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mercredi, 05 décembre 2018

Arc de Triomphe : De simples amendes pour Mohamed, Oualid et Miloud de Bondy, jugés pour recel suite au pillage du monument

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Par  le 05/12/2018

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Le 3 décembre, 57 manifestants ont comparu à Paris. Les plus violents courent-ils toujours?

(…)

Trois receleurs de l’Arc de triomphe

Il y a aussi la délinquance d’opportunité de jeunes franciliens, comme l’a signalé le nouveau procureur de Paris Rémy Heitz. Profil qui semble correspondre à un trio d’habitants de Bondyâgés de 21 ou 22 ans, Mohamed, Oualid et Miloud. Ils sont poursuivis pour recel du vol de six pièces dorées issues du pillage au sein de l’Arc de triomphe. Ils ont été interpellés Porte de Pantin, à 3 heures du matin, à bord d’une BMW roulant à vive allure.

C’est à ce moment-là que les policiers sont tombés sur les pièces rangées dans le vide-poches d’une portière. « J’ai acheté ces six pièces pour 60 euros à Bondy, vers 20 heures« , soutient Mohamed, menuisier en intérim payé 1900 euros par mois. Les magistrats ont eu du mal à comprendre le périple de leur soirée. « On s’est garé Porte Maillot, car je voulais m’acheter une paire de pompes à 800 €, rue de Rivoli » , expose, un peu gêné, Oualid, chauffeur-livreur payé 1500 euros par mois, qui vit chez ses parents. La présidente ne cache pas sa surprise. Que l’on puisse investir plus de la moitié de sa paye dans une paire de chaussures lui semble déraisonnable.

« On est bien loin des idées révolutionnaires, c’est un délit aussi sordide qu’opportuniste, lâche le procureur. Le trio de receleurs ne pouvait pas ignorer d’où provenait le vol. Ils avaient même une batte de baseball dans leur voiture afin de protéger leur butin« . « Ces trois jeunes n’ont rien à voir avec les violences de samedi dernier, plaide leur avocate. Ils aiment les boîtes, draguer et acheter des vêtements de luxe. Et seuls deux d’entre eux se sont rendus à Paris ce soir-là. » Le tribunal a pris en compte cet argument : seuls Mohamed et Oualid sont condamnés à 90 jours-amendes, de respectivement 20 et 15 euros.

L’Obs via fdesouche

mardi, 31 juillet 2018

Le gouvernement est incapable d’endiguer la délinquance, mais Schiappa veut verbaliser le « harcèlement de rue »

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Tout est bon pour détourner le Français des véritables problèmes de notre pays. La police déjà incapable de stopper les violences liées aux banlieues africanisées, serait désormais en mesure d’appliquer efficacement cette loi ? Cette mesurette ne changera rien au quotidien des femmes agressées dans la rue, mais elle alimentera la propagande du gouvernement en direction de la frange féministe de ces électeurs.

Comme si le principal problème des femmes dans  Dans un entretien accordé au Parisien, la ministre déplore ne pas être surprise par la vidéo publiée ce week-end dans laquelle une jeune femme est frappée au visage par un homme devant un bar parisien. « La réponse politique doit être forte et elle l’est. Dans le projet de loi qui doit être adopté en fin de semaine, il sera établi qu’importuner, suivre, menacer une femme… est interdit », affirme Marlène Schiappa.

Les premières amendes devraient être mises en automne

Dans le nouveau projet de loi, la palette de comportements condamnables sont élargis (commentaires, sifflements, regards appuyés, propos sexistes, suivre dans la rue…) seront répréhensible d’une amende de 90 € à 750 €. En cas de circonstances aggravantes, elle pourra atteindre jusqu’à 3 000 €, en plus d’un stage de civisme. « Il n’y aura évidemment pas un policier derrière chaque femme, comme il n’y a en pas un derrière chaque panneau Stop. Le temps de la promulgation de la loi, les premières amendes devraient être mises à l’automne. Il s’agit de poser un interdit social clair et de l’accompagner de pédagogie », estime Marlène Schiappa.

Source : Valeurs Actuelles

jeudi, 12 octobre 2017

Avec 15 cambriolages par jour, les chiffres de la délinquance explosent à Grenoble

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Le nombre de vols violents avec arme bondit de 42% cette année à Grenoble / © France 3 Alpes

Le nombre de vols violents avec arme bondit de 42% cette année à Grenoble / © France 3 Alpes

Invité exceptionnel de l'émission "Dimanche en Politique", qui sera diffusée ce dimanche 15 octobre, le Procureur de la République de Grenoble dresse un bilan désastreux de la délinquance. Lors de l'enregistrement, Jean-Yves-Coquillat a livré, en exclusivité, des chiffres alarmants pour 2017.

 Par France 3 Alpes

"Nous sommes dans une situation qui n'est pas bonne". Le constat, sans appel, est signé Jean-Yves Coquillat. Le Procureur de la République de Grenoble, invité exceptionnel de l'émission "Dimanche en Politique" qui sera diffusé le dimanche 15 octobre, a en effet dressé, lors de l'enregistrement, un bilan catastrophique de la délinquance dans l'agglomération de Grenoble pour l'année 2017.

