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jeudi, 18 octobre 2018

Humour Gaulois réfractaire : Honni soit qui mal y pense – Vitesse !

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2018

Bonjour à tous, 

Ça y ‘est j’ai reçu mon excès de vitesse, 92 km/h au lieu de 90 sur une double voie à 23h28.

Je suis un délinquant, et parce que je suis un délinquant j’ai dû m’acquitter de ……90 euros et 1 point de mon permis m’a été retiré. 

Ce permis m’avait été attribué en son temps à titre permanent ce qui n’est plus le cas avec la législation sur le permis à point qui est intervenue bien après l’obtention de mon permis. Ce qui tend à prouver que demain une législation nouvelle peut me supprimer partiellement ou totalement ma retraite ,comme cela vient d’être fait en Grèce.

Dans le même temps où je me faisais flasher, une équipe de gendarmerie (que je paie) qui avait mis en place un radar mobile (que je paie) arrêtait « Duchmol » qui s’est fait radariser à 142 km/h au lieu de 90 dans une voiture volée, et n’ayant jamais passé son permis.

Le lendemain, « Duchmol » en comparution immédiate assisté d’ un avocat désigné d’office (que je paie) a été condamné par le juge (que je paie) à 2 mois de prison avec sursis et à 0 euro d’amende car non solvable. Cela fait des économies à la CAF (que je paie).

Bien entendu il n’a pas eu de retrait de point sur le permis qu’il n’a pas encore passé.

Et « Duchmol » est rentré tranquillement à la maison, il n’a pas dépensé un centime et pourra recommencer jusqu’à ce que sa peine ait atteint au moins 2 ans de prison ferme (peine qui, en France, commence à être exécutoire). Ouf ! J’ai économisé les frais de prison (que je paie)

Ayons une pensée émue pour le propriétaire de la voiture volée qui se bat avec la justice (que je paie) pour ne pas payer les nombreuses contraventions de radar fixe (que je paie) qu’il a reçues.

Vive la république, vive la France et tous ceux qui la gouvernent (que je paie) !

 

Source : leblogalupus

lundi, 22 janvier 2018

En marche vers le cannabis pour tous

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 22 janvier 2018 

Dans un rapport censé être publié ce mercredi, mais déjà parvenu dans toutes les rédactions, on apprend que le meilleur moyen de lutter contre le cannabis est de n’en faire qu’un simple délit… très rémunérateur pour les comptes de l’Etat. Se procurez une substance illicite et se détruire la santé ne débouchera que sur une amende forfaitaire de 200 euros. De quoi abreuver les comptes publics aux dépends d’une situation sanitaire déjà alarmante.  

La machine est enfin lancée. Le cannabis doit trouver une place quasi-officielle au sein de la société française, mais plus encore dans l’économie. Un rapport parlementaire rédigé par deux hurluberlus issus des rangs LR et LaRem, fiers de présenter la solution aux problèmes que représente le cannabis, met les pieds dans le plat. Le « tout répressif » comme il est de bon ton de dire ne fonctionne pas. Il y aurait 1,4 million de fumeurs réguliers auxquels s’ajoutent 700 000 consommateurs dont la dépendance est si forte que pas un jour ne se passe sans fumer leur(s) joint(s). La France a un réel problème avec le cannabis et la solution préconisée est de faire avec.

Le fric avant tout

Comme pour tout renoncement, il faut l’accompagner de justifications. C’est là que, soudainement, les parlementaires s’intéressent au travail des policiers et de la justice. Ces deux autorités seraient submergées par les cas de consommation de cannabis pour un résultat dérisoire. Ainsi, sur les 140 000 personnes interpellées chaque année, l’immense majorité a finalement le droit à un rappel à la loi (comme Dray pour ses mystérieuses montres à complication). Les tribunaux déjà à l’agonie (une excuse pour être laxiste ?) et les policiers qui passent plus de temps à remplir de la paperasse qu’à sécuriser nos rues seraient ainsi mobilisés sur de vrais problèmes.

