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lundi, 11 décembre 2017

Alès : le porteur du T-shirt "Un bon flic est un flic mort" relaxé

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2017

CHARLES LEDUC

Alès : le porteur du T-shirt "Un bon flic est un flic mort" relaxé
Un message “ignoble, indélicat”, mais un chef de prévention inadéquat selon la justice.

Lors de la manifestation qui avait attiré, le 21 septembre, dans les rues d'Alès, entre 1 500 et 2 000 personnes opposées aux ordonnances portant sur la réforme du code du travail, les fonctionnaires du commissariat avaient interpellé deux individus. Le premier, nu, portait, en cache-sexe, un panneau sur lequel était écrit Macron nous met à nu ; le second arborait un T-shirt dévoilant un message anti-police. Ce dernier, justement, âgé de 34 ans, était présenté, vendredi matin, devant le tribunal correctionnel d'Alès, lors d'une audience présidée par Annabelle Ledrapier.

"Avec le recul, je trouve que c'était un slogan potache et je ne le porterais pas"

Comparaissant libre pour outrage envers un policier, cet homme aux cinq condamnations inscrites sur son casier judiciaire est revenu sur l'inscription qu'il portait, Un bon flic est un flic mort. “Avec le recul, je trouve que c'était un slogan potache et je ne le porterais pas, a-t-il confessé. Moi, je ne souhaite la mort de personne.”

Dans la foulée, le vice-procureur de la République, Sébastien Sider, a rappelé que ce message, traduisant, “a minima, un manque de délicatesse et une provocation”, dans un contexte d'attentats et de suicides dans les rangs des forces de l'ordre, a été difficilement perçu par les policiers qui encadraient la manifestation. Et d'évoquer, ensuite, un problème dans la procédure. Alors qu'un outrage était retenu contre le prévenu, le chef de prévention aurait dû relever du droit de la presse. Une difficulté qui l'a amené d'emblée à requérir la relaxe.

"Répréhensible"

“Le procureur fait une bonne lecture du dossier”, s'est félicité Me Aurélien Vergani, l'avocat de la défense, relevant toutefois le caractère “ignoble et indélicat de ce T-shirt”, dont son client “a conscience”. Le conseil a rappelé, à son tour, que la publicité du message est publique et, du coup, ne peut tomber sous le coup du chef de prévention mentionné. Par exemple, l'outrage à la victime désignée ne peut être retenu puisque l'on ne sait pas à quelle personne, nommément, ce message s'adresse.

Sans surprise, la présidente Ledrapier a relaxé le prévenu. Pour autant, la magistrate du siège lui a solennellement rappelé, sur le ton de l'avertissement, que ce qu'il a fait “est répréhensible, mais que (dans le cas présent), puisque c'est un délit de presse, la bonne qualification n'a pas été retenue”.

 

Source : midilibre

jeudi, 12 octobre 2017

Adoption LGBT : une petite fille de 18 mois meurt 2 semaines après avoir été adoptée

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

adoption lgbt,mort,violences répétées

L'article n'insiste pas vraiment sur cette adoption par deux hommes :

"Il avait mis entre parenthèses sa carrière de professeur de fitness pour être père au foyer et s'occuper de sa fille adoptive. C'est du moins l'image qu'aimait à donner de lui Matthew Scully-Hicks, Britannique de 31 ans, accusé de violences répétées ayant entrainé la mort de la petite Elsie, 18 mois. Depuis des mois, le père indigne "abusait de la fillette et l'agressait", ainsi que vient de l'établir la cour de Cardiff aujourd'hui chargée de le juger.

Avec son mari Craig, Matthew Scully-Hicks avait entamé les démarches en vue d'une adoption en septembre 2015. Une procédure officiellement reconnue huit mois plus tard. Mais moins de deux semaines après cette bonne nouvelle, la petite Elsie est morte des suites de traumatismes crâniens. L'enfant est décédé à l'hôpital universitaire de Wales, à Cardiff, ainsi que le rapporte le Daily Mail. Ses chances de survie étant nulles, son appareil de respiration artificielle a été débranché.

Après le décès tragique de la fillette, la police a saisi les appareils électroniques qui appartenaient à Matthew Scully-Hicks, notamment son iPad. Sur la tablette, les enquêteurs ont retrouvé des messages troublants, envoyés douze jours à peine après l'arrivée d'Elsie. A un de ses amis, l'accusé écrivait : "Je vis l'enfer avec Elsie ! Les repas et le coucher sont mon pire cauchemar en ce moment. Là, elle hurlait non-stop depuis dix minutes. Elle vient d'arrêter mais je doute que ce soit la dernière fois où je l'entendrai crier ce soir".

Le même jour, le 22 septembre 2015, Scully-Hicks envoyait à son mari Craig, un message où il traitait la petite de "psychopathe". Le lendemain, s'adressant encore à son conjoint, il décrivait l'enfant comme "Satan en grenouillère". Sans antécédents judiciaires, l'accusé s'était marié au Portugal en 2012. La même année, le couple avait décidé de demander l'agrément en vue d'une future adoption.

Interrogés par la police, les voisins du couple se souviennent des hurlements de la petite Elsie, de la musique poussée à plein volume pour couvrir ses cris et des insultes qui fusaient, quand Craig était au travail et que Matthew Scully-Hicks restait seul avec l'enfant "Je l'ai entendu crier : 'Tu vas fermer ta putain de gueule, petite conne !" raconte l'un d'eux.

Deux mois après son arrivée, le bébé s'était cassé la jambe. Une fois encore quand elle était seule avec l'accusé. "Quand son mari est rentré, Matthew Scully-Hicks lui a expliqué qu'elle était tombée dans la cuisine en jouant, qu'elle pleurait et qu'il l'avait prise dans ses bras pour la consoler. Et qu'après ça, elle 'avait l'air d'aller bien'" a expliqué le procureur devant la Cour lors des premiers jours du procès. S'inquiétant de son état, c'est Craig Scully-Hicks qui avait dû insister pour que la fillette soit amenée chez un généraliste. Après la mort d'Elsie, des radios de l'époque ont été réexaminées, montrant que la jambe de l'enfant était fracturée à deux endroits."Il est impossible qu'elle se soit fait ça toute seule avec une simple petite chute" a martelé le procureur

L'un des innombrables "accidents" pour lesquels le père maltraitant trouvait toujours une excuse. De même, un examen post-mortem a établi des traumatismes au niveau de la colonne vertébrale de la petite et de son cerveau qui "tendraient à prouver qu'elle a souffert du syndrome du bébé secoué" selon les spécialistes. Le 25 mai 2016, les mauvais traitements trouvent une issue fatale. L'accusé appelle une ambulance, expliquant que sa fille "est devenue faible et toute molle" quand il la changeait pour la mettre au lit. Quand les secours arrivent, Elsie est en arrêt cardiaque et allongée sur le sol. "Elle a hurlé