Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 24 mars 2018

Carcassonne : dans la cité ou habitait Radouane Lakdim « plusieurs jeunes ont crié sans vergogne leur soutien rageur à Radouane »

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2018

Par  le 24/03/2018 

Radouane Lakdim, 25 ans, n’est pas un inconnu pour les riverains de la route dite de Narbonne, la N 113, en contrebas de la cité Ozanam où il résidait. Une cité bouclée par les forces de l’ordre toute la nuit pour éviter les incidents. De nombreux jeunes encapuchonnés venaient au contact prêt à en découdre et déconseillaient vertement d’approcher.

[…] Les CRS, eux, isolaient la cité du reste du quartier vendredi soir et samedi matin pour prévenir toute flambée de violences. Là même où l’appartement de la famille du terroriste a été perquisitionné ainsi qu’une voiture garée juste en face. Policiers et plusieurs jeunes criant sans vergogne leur soutien rageur à Radouane se regardaient en chien de faïence.

 

Le Parisien via fdesouche

samedi, 22 juillet 2017

Dans certains quartiers, tuer du « flic » n’est plus un tabou

Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2017

Pour la deuxième fois en quelques jours, des policiers toulousains ont été victimes de tentatives d’homicide par des individus refusant de se plier à des contrôles de routine ; ces voyous n’hésitant plus à tenter de blesser, voire de tuer les agents de la force publique avec leurs véhicules. Les tentatives d’homicide sur une personne dépositaire de l’autorité publique sont des faits graves, mais qui malheureusement deviennent de plus en plus récurrents.

On se souviendra de ces deux policiers pris à parti par des militants antifascistes en marge des manifestations contre la loi travail en mai 2016 et surtout des deux autres agents gravement brulés dans leur véhicule après avoir été agressé par une quinzaine de « jeunes » à Grigny en janvier dernier.

Lors des fêtes du 14 juillet dernier, certains quartiers parisiens se sont presque transformés en zone de guerre, des délinquants n’hésitant plus à tendre de véritables embuscades aux forces de l’ordre classique mais aussi aux pompiers et autres services publics.

IL Y A MAINTENANT UNE VOLONTÉ CLAIRE DANS LES ESPRITS DE CERTAINES BANDES ETHNICO-DÉLINQUANTE OU ENCORE D’EXTRÊME-GAUCHE DE COMBATTRE LA POLICE AVEC UNE VOLONTÉ HOMICIDE CLAIREMENT ASSUMÉE. TUER DU FLIC N’EST PLUS UN TABOU !   

                                                                                                Il ne faudra plus attendre longtemps avant de voir des petits délinquants de banlieue abandonner les coktails-molotov et autres projectiles pour des armes beaucoup plus dangereuses : pistolets automatique, armes de guerre, etc.

La politique, qui consiste à ne plus appréhender les jeunes délinquants pour des incivilités comme la conduite sans casque ou les rodéos en deux roues afin d’éviter les émeutes, envoi un signal de faiblesse à ces bandes qui se croient encouragées à tous les débordements.

Beaucoup d’élus locaux ou de cadres des forces de l’ordre le disent, nous sommes au bord de l’explosion, il suffit d’un incident, d’un autre Adama Traoré pour que tout dégénère et échappe complétement aux services de police et à l’Etat.

UNE CHOSE EST SURE, LES FORCES DE L’ORDRE TRADITIONNELLES (POLICE ET GENDARMERIE) NE POURRONT, CONTINUER LONGTEMPS, À FAIRE FACE SEULES À UNE VIOLENCE QUI GAGNE EN INTENSITÉ CHAQUE JOUR.

Jérôme Gerber.

 

Source : infos-toulouse

mardi, 17 janvier 2017

« Je suis une bourge du 16e et je veux plus de mixité dans mon quartier »

Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2017

Par le 16/01/2017 
 De nombreux habitants du 16e arrondissement se sont opposés à la construction d’un centre pour sans-abris, mais pas Valérie. Au contraire, cette « bourge » se bat pour plus de mixité dans son quartier.

En mars dernier, des habitants de mon quartier se sont violemment opposés à l’ouverture d’un centre pour sans-abris. J’étais scandalisée par la réaction des gens, leur agressivité. C’est difficile à assumer, parce que je suis la « bourge du 16 ». Sur Facebook, j’ai écrit que j’avais honte d’être associée à ces gens qui ont peur de l’autre. On était une minorité à défendre ce centre. Puis progressivement, il y a eu un mouvement de solidarité des riverains. Au milieu des bourges réacs du quartier, il y a aussi des gens biens.

Ça a commencé avec la réunion à Dauphine [de présentation du projet], en mars dernier, qui avait tournée aux insultes (link is external) . Certains ont dit que les médias avaient exagéré voire inventé l’histoire de toutes pièces, mais je peux attester que non. J’ai vu les affichettes dans mon immeuble, les pétitions qui tournaient avec la pression de mes voisins pour signer. Je suis aussi déléguée des parents d’élèves dans l’école de ma fille, en primaire. Aux réunions, les parents s’inquiétaient de savoir si on allait accueillir “ces gens-là” à l’école. Ils parlaient d’insécurité, des agressions sexuelles à Cologne (link is external). J’ai hurlé en entendant ça : ce sont des gosses, c’est inacceptable de se poser ce genre de questions !

(…) Streetpress

 

Source : fdesouche