Ce discours est sympathique et peut s’entendre, mais le glissement du cannabis vers une substance, certes non souhaitée, mais finalement acceptée est le premier pas dans un engrenage bien connu : la légalisation totale. Depuis des années, les médias s’extasient sur des pays qui ont dit oui au progrès… Les Pays-Bas et les Etats-Unis pour les plus symboliques d’entre eux. En fait, ces exemples tournent en boucle, car il n’y a pas tant de pays qui affirment publiquement se désintéresser de la santé (mentale) de leurs populations. La Californie légalise le cannabis à des fins médicales avant d’ouvrir toutes les vannes et de faire bientôt des Etats-Unis le pays le plus important à légaliser une substance hautement nocive.

Cela rappelle les promesses en carton des socialistes au sujet du mariage homosexuel. Le PACS, le mariage entre personnes du même sexe, la PMA pour les couples homosexuels puis la GPA. Il suffit de mettre le doigt dans l’engrenage pour se retrouver avec toute la panoplie d’une société décadente. La « contraventionnalisation » du cannabis chère au candidat Macron (il avait dans un premier temps jugé normal de dépénaliser) est la première étape d’une légalisation aux effets catastrophiques d’un point de vue sanitaire. Tous les médecins sérieux le disent, une amende n’a aucun effet sur un individu déjà dépendant d’un produit. L’étape numéro un n’est donc qu’une grande manœuvre pour pomper de l’argent où il se trouve encore. A raison de 200 euros d’amende pour chacune des 140 000 personnes interpellées chaque année, c’est Bruno Le Maire qui se frotte les mains !

Une future légalisation mettra un terme à cette belle rente peut-on penser. Que nenni ! L’Etat aura alors les revenus issus de la TVA et sera bien plus motivé pour lutter contre les trafics qui ne manqueront pas de concurrencer les circuits officiels. De plus, les consommateurs seront toujours sous la menace d’amendes s’ils ne fument pas au bon endroit ou au bon moment. Les comptes publics peuvent faire la fête, la santé des Français un peu moins, mais ce ne sont pas nos élites qui méprisent le peuple qui vont commencer par s’en soucier. Prochaine étape l’héroïne et le crack ? Ça va danser gaiement sur les quais du métro parisien !

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 11 septembre 2015

Le Japon ne veut pas d'immigrés !

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2015

drapeaux japonais

Tandis que l’Europe ouvre ses portes à des centaines de milliers de migrants, le Japon, qui a recensé seulement 11 demandes d’asile l’année dernière, va encore rendre sa législation plus sévère afin de dissuader toute tentative d’immigration.

Les  nouvelles mesures concerneraient notamment les conditions d’admission à l’asile et l’expulsion des demandeurs d’asile déboutés et feraient du Japon une des destinations les plus inaccessibles pour les migrants.

Hiroaki Sato, Ministre de la justice, a assuré que les nouvelles mesures permettraient de ne laisser entrer au Japon que les personnes méritant véritablement un statut de réfugié.

Le gouvernement du Japon ne considère pas la volonté d’échapper à la guerre comme une raison légitime de demander l’asile. Ni bien sûr la volonté de trouver une situation économique et sociale plus favorable.

 Source : http://www.medias-presse.info/le-japon-ne-veut-pas-dimmig...

 

jeudi, 27 novembre 2014

Pour une législation consacrant le droit à la vie de la conception jusqu'à la mort naturelle

 

Publié par Guy Jovelin

Communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

En ce funeste 40e anniversaire de la loi Veil dépénalisant l'avortement, le Parti de la France rappelle sa volonté d'abroger les lois Veil-Aubry-Roudy et de les remplacer par une législation consacrant le droit à la vie de la conception jusqu'à la mort naturelle.

Durant 40 ans, les fanatiques de l'IVG ont entrepris d'habituer les consciences à l’abominable, de changer les mots pour tromper les intelligences, d'asservir les volontés.

A l'inverse, le Parti de la France s'engage à remplacer la législation sur l’avortement par une législation de protection de la mère de famille et de protection de l’enfant. Celle-ci permettrait de tourner définitivement le dos à une véritable culture de mort au profit de l'accueil de la vie.