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mercredi, 15 mars 2017

Trois familles de clandestins relogés à l’hôtel

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2017

Avenue Etienne Billières, trois familles de nationalité Albanaise ont investi le trottoir de la veille sociale en campant illégalement depuis dix jours. Ils ont été pris en charge et relogés à l’hôtel, aux frais des contribuables.

C’est une information que les sans-abris doivent prendre au sérieux. Pour la seconde fois, le trottoir attenant aux locaux de la veille sociale a été squatté par plusieurs familles de demandeurs d’asile albanais.

En septembre dernier déjà, plusieurs dizaines de migrants s’étaient installés dans un campement illégal. Depuis dix jours, trois familles venues d’Albanie se sont invitées devant les locaux du 115 à Toulouse, avenue Etienne-Billières. Elles ont été prises en charge dimanche soir et logées provisoirement à l’hôtel, où leur chambre est payée par le contribuable.

Au total 12 personnes ont donc été relogées et espèrent bénéficier d’une prise en charge dans un Centre d’Accueil et d’Orientation (CAO) ou un Centre d’accueil de demandeurs d’asiles (CADA). Mais le collectif organisant ces campements laissent les tentes sur place afin d’y abriter de nouvelles familles, afin d’obliger les autorités locales à les prendre en charge.

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 11 novembre 2016

Malade il dort dans la rue : « Mais aux migrants ils donnent l’hôtel »

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2016

sdf-italienIl a 62 ans et il souffre du cœur. Il a eu un infarctus, il est cardiaque. Il est sans travail et sans toit. Mais le gouvernement au lieu de l’aider pense aux migrants qui débarquent en Italie.

L’histoire de Gianfranco Tomé pourrait être l’histoire de bien des Français. Et elle nous fait nous indigner !

Après 39 année de travail honnête il a été licencié. La crise économique l’a laissé dans la rue. Même la maladie n’a pas fait bouger les autorités.

« Pour les « réfugiés » il y a les hôtels et les communautés. Pour moi, qui ai travaillé 39 ans et qui ai une pathologie cardiaque, j’ai seulement la rue. » Cet homme n’a plus rien. Les Services Sociaux de Sesto, la ville où il vit, à qui il a demandé une maison ou au moins un lit, ne lui ont rien donné ! Il avait une maison, mais il ne pouvait plus payer le loyer. Sont arrivées la rue et le banc public.

« Je suis désespéré, frustré et fatigué. Après 39 ans de travail comme agent de sécurité et une invalidité à 75% je n’ai pas droit à la pension. Ils me disent que je dois attendre d’avoir 67 ans. Et en attendant, je n’ai même pas d’argent pour manger. »

Pas de centre d’accueil pour cet SDF italien. Pas d’intérêt. Pas d’aide. Un gouvernement indifférent.

Pour Gianfranco, aucun de ces humanitaristes bien-pensants qui ont la main sur le cœur et des tremolos dans la voix dès qu’ils parlent des « pauvres migrants » ne se mobilise.

La mode philanthropique est aux migrants !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info