenoble, ville dirigée par un maire rouge-vert, est devenue un «Chicago français», selon un syndicat policier

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Une délinquance 63% plus élevée que dans les autres villes de France de la même taille. C'est une situation sécuritaire «catastrophique» que dénonce l'antenne du syndicat de police Alliance en Isère.

Le syndicat Alliance Police Nationale a dénoncé le 17 août l'insécurité «catastrophique» régnant à Grenoble, un «Chicago français», alors même que le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb était en déplacement à quelques kilomètres de là, dans le Vercors. Dans son communiqué, l'antenne iséroise du syndicat de police met en exergue «une délinquance 63% plus élevée» dans la cité alpine «que dans des villes de même taille». «Rien que sur ces quinze derniers jours, on dénombre plusieurs agressions au couteau et règlements de comptes par armes à feu, l'un des protagonistes ayant moins de seize ans...», relève-t-il.

Le syndicat souligne qu'avec d'«autres acteurs de la sécurité» (mairie, préfecture, direction de la sécurité publique), il avait «tiré le signal d'alarme» auprès du «gouvernement et des directions centrales», sans résultats. Alliance Police Nationale rappelle les propos du procureur de la République à Grenoble, Jean-Yves Coquillat, qui avait affirmé il y a un an n'avoir «jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrénée par le trafic de drogue». Déplorant que le ministre Gérard Collomb «ait préféré se consacrer à la sécurisation des activités sportives et à l’air pur du Vercors plutôt qu’à l'atmosphère beaucoup moins vivifiante de la cité grenobloise», le syndicat affirme que trente postes ne sont pas pourvus sur la ville, «sans perspective de renfort sur les prochains mois». Selon lui, les policiers démotivés «sollicitent leur mutation, faute d'attractivité pour les retenir». Il demande notamment que le bassin grenoblois «soit considéré en secteur difficile et bénéficie de la prime de fidélisation correspondante» comme c'est le cas à Lyon. Et qu'il reçoive rapidement de nouveaux effectifs, comme à Marseille. «Sans un changement radical de politique, dans peu de temps, la loi de la rue remplacera celle de la République», pronostique-t-il.

Dans la nuit du 28 au 29 juillet, Adrien Perez, un jeune homme de 26 ans, a été mortellement poignardé devant une boîte de nuit située à Meylan, près de Grenoble, alors qu’il tentait de défendre son ami agressé. Meurtris, ses parents ont dénoncé le climat de violence qui règne dans le pays, tandis que la droite pointe le laxisme de l'Etat.

RT via lesobservateurs

mercredi, 08 août 2018

Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien Perez (une Marche blanche est organisée aujourd’hui à 16 heures)

Publié par Guy Jovelin le 08 août 2018

Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue à 16 heures, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.

Lucie Desfleurs@LDespls
 Marche Blanche pour le Mercredi 8 août à Grenoble.
Départ 16 heure place de Verdun.
Boulevard Voltaire ن@BVoltaire

Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien http://bv.ht/2FnjqJa 

Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.

Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente.

Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :

« La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »

« De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »

Toujours sur le même site, on peut lire :

« Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »

Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :

« Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »

Mais que fait alors la mairie ?

Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée »Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).

Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !

Bvoltaire via lesobservateurs

mercredi, 30 mai 2018

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2018

 

Nous parlions déjà de cet individu dans ces articles:

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

 

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés et protégés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

 

France: Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble « Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre en Europe »

**********

M. le Procureur de la République, je vous écris ce jour puisque la solidarité envers les éxilé.e.s reste un délit. Forte de sa politique d'accueil et d'aide, la Ville de Grenoble enfreint l'article L 622-1 du CESEDA. Condamnez-moi.

 

 

Source via lesobservateurs

mardi, 07 novembre 2017

Immobilier à Grenoble : « Les prix baissent mais personne ne veut acheter. L’insécurité a fait fuir les gens »

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre2017

 

Alors que le marché est reparti à la hausse, 20 Minutes s’est penché sur l’immobilier dans les plus grandes villes de France. A Grenoble, les prix baissent mais paradoxalement, les biens ne se vendent plus…

(…) Autre raison : la délinquance et la criminalité. « Avoir une ville qui n’est plus très sécurisée a fait fuir les gens », avance Martine Manhes. « En 2010, avant les émeutes de la Villeneuve, on vendait en moyenne 24 logements par an dans ce quartier. En 2011, deux seulement ont été vendus et aucun en 2012 », confirme Fabien Caminotti. Et de citer un autre exemple : « Après l’incendie volontaire de la gendarmerie, on a constaté que des transactions de 220.000 euros qui étaient en attente, avaient tout simplement disparu. Elles ont été retirées…»

20minutes.fr via fdesouche

jeudi, 12 octobre 2017

Avec 15 cambriolages par jour, les chiffres de la délinquance explosent à Grenoble

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Le nombre de vols violents avec arme bondit de 42% cette année à Grenoble / © France 3 Alpes

Le nombre de vols violents avec arme bondit de 42% cette année à Grenoble / © France 3 Alpes

Invité exceptionnel de l'émission "Dimanche en Politique", qui sera diffusée ce dimanche 15 octobre, le Procureur de la République de Grenoble dresse un bilan désastreux de la délinquance. Lors de l'enregistrement, Jean-Yves-Coquillat a livré, en exclusivité, des chiffres alarmants pour 2017.

 Par France 3 Alpes

"Nous sommes dans une situation qui n'est pas bonne". Le constat, sans appel, est signé Jean-Yves Coquillat. Le Procureur de la République de Grenoble, invité exceptionnel de l'émission "Dimanche en Politique" qui sera diffusé le dimanche 15 octobre, a en effet dressé, lors de l'enregistrement, un bilan catastrophique de la délinquance dans l'agglomération de Grenoble pour l'année 2017.

+42% pour les vols avec arme 

Si les chiffres ne sont pas encore définitifs puisque l'année n'est pas terminée, une grande tendance se dégage déjà. Tous les voyants sont au rouge. Certains sont même écarlates. Ainsi, le nombre de cambriolages a augmenté de 10% en un an. Désormais, en moyenne, 15 cambriolages sont perpétrés chaque jour à Grenoble, "ce qui est énorme" commente le Procureur. 

Cette tendance à une forte hausse se retrouve également pour les véhicules incendiés (+8%) et pour les vols violents sans arme (+26%). Mais le chiffre le plus inquiétant concerne le nombre de vols violents avec arme, en hausse de 42%. Pourtant, avec 222 cas en 2016, ces vols très traumatisants étaient plutôt à la baisse depuis trois ans. 

"Les stupéfiants gangrènent la ville"

Pour expliquer ce bilan a priori catastrophique, le Procureur de la République met en avant deux facteurs : un trafic de stupéfiant qui "gangrène l'ensemble de la ville et qui entretient une économie souterraine importante" ainsi qu'un "niveau de violence très élevé pour une ville de cette taille". Les deux facteurs étant étroitement liés. 

En 2016, alors ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve avait expliqué que le niveau de délinquance à Grenoble était 63% plus élevé que dans les autres agglomérations de taille similaire. Avec ce premier bilan exclusif, son constat ne peut être que confirmé. De quoi relancer les polémiques politiques sur la vidéosurveillance et l'armement de la police municipale. Et conforter les syndicalistes policiers qui réclament depuis longtemps de nouveaux renforts. 

"Dimanche en politique", une émission à suivre en intégralité ce dimanche 15 octobre 2017 à partir de 11h30 sur France 3 Alpes.
 
Source : france3-regions.francetvinfo