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lundi, 08 janvier 2018

Attentats : commémorer et tout recommencer

Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 07 janvier 2018 

Les mouchoirs sont de sortie ! La France entre dans un long cycle de commémoration des attentats de janvier 2015. Charlie Hebdo, Hyper Cacher, ces deux lieux où la haine salafiste s’est exprimée seront sous l’œil des caméras et des journalistes déjà habitués à ces instants censés rendre hommage à des victimes innocentes et à créer les conditions d’une union nationale si rémunératrice sur le plan électoral. Et les commémorations de ce genre ne vont faire que croître, car à part déposer des gerbes sur le froid bitume de nos villes, les politiciens ne s’empressent pas de donner une réponse satisfaisante au terrorisme et à ses causes.

Les noms vont s’égrener un par un. Les élus vont se rendre d’un lieu à l’autre. Des fleurs seront déposées. Des minutes de silence seront respectées. Tout cela suivi de près par les caméras. Les journalistes diront avec une voix de circonstance que le moment est grave, solennel. Pas de discours cette année. Seule la présence jupitérienne suffit à comprendre l’importance du moment. Pas de mots présidentiels, mais une logorrhée immonde de journalistes qui croient faire de l’information en rappelant le déroulé des massacres de janvier 2015 minute par minute.

Jusqu’à la dernière larme… et après

Les journalistes feront de longues tirades sur la liberté d’expression sans même comprendre que la lutte contre les fake news constitue la principale menace contre elle. Des sondages et interviews de rue viseront à qualifier le degré de « Je suis Charlie » qui reste au sein d’une population française qui voit de mieux en mieux les desseins macabres de nos élites.

La nature de la menace sera une nouvelle fois évaluée. On prendra des chiffres bidonnés sur le nombre de détenus radicalisés, de fichés S pour terrorisme et de djihadistes revenus le plus simplement du monde d’Irak et de Syrie. Ces loups pas très solitaires constituent une menace, mais le gouvernement veille, mais le risque 0 n’existe pas, mais Macron a créé une task force, mais la déradicalisation est toujours possible, mais… si on traitait une bonne fois pour toutes le terrorisme ?

A écouter nos politiques la France est en guerre. Dans ce cas, pourquoi aucune mesure à la hauteur de la situation n’est-elle prise ? Il n’y a jamais eu autant d’haineux de la France et le phénomène ne fait que s’amplifier grâce à un communautarisme de plus en plus assumé par nos chères élites. Tout est fait pour alimenter la haine et l’interdiction de se défendre est toujours aussi primordiale. Le simple fait de décrire la réalité vaut des attaques en règle de la part d’associations dont l’objectif semble bien éloigné de leurs acronymes.

 Les massacres vont continuer et seuls le travail de services (submergés) et l’incompétence des terroristes permettront de ne pas atteindre un nombre invraisemblable de morts. La question n’est plus de savoir combien de victimes seront nécessaires afin que de vraies mesures soient prises. Nombreuses ou très nombreuses, le résultat sera le même. Des bougies seront déposées à côté de bouquets de fleurs, des larmes seront versées, des discours seront prononcés et tout sera répété jusqu’au prochain attentat. Pauvre France. Tu était si belle !

 

Source : 24heuresactu

mardi, 02 septembre 2014

C’était un 2 septembre…

1792 : début des massacres de septembre : 1532 personnes sont exécutées par les républicains.
Ils sont perpétrés sciemment pour terroriser la population parisienne et réduire les modérés au silence. Le règne de la Terreur s’instaure. A la tribune de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice, Danton, demande que tous les citoyens refusant de servir la « patrie » soient punis de mort. Un opuscule sur ce terrible épisode a été écrit par l’abbé Portail.

 

1914 : le Times de Londres lance l’un des grands bobards de la Première guerre mondiale (préfigurant ceux de la Deuxième) : les soldats allemands coupent les mains des enfants en Belgique.

 

1919 : le général antibolchevique des armées blanches, Anton Denikine, pénètre dans Kiev.

 

1941 : à Moscou, le Bulletin du Soviet suprême annonce que la population des Allemands de la Volga a été intégralement déportée parce qu’elle cachait des ennemis du peuple soviétique en son sein. La déportation s’est faite dans des wagons à bestiaux et la proportion de décès au cours du transport fut de 50%.

 

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