Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 29 janvier 2019

Près de 130 jihadistes “français” vont revenir

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2019

 le

Près de 130 jihadistes “français” vont revenir

Près de 130 jihadistes français, détenus dans des camps en Syrie sous la surveillance des Kurdes, vont être rapatriés dans les prochaines semaines en France. Christophe Castaner a annoncé :

“Tous ceux qui rentreront en France seront judiciarisés et confiés aux juges. Lorsque le juge estimera qu’il faudra les mettre en prison – et ce sera l’essentiel des cas – ils seront mis en prison”.
“Certains sont déjà revenus et sont incarcérés, nous les connaissons. Ceux qui reviendront seront écroués.”

Que signifie “l’essentiel des cas” ? Pas tous ? Il y a des djihadistes qui seront donc laissés en liberté ?

Chaque cas sera examiné et jugé individuellement. A leur arrivée en France, les hommes qui ne font pas l’objet d’un mandat d’arrêt international seront entendus par la police. Ceux qui sont déjà recherchés, seront directement déférés devant le juge. Ils seront ensuite mis en examen et placés en détention provisoire en attendant leur procès.

A ce jour, plus de 500 personnes sont incarcérée en France soit dans le cadre d’une détention provisoire, soit dans le cadre d’une condamnation. Ils sont suivis par des surveillants et des équipes disciplinaires, composée de psychologues, d’éducateurs, d’imams et des conseillers pénitentiaires d’insertion qui travaillent au désengagement de la violence. Rien que ça.

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 14 septembre 2018

Contre le négationnisme- drame Rapatriés d'algérie -1962

 

L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes souriantes, texte
Contre le negationnisme- drame Rapatriés d'algérie -1962

"Puisque l’on parle d’AUDIN, je suis très étonné (en réalité pas du tout…) que pas un journaliste n’ait rappelé le nom des décideurs responsables politiques de l’époque :

- - François Mitterand était ministre de l’Intérieur du gouvernement Mendès France, de 1954 à 1955 (lorsque certains assassins de FLN furent guillotinés) puis ministre d’État de la Justice dans le gouvernement de Guy Mollet (socialiste) jusqu’en juin 1957.

- - Lors de l’arrestation d’AUDIN en juin 1957, le Pdt du Conseil était BOURGES-MAUNOURY, radical de Gauche, le Ministre des Armées était MORICE, radical de G, le ministre de l’intérieur était GILBERT-JULES, radical de G et le Ministre de l’Algérie était LACOSTE, Parti socialiste.

C’est bizarre, il n’y avait aucun « extrémiste de droite », aucun « fasciste », aucun raciste, aucun traditionaliste intégriste, et même aucun nazi…

Maintenant une autre initiative que serait aussi intéressante à voir Photo en pièce jointe.

Malheureusement ce n’est pas pour demain.