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jeudi, 11 octobre 2018

La Chine part en guerre contre le halal

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Par  le 11/10/2018

 

La lutte des autorités chinoises contre tout ce qui ressemble de près ou de loin à un musulman continue dans la région Xinjiang. Après l’interdiction du port du voile et les barbes « longues », les autorités locales veulent maintenant mettre au fin au Halal.

Ainsi, une bataille décisive vient d’être annoncée par le Parti communiste chinois d’Urumqi, capitale du Xinjiang, dont les conseillers viennent de prêter serment pour mener une lutte sans merci contre le Halal et sa propagation, rapporte le site Saphirnews.

« Je crois au marxisme-léninisme. Je lève l’étendard et combats jusqu’au bout la mode du halal, ferme dans ma croyance, et même jusqu’à la mort », est-il écrit dans cette note dont le contenu a été relayé par le réseau WeChat.

Les autorités chinoises semblent vouloir tout faire pour mettre fin à l’Islam dans cette région et ont même lancé des « centres de rééducation » pour « éduquer et transformer les personnes qui ont été influencées par l’extrémisme » et « les aider à transformer leurs pensées et à revenir dans la société ou leurs familles », indique la même source.

mardi, 12 décembre 2017

Au collège Jean-Moulin, « depuis l’interdiction du portable, les élèves ont retrouvé le plaisir de jouer ensemble »

Le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer a annoncé, dimanche 10 décembre, vouloir interdire le téléphone portable à l’école et au collège l’année prochaine. Une mesure déjà appliquée au collège Jean-Moulin, à Paris.

Au collège Jean-Moulin, « depuis l’interdiction du portable, les élèves ont retr...

 

Julie, 13 ans, ne lâche pas son téléphone portable pendant le trajet jusqu’au collège, mais arrivée devant l’établissement elle le range dans son sac, comme tous les élèves. Au collège Jean-Moulin, à Paris, personne ne lui réclamera l’appareil à l’entrée, mais elle sait qu’elle n’aura pas le droit de l’utiliser, même dans la cour de récréation.

« Nous avons interdit les portables il y a déjà deux ans, suite à plusieurs cas de harcèlement et de rumeurs sur Internet, explique Marie-Thérèse Dugenet, la principale. Il s’agit seulement d’une interdiction d’usage, inscrite au règlement intérieur du collège. Nous n’avons pas le droit d’interdire l’appareil et c’est plus simple ainsi car je ne vois pas comment nous pourrions les récupérer à l’entrée. L’utilisation du téléphone portable est un phénomène de société qui dépasse l’école. Les parents n’accepteraient pas que leurs enfants ne soient pas joignables. »

« On est passés de 4-5 portables confisqués par jour à 3-4 par semaine »

La première année, certains élèves ont eu du mal à respecter la consigne, mais elle semble aujourd’hui entrée dans les mœurs de l’établissement. « On est passés de 4-5 portables confisqués par jour à 3-4 par semaine, précise Marie-Thérèse Dugenet. L’interdiction a été assez facile à mettre en place et plutôt bien acceptée. »

Le personnel d’éducation ne peut certes pas surveiller tous les collégiens, dont certains arrivent à « utiliser leur téléphone en cachette », reconnaît la principale, mais le bilan de l’expérience reste « très positif » à ses yeux. « Si nous voyons le portable ou si nous l’entendons, il est immédiatement confisqué et seuls les parents peuvent venir le récupérer. »

Les élèves jouent à nouveau ensemble

La satisfaction de l’équipe éducative est d’autant plus forte que les élèves ont changé de comportement pendant la récréation : « Depuis cette interdiction, ils n’écoutent plus de musique et ont retrouvé le plaisir de jouer ensemble, assure Marie-Thérèse Dugenet. Nous avons ouvert un atelier de jeux de société à l’heure du déjeuner et nous sommes obligés de refuser des élèves, faute de place. »

Si le rôle de l’éducation nationale n’est pas d’interdire la possession du portable, selon la principale de ce collège parisien, l’école ne doit pas pour autant encourager son utilisation et entretenir ce qu’elle considère comme « une addiction ». Sans compter que ces objets de valeur « attisent la convoitise », rappelle-t-elle, et que certains élèves se sont fait agresser devant l’établissement « à cause de leur portable ».

Paula Pinto Gomes
 
Source : la-croix

mardi, 13 septembre 2016

POUR UNE INTERDICTION DE L'AÏD-EL-KÉBIR ET DE L'ABATTAGE RITUEL EN FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2016

Comme chaque année, partout en France, des millions de musulmans égorgeront à partir d'aujourd'hui de pauvres bêtes dans des conditions souvent ignobles. En effet, les abattoirs légaux, pourtant installés avec déférence par des pouvoirs publics zélés, ne suffisent pas aux égorgeurs de moutons qui, pour beaucoup, préfèrent effectuer la boucherie dans la baignoire de leur logement ou bien en pleine nature, au détriment de toutes les règles élémentaires d'hygiène.


Pour une interdiction de l'Aïd-el-Kébir et de l'abattage rituel en France

L'animal (tourné vers la Mecque) n'est bien sûr pas étourdi avant qu'on lui coupe la gorge avec plus ou moins de dextérité, les "sacrificateurs" homologués n'étant pas suffisamment nombreux ; il agonise et se vide de son sang durant de longues minutes.

Le Parti de la France, scandalisé par les souffrances inutiles dont les animaux de boucherie sont victimes pour satisfaire des exigences religieuses et communautaristes d'un autre âge, réclame l'application sans dérogation de l'étourdissement préalable avant la mise à mort et l'interdiction des cruels abattages rituels, comme l'Aïd-El-Kébir, complètement étrangers aux traditions françaises.

Communiqué du parti-de-la-france