+42% pour les vols avec arme 

Si les chiffres ne sont pas encore définitifs puisque l'année n'est pas terminée, une grande tendance se dégage déjà. Tous les voyants sont au rouge. Certains sont même écarlates. Ainsi, le nombre de cambriolages a augmenté de 10% en un an. Désormais, en moyenne, 15 cambriolages sont perpétrés chaque jour à Grenoble, "ce qui est énorme" commente le Procureur. 

Cette tendance à une forte hausse se retrouve également pour les véhicules incendiés (+8%) et pour les vols violents sans arme (+26%). Mais le chiffre le plus inquiétant concerne le nombre de vols violents avec arme, en hausse de 42%. Pourtant, avec 222 cas en 2016, ces vols très traumatisants étaient plutôt à la baisse depuis trois ans. 

"Les stupéfiants gangrènent la ville"

Pour expliquer ce bilan a priori catastrophique, le Procureur de la République met en avant deux facteurs : un trafic de stupéfiant qui "gangrène l'ensemble de la ville et qui entretient une économie souterraine importante" ainsi qu'un "niveau de violence très élevé pour une ville de cette taille". Les deux facteurs étant étroitement liés. 

En 2016, alors ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve avait expliqué que le niveau de délinquance à Grenoble était 63% plus élevé que dans les autres agglomérations de taille similaire. Avec ce premier bilan exclusif, son constat ne peut être que confirmé. De quoi relancer les polémiques politiques sur la vidéosurveillance et l'armement de la police municipale. Et conforter les syndicalistes policiers qui réclament depuis longtemps de nouveaux renforts. 

"Dimanche en politique", une émission à suivre en intégralité ce dimanche 15 octobre 2017 à partir de 11h30 sur France 3 Alpes.
 
Source : france3-regions.francetvinfo

mardi, 17 janvier 2017

Les touristes chinois fuient Paris: "Pour eux, la petite délinquance est devenue un vrai fléau"

 Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2017

 

Les vols et les agressions auraient provoqué une baisse de 25% du nombre de touristes chinois à Paris en 2016. Un chiffre qui grimpe à 46% chez les Japonais.

mercredi, 07 octobre 2015

La délinquance continue d’augmenter selon l’INSEE

Publié par Guy Jovelin le 7 octobre 2015 

Le nouvel outil statistique, présenté comme « plus fiable et impartial », montre que tous les indicateurs étudiés, hormis les homicides, sont à la hausse. Ce panorama, encore parcellaire, ne prend pas en compte les viols, les actes de vandalisme ou les délits économiques et financiers. Personne ne sera surpris de ces statistiques, tant la politique actuellement menée par Valls-Taubira est ahurissante, politique de permissivité qui vise à chercher systématiquement des excuses aux délinquants et surtout qui vise, sous le verbiage de réinsertion, à leur octroyer toutes les faveurs.

C’est ainsi qu’un braqueur a ouvert le feu contre un policier de 36 ans, le blessant très grièvement (celui-ci est toujours entre la vie et la mort), avant de se faire abattre. Mais qui donc était ce braqueur ? Dans la presse, il est présenté comme un évadé « en cavale ». La réalité est quelque peu différente : Pour être « en cavale », ce braqueur n’a jamais dû escalader d’enceintes, n’a jamais dû fausser compagnie à ses geôliers. S’il était en cavale, c’est après être sorti par la porte de la prison qui lui avait été grande ouverte. En effet, dans le but de réinsérer les détenus (véritable obsession de Valls-Taubira), ceux-ci obtiennent des permissions (alors que déjà tout détenu n’effectue jamais la totalité de sa peine). Or, au terme de sa permission, le braqueur n’avait jamais regagné sa prison. Voilà comment notre braqueur s’était, paraît-il, évadé… Ainsi donc, si évasion il y a, elle a eu des complicités au plus haut sommet de l’Etat. Cela est d’autant plus ahurissant qu’il avait été fiché pour radicalisation islamique, puisqu’une fiche « S » avait été établie le concernant, exactement comme pour Mohamed Merah, les frères Kouachi, etc. Mais qu’est-ce que l’Etat ne ferait-il pas pour réinsérer ? Aujourd’hui, une famille française vit l’angoisse de l’annonce de la mort à cause de la politique criminelle de l’actuel gouvernement. Quand donc une véritable politique sécuritaire, qui passe par le rétablissement de la peine de mort, et qui permettra de combattre la délinquance et la criminalité, sera-t-elle mise en place ? Quand donc les gouvernements auront à coeur de défendre le bien commun plutôt que de vouloir systématiquement réinsérer des déviants, fussent-ils les plus abominables criminels ?

PS : Hier, Imad Chafouk, caïd de Vitry-sur-Seine (94) et trafiquant de drogue s’est évadé lors d’un tournoi de boxe, organisé à Agen. Il était libérable en 2022 (et donc condamné à une peine allant bien au delà). Il s’était déjà évadé en 2009.Merci, peuvent dire tous ces gens, à Valls-Taubira pour cette politique deréinsertion. Les honnêtes citoyens, eux, comptent leurs victimes.

Source : http://www.contre-info.com/