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mercredi, 27 janvier 2016

Modernes gorgones

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2016

Randa Ph 2.jpgLa chronique de Philippe Randa

L’humanité est riche en monstres, c’est un fait, mais il est toujours déroutant de découvrir qu’en ce domaine, la parité n’a pas attendu le politiquement correct actuel pour s’imposer… Le dégoût est forcément plus grand encore quand l’inadmissible est commis par des êtres d’un sexe qu’on pense trop souvent à tord faible, alors qu’il peut se révéler particulièrement ignoble.

La preuve par ces trois femelles – peut-on les appeler autrement ? – âgées de 16 et 17 ans, en « stage d’apprentissage professionnel » dans un établissement pour personnes âgées d’Annet-sur-Marne : non seulement, elles excellèrent à martyriser « dès le premier jour » de leur stage des personnes handicapées, certaines atteintes d’Alzheimer, mais cherchèrent ensuite les lauriers d’une gloire douteuse en postant sur la plateforme Snapchat pas moins de 33 vidéos de moins de 20 secondes de leurs turpitudes…

Diffusés et visionnés 340 fois en 48 heures, ce sont des internautes écœurés par la violence des images qui ont alertés la gendarmerie.

Mises en examen vendredi pour violences en réunion avec préméditation, diffusion sur internet de scènes de violence et atteinte à la vie privée, les trois gorgones ont été placées sous contrôle judiciaire…

On savait depuis Michel Audiard que « les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! »… Mais désormais, il est certains que les dégénérés, eux, n’ont pas de limites… et qu’il n’y a qu’à visionner leurs « exploits » sur les réseaux sociaux pour en être convaincus !

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

vendredi, 18 décembre 2015

Syrie : ces monstres que nous avons engendrés

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2015

Rédigé par Philippe Lesage le 15 décembre 2015.

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Au fur et à mesure que les témoignages nous arrivent de Syrie, l’horreur apparaît sous son jour le plus réel, non sans nous rappeler les crimes que charrient toutes les idéologies de la terreur : terreur révolutionnaire dans la Vendée de 1793, terreur bolchévique dans la Russie de 1917, terreur islamique aujourd’hui. Les crimes sont les mêmes.

Nous reprenons ici le mot à mot des syriens et syriennes qui s’expriment au cours du reportage diffusé sur http://www.egaliteetreconciliation.fr/Voyage-en-Syrie.

«Ils (les islamistes) ont arrêté les gens, il y avait des hommes et des femmes. Ils ont déshabillé les femmes. Ils les ont enchaînées. Il y avait deux Allaouïtes parmi les hommes, ils les ont tués, puis ils ont mutilé leur corps.

Les femmes, ils les ont mis à poil, ils les ont enchaînées comme les américains ont fait avec les noirs, en leur attachant les bras et les pieds. Et ils les ont fait marcher ici où nous nous trouvons. Puis ils ont fait sortir les gens dans la rue pour les faire regarder.

Une de ces femmes était enceinte. Ils ont sorti un sabre et ont ouvert le ventre, ils ont sorti l’embryon, et ils ont coupé la tête de l’embryon, et ils l’ont shooté. C’était un des massacres les plus horribles. C’est arrivé en septembre 2011.

Mais le 17 avril 2011, il y avait déjà eu un massacre d’un commandant dans l’armée avec les gosses, ses frères et toute sa famille. Les gens pris dans un bus pour être massacrés allaient à leur boulot. Car c’est le chemin qui va de l’ancienne ville à la nouvelle ville. Ces gens travaillent, des infirmiers, des fonctionnaires, des pharmaciens, des hommes et des femmes qui allaient à leur boulot. Ils (les islamistes) ont arrêté le bus, ils ont fait descendre tout le monde, et il…»

«A Homs, au monastère de Bustan al-Diwan, un prêtre néérlandais très apprécié dans la région, Frans van der Lugt, a été assassiné. Il était assis ici sur une chaise, ils (les islamistes) sont entrés, lui ont dit de se lever et de sortir, de quitter. Il leur a dit «je ne quitte pas, ça c’est ma maison et c’est la maison pour tous», ils lui ont tiré dessus immédiatement et il est tombé de sa chaise. La personne qui lui a tiré dessus, c’était un cagoulé en criant «Allahou akbar».

«Quand on voit tout cela, on se dit «c’est impossible», imaginez la haine qu’ils ont. Toi (la femme syrienne qui parle s’adresse au cameraman), tu ne l’as pas connu, nous, nous l’avons connu. Nous avons des enfants, nous avons des voisins, ils (les islamistes) essayent de provoquer une haine. Si on se laissait aller, nous pourrions avoir une haine capable de détruire le monde entier. Mais en fait, nous, on n’est pas comme ça. Nous on s’aime quand même d’amour, et la vie, face à tout ça. Et son fils Mahmoud, 20 ans, il a été tué comme ça. Il défendait sa mère, pour qu’elle n’aille pas en nourriture aux requins dans la mer, ou sur les plages européennes».

3000 à 5000 de ces terroristes sont Français. Ils ont été armés par la France au motif qu’ils composaient une opposition modérée au régime de Bachar al-Assad.

 

Source : http://24heuresactu.com/