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samedi, 22 juillet 2017

Dans certains quartiers, tuer du « flic » n’est plus un tabou

Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2017

Pour la deuxième fois en quelques jours, des policiers toulousains ont été victimes de tentatives d’homicide par des individus refusant de se plier à des contrôles de routine ; ces voyous n’hésitant plus à tenter de blesser, voire de tuer les agents de la force publique avec leurs véhicules. Les tentatives d’homicide sur une personne dépositaire de l’autorité publique sont des faits graves, mais qui malheureusement deviennent de plus en plus récurrents.

On se souviendra de ces deux policiers pris à parti par des militants antifascistes en marge des manifestations contre la loi travail en mai 2016 et surtout des deux autres agents gravement brulés dans leur véhicule après avoir été agressé par une quinzaine de « jeunes » à Grigny en janvier dernier.

Lors des fêtes du 14 juillet dernier, certains quartiers parisiens se sont presque transformés en zone de guerre, des délinquants n’hésitant plus à tendre de véritables embuscades aux forces de l’ordre classique mais aussi aux pompiers et autres services publics.

IL Y A MAINTENANT UNE VOLONTÉ CLAIRE DANS LES ESPRITS DE CERTAINES BANDES ETHNICO-DÉLINQUANTE OU ENCORE D’EXTRÊME-GAUCHE DE COMBATTRE LA POLICE AVEC UNE VOLONTÉ HOMICIDE CLAIREMENT ASSUMÉE. TUER DU FLIC N’EST PLUS UN TABOU !   

                                                                                                Il ne faudra plus attendre longtemps avant de voir des petits délinquants de banlieue abandonner les coktails-molotov et autres projectiles pour des armes beaucoup plus dangereuses : pistolets automatique, armes de guerre, etc.

La politique, qui consiste à ne plus appréhender les jeunes délinquants pour des incivilités comme la conduite sans casque ou les rodéos en deux roues afin d’éviter les émeutes, envoi un signal de faiblesse à ces bandes qui se croient encouragées à tous les débordements.

Beaucoup d’élus locaux ou de cadres des forces de l’ordre le disent, nous sommes au bord de l’explosion, il suffit d’un incident, d’un autre Adama Traoré pour que tout dégénère et échappe complétement aux services de police et à l’Etat.

UNE CHOSE EST SURE, LES FORCES DE L’ORDRE TRADITIONNELLES (POLICE ET GENDARMERIE) NE POURRONT, CONTINUER LONGTEMPS, À FAIRE FACE SEULES À UNE VIOLENCE QUI GAGNE EN INTENSITÉ CHAQUE JOUR.

Jérôme Gerber.

 

Source : infos-toulouse

mercredi, 17 février 2016

Homicides en Allemagne : taux de suspects par nationalité

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2016

Homicides en Allemagne : taux de suspects par nationalité

Source : http://www.ndf.fr/

 

dimanche, 18 mai 2014

Jamel Debbouze accusé de meurtre depuis 20 ans…

Publié par Guy Jovelin

Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE (16 ans), fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes.
Un train qui arrivait à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette main qu’il cache obstinément dans ses poches.

« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera de dire Marlène Admette. « Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée.
C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »

Jamel fut poursuivi pour homicide involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra un non-lieu.
La mère ajoute que Jamel n’aurait jamais daigné présenter ses excuses à la famille Admette.

« Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes». «Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé.
Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé.»

«On ne nous a rendu que le corps. Oui, c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.

En 2007, Jamel Debbouze avait programmé une tournée à la Réunion. Il a dû l’annuler au dernier moment, évoquant un problème de santé. Pour les Admette, qui avaient manifesté en apprenant sa venue, il avait seulement eu peur de se retrouver face à eux.

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