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mardi, 29 janvier 2019

Près de 130 jihadistes “français” vont revenir

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2019

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Près de 130 jihadistes “français” vont revenir

Près de 130 jihadistes français, détenus dans des camps en Syrie sous la surveillance des Kurdes, vont être rapatriés dans les prochaines semaines en France. Christophe Castaner a annoncé :

“Tous ceux qui rentreront en France seront judiciarisés et confiés aux juges. Lorsque le juge estimera qu’il faudra les mettre en prison – et ce sera l’essentiel des cas – ils seront mis en prison”.
“Certains sont déjà revenus et sont incarcérés, nous les connaissons. Ceux qui reviendront seront écroués.”

Que signifie “l’essentiel des cas” ? Pas tous ? Il y a des djihadistes qui seront donc laissés en liberté ?

Chaque cas sera examiné et jugé individuellement. A leur arrivée en France, les hommes qui ne font pas l’objet d’un mandat d’arrêt international seront entendus par la police. Ceux qui sont déjà recherchés, seront directement déférés devant le juge. Ils seront ensuite mis en examen et placés en détention provisoire en attendant leur procès.

A ce jour, plus de 500 personnes sont incarcérée en France soit dans le cadre d’une détention provisoire, soit dans le cadre d’une condamnation. Ils sont suivis par des surveillants et des équipes disciplinaires, composée de psychologues, d’éducateurs, d’imams et des conseillers pénitentiaires d’insertion qui travaillent au désengagement de la violence. Rien que ça.

 

Source : lesalonbeige

dimanche, 29 avril 2018

LES CASQUES BLANCS REMIS A LEUR PLACE PAR UN CHANTEUR DE ROCK

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

samedi 28 avril 2018par Michel Dantan

casques blancs,chanteur de rock,jihadistes,syrieA l’occasion d’un concert qu’il a donné à Barcelone le 13 avril, l’ex leader du groupe « Les Pink Floyd » Roger Waters s’adressant aux milliers de fans venus l’écouter, a qualifié les Casques Blancs » opérant dans les territoires syriens contrôlés par les jihadistes, d’imposteurs au service de la propagande du terrorisme jihadiste (1). Leurs allégations à propos d’une attaque chimiques présumée sur la Goutha orientale dans la banlieue de Damas n’avaient pour but selon lui que de provoquer une intervention militaire de la coalition et d’ajouter après une première salve d’applaudissements du public « qu’en partageant la propagande des casques Blancs, nous encouragions nos gouvernements à bombarder le peuple syrien, ce qui pour nous en tant qu’êtres humains serait une faute aux conséquences monstrueuses ». Autant dire que dans le climat d’hystérie xénophobe anti Assad qui sévit dans les salles de rédaction de la presse mainstream depuis le début du conflit en Syrie, il y avait peu de chances pour que des propos aussi anti conformistes tombées de la bouche d’un artiste chanteur considéré pourtant comme une vedette internationale de la musique rock, reçoivent l’écho qu’ils méritaient. D’où le mur du silence aussitôt érigé par la presse aux ordres autour de l’évènement mais que les sites d’information alternative non encore lestés du poids de la dictature de la pensée unique ont pu aisément contourner pour délivrer aux millions de fans du chanteur le message qu’ils méritaient d’entendre. C’est également aussi grâce aux informations fournis par le journaliste indépendant Max Blumenthal sur son blog Gray Zone (2) qui quelques jours avant le concert de Barcelone avait interviewé l’artiste, que l’on apprend que peu de temps avant sa venue dans la capitale catalane le chanteur avait été pressenti par un photographe français, Pascal Hanrion, connu pur son soutien aux enfants syriens et aux casques Blancs, pour lui demander dans un mail de faire sur scène une déclaration en faveur de l’action des casques blancs. Une proposition que le chanteur devait laisser sans réponse, de même que renseignements pris sur la réputation sulfureuse de l’ONG, il avait décliné de la même façon l’invitation qui lui fut faite en octobre 2016 de participer à un gala de bienfaisance organisé en leur faveur par un anglo saoudien multi millionnaire du nom de d’Hani Farsi en relation avec la société de relations publique The Syria Campaign chargée de faire la promotion des Casques Blancs (3) en les faisant passer pour d’héroïques sauveteurs. Inclassable au regard de ses prises de positions iconoclastes, dont certaines néanmoins dans l’air du temps, le chanteur se revendique comme contestataire, pas prêt en tout cas à se laisser enrôler sans résister sous la bannière des va t-en guerre qui en Syrie ont décidé de continuer à faire couler le sang.

 

Source : national-hebdo

(1) https://www.youtube.com/watch?v=KpVHl1r9Z9E

(2) https://grayzoneproject.com/2018/04/19/exclusive-emails-s...

(3) https://globalepresse.net/2016/10/01/exclusif-la-vraie-pr...

samedi, 19 août 2017

Selon un rapport, entre 1.200 et 3.000 jihadistes partis au Levant sont susceptibles de revenir en Europe

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2017

Créé en 2011 par la Commission européenne, le Réseau européen de sensibilisation à la radicalisation (Radicalization awareness network, RAN), chargé de soutenir « les principales organisations d’acteurs locaux impliqués dans la prévention de la radicalisation conduisant au terrorisme et à l’extrémisme violent), a récemment rendu un rapport particulièrement inquiétant.

