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dimanche, 21 août 2016

Jean Raspail en Bretagne : c'est maintenant que commence la Camp des Saints...

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2016

Un entretien avec Breizh info cliquez ici :

20/08/2016 – 07H00 Fréhel (Breizh-info.com) – Jean Raspail, l’auteur notamment du Camp des Saints, terrible best-seller prophétique, est un amoureux de la Bretagne. Il passe régulièrement ses vacances à Fréhel (22) – un coin qu’il apprécie particulièrement – où il nous a fait l’honneur de nous accorder une interview.

L’occasion pour nous de l’interroger sur sa relation avec Fréhel et ce secteur si particulier de la Bretagne. Mais aussi sur son rapport à la Bretagne. Et bien entendu, sur son oeuvre, et notamment Le Camp des Saints. Enfin, nous en avons profité pour questionner Jean Raspail sur l’actualité, et notamment sur l’islamisation, mais aussi sur la vague migratoire sans précédent qu’il avait prédit.

Jean Raspail s’est totalement prêté à l’exercice, et ses réponses pimentées ne manqueront pas de surprendre nos lecteurs. De son attachement à l’identité bretonne, au clan breton, et à son enracinement, à sa volonté de faire abolir les lois Pleven-Gayssot-Taubira, en passant par son constat sans fioriture sur la montée de l’islamisme ou l’invasion migratoire, on ne s’ennuie pas un instant durant les 35 minutes d’entretien qu’il nous a accordé.

Il y a plus de quarante ans, en 1973, Jean Raspail faisait scandale en publiant « Le Camp des Saints », roman dans lequel il imaginait le déferlement de populations du tiers-monde, poussées par la faim et la misère sur les côtes françaises. Un million de boat people prenaient pied sur notre territoire, en avant-garde d’une inéluctable invasion. Le gouvernement atermoyait, puis cédait. Mais une poignée de patriotes résistait jusqu’au bout, les armes à la main…

Aujourd’hui, force est de constater que l’Histoire valide la thèse de son roman. Un roman dont il a refait la préface, en 2011, que Polémia analysait ainsi : « L’Europe, la France vivent sous le joug d’une idéologie unique : Big Other. Une admiration sans bornes de l’autre, doublée de la haine de soi, de sa culture, de sa civilisation. Une idéologie unique qui nous assujettit grâce aux méthodes de Big Brother : la société de surveillance que nous connaissons où la police de la pensée est omniprésente. Une idéologie unique qui s’impose d’autant plus facilement aux individus qu’ils sont affaiblis par la tutelle de Big Mother : le principe de précaution qui doit s’appliquer du berceau à la tombe. Sauf dans un domaine, semble-t-il, celui des… politiques migratoires ».

 

source : synthesenationale

lundi, 05 octobre 2015

Capitaine perdu – Une magnifique BD préfacée par Jean Raspail, parue chez Glénat

 


 

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Jacques Terpant est un dessinateur de BD fasciné par l’œuvre et l’univers de Jean Raspail. Au point, subtil clin d’œil, d’avoir donné les traits de Jean Raspail à un personnage de second plan dans un épisode de Largo Winch.

Voilà déjà six ans que Jacques Terpant a commencé à adapter en BD des romans de Jean Raspail. Sept cavaliers et Le Royaume de Borée ont ainsi atteint avec succès les amateurs de bande dessinée.

Avec Capitaine perdu, Jacques Terpant nous montre une fois de plus qu’il est un grand de la bande dessinée contemporaine, sachant se débrouiller seul pour assurer le scénario et le dessin. S’inspirant du roman de Jean Raspail intitulé En canot sur les chemins d’eau du Roi, Jacques Terpant conduit le lecteur à Fort de Chartres, auprès du dernier des capitaines français dans le dernier des forts du Roi de France dans les Amériques.

Cette bande dessinée retrace avec finesse les liens méconnus et oubliés entre des Indiens et des Français et l’abandon de ces Indiens aux Anglais en l’an 1760. Des Indiens qui avaient supplié les Français de rester auprès d’eux et de combattre ensemble les Anglais. Avec cette BD, c’est une fenêtre de l’Histoire qui s’ouvre à nous, celle des Biloxis, des Illinois, des Shawnees,…, ces nations indiennes qui avaient accepté de guerroyer sous la bannière à fleur de lys.

Le lecteur prendra plaisir à suivre la trace de Louis Groston de Bellerive de Saint-Ange, leCapitaine perdu. Le scénario est épique, le dessin est superbe, les détails sont fouillés. C’est un véritable régal.

Capitaine perdu, par Jacques Terpant, préface de Jean Raspail, éditions Glénat, septembre 2015.

mercredi, 16 septembre 2015

A réécouter : Jean Raspail parlant du Camp des Saints et de l’immigration-invasion

Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2015

Jean Raspail a écrit Le Camp des Saints, roman visionnaire, en 1972 et l’a publié en 1973. Il était encore questionné au sujet de ce livre en 2011 au cours d’une émission de Frédéric Taddeï. C’est à réécouter à la lumière des événements d’aujourd’hui, du torrent migratoire qui déferle, et des réactions des « élites »…