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dimanche, 18 novembre 2018

La PMA sera remboursée pour les femmes lesbiennes ou célibataires affirme Marlène Schiappa

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2018

Publié le 16 novembre 2018 Auteur par admin4
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Des raisonnements aussi courts que ses tenues

Les caisses de l’État sont tellement pleines qu’on peut se le permettre. Mais pourquoi les hommes en sont-ils écartés ?

Marlène, il faudra aussi penser à rembourser tous les soins de chirurgie esthétique, histoire qu’il n’y ait plus ni beaux ni laids, et que tout le monde il soit égaux en termes de séduction. Il est intolérable qu’il existe encore des hideux en plein XXIe siècle. Les Français étant riches, une nouvelle taxe serait la bienvenue pour y pourvoir.

« Marlène Schiappa, secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes et chargée de la lutte contre les discriminations, invitée de franceinfo jeudi 15 novembre, a jugé logique le futur remboursement de la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes.

Le projet de loi bioéthique doit être examiné au Parlement. Il doit notamment étendre la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules. « Le gouvernement met en oeuvre les engagements du président de la République », a souligné Marlène Schiappa. La PMA « sera remboursée bien évidemment, a-t-elle précisé. On ne remplace pas une discrimination par une autre discrimination. » « S’il y avait des systèmes de remboursement selon que vous êtes hétérosexuel ou homosexuel, ce serait quand même assez scandaleux » [sic], a-t-elle poursuivi.

Au sujet du calendrier, « le texte va d’abord être envoyé au Conseil d’État fin 2018, début 2019 », a indiqué Marlène Schiappa. » (source : franceinfo)

mercredi, 13 septembre 2017

Le feu vert du gouvernement Macron à la PMA gratuite pour les lesbiennes

Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2017

 La procréation médicalement assistée gratuite pour les lesbiennes et les femmes seules promise pour 2018 !

Le gouvernement Macron a donné le feu vert à l’extension de la PMA gratuite, jusqu’à maintenant réservée aux couples hétérosexuels, à toutes les femmes, homosexuelles ou vivant seules.

Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, l’a annoncé avec emphase ce mardi 12 septembre lors de sa rentrée sur les ondes de RMC/BFMTV. « C’est un engagement de campagne qui sera tenu » a-t-elle assuré. «En termes de calendrier, nous serons sur l’année qui arrive, 2018, probablement avec les révisions de la loi bioéthique.» « Le comité d’éthique a émis un avis favorable, il n’y a rien qui nous empêche de rendre la PMA légale pour toutes les femmes », a argumenté Marlène Schiappa,

Elle définit cette ouverture comme une «question de justice sociale » qui aidera à mettre fin à une « forme de discrimination à l’égard des femmes lesbiennes et célibataires » et à « une inégalité entre celles qui ont les moyens financiers de recourir à des PMA à l’étranger et celles qui ne les ont pas. »

Et qu’en est-il de la discrimination pour ces enfants que l’on prive de père sciemment ?

On vit vraiment une époque… renversante !

Francesca de Villasmundo 

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 06 janvier 2017

Le maire de Bollène jugé pour son refus de marier une paire de lesbiennes

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2017

5 janvier 2017 par Pierrot
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Le maire de Bollène jugé pour son refus de marier une paire de lesbiennes 5 janvier 2017 par Pierrot « Je n’ai pas d’inquiétude », déclare-t-elle au Figaro. Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, est jugée jeudi 5 janvier pour son refus de célébrer le mariage d’un couple lesbien le 23 août 2013, quelques mois après la promulgation de la loi Taubira à laquelle elle était résolument opposée. Les deux femmes, qui avaient finalement été mariées par une adjointe de la majorité sans délégation du maire, avaient porté plainte. L’affaire avait été classée sans suite. Mais l’association Mousse, qui « lutte contre les discriminations liées au sexe, au genre, et à l’orientation sexuelle », a pris le relais, portant plainte juste avant la prescription de trois ans pour « discrimination ».

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