Ainsi, il y est écrit, selon l’AFP, que « la plupart des pays membres de l’Union européenne s’attendent à une augmentation lente mais progressive des retours de combattants » de l’EI et du groupe Hayat Tahrir al-Cham (ex-front al-Nosra, lié à al-Qaïda). »

Selon les estimations du RAN, « plus de 42.000 combattants terroristes étrangers » ont rejoint les rangs de l’État islamique (EI ou Daesh) depuis plus de 120 pays entre 2011 et 2016″, dont « plus de 5.000 » d’Europe. Sur ce nombre, 15 à 20% ont été tués dans les combats, 30 à 35% sont déjà rentrés et environ 50% sont encore présents en Syrie ou en Irak.

Or, le flux de « revenants » risque d’augmenter significativement si Daesh « est vaincu militairement ou s’effondre. » Potentiellement, le RAN prévoit « entre 1.200 et 3.000 retours » en Europe, en grande partie « des femmes et des enfants » et avec des « antécédents différents ».

Toujours d’après le RAN, « environ 30% » sont déjà rentrés, en connaissance des autorités – ils sont alors souvent arrêtés – ou clandestinement. » Évidemment, c’est une source de « préoccupation sérieuse et croissante », d’autant plus que ces « revenants » sont susceptibles de commettre des attentats, comme cela a été le cas à Bruxelles (2014 et 2016) et à Paris (novembre 2015).

« Ils peuvent également revenir car ils ont perdu leurs illusions, ont des remords, par opportunisme (ils sont toujours radicaux mais veulent de meilleures conditions de vie), pour intégrer une cellule jihadiste dormante en Europe, ou de manière involontaire (lorsqu’ils sont arrêtés) », explique le rapport du RAN.

S’agissant de la France, il était estimé, en 2016, que 1.910 ressortissants français (ou résidents en France) étaient impliqués dans la mouvance jihadiste, dont 600 à 700 avaient rejoint l’EI en Syrie et en Irak. Et, d’après le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, 217 adultes, dont un peu plus de 20% de femmes, et 54 mineurs sont revenus. « Les ‘returnees’ font l’objet d’un traitement judiciaire systématique par le procureur de la République de Paris et nombre d’entre eux sont actuellement incarcérés », a-t-il précisé, début août, dans les colonnes du Journal du Dimanche.

En outre, et c’est tout aussi inquiétant, 18.500 personnes sont désormais inscrites au « fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste. »

 

Source : opex360

samedi, 27 juin 2015

Tunisie : pourquoi l’attentat est une catastrophe pour la France ?

 Publié par Guy Jovelin

tunisie

Menace à l’adresse des touristes d’un groupe tunisien pro-EI : « Je viendrai en Tunisie cet été »

La Tunisie est le premier pays fournisseur au monde de combattants jihadistes (non irakien ou non syrien) pour l’EI. Ils seraient officieusement plus de 11 000 à avoir choisi la Libye, la Syrie ou l’Irak pour exercer la hijra et s’engager aux côtés de Daesh. Sur une population d’approximativement 11 millions d’individus, 0.1% aurait fait le pas de s’engager physiquement dans la lutte armée. On peut aisément en conclure que l’instauration de la Charia dans ce pays n’est pas le rêve de quelques énergumènes isolés mais qu’une partie non négligeable de la population tunisienne (familles, imams etc..) soutient l’État Islamique.

Avec l’attentat du Bardo, Daesh avait clairement montré que son objectif était de détruire le secteur touristique dans le pays. Pour plusieurs raisons : tout d’abord à cause des touristes non musulmans (kouffars) et de leurs comportements/moeurs sur place mais également pour déstabiliser économiquement le pays. Avec 7% du PIB (officiellement) et plus de 450 000 emplois, le tourisme est un secteur clé de l’économie tunisienne. Rien de mieux pour l’EI de voir s’écrouler le tourisme. Affaiblissant ainsi le gouvernement et sa capacité de réaction, les combattants de l’EI pourraient ainsi rêver d’une implantation militaire dans le pays.

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vendredi, 15 août 2014

Comment Sarkozy et Hollande ont armé les jihadistes du nouveau califat syro-irakien

Publié par Guy Jovelin

Une enquête de l'Observatoire de l'islamisation, signée Joachim Véliocas, qui démontre la responsabilité des deux chefs de l'Etat français dans le chaos actuel en Irak et en Syrie.

Phase 1: soutien par Sarkozy des djihadistes libyens intégrés au CNT (Conseil national de transition en Lybie).

sarkolibye.jpg

 Phase 2: Soutien matériel aux djihadistes Syriens par Hollande via la vitrine ASL (Armée syrienne libre).

ASL Hollande.jpg

Lire l'enquête sur le blog "l'Observatoire de l'islamisation".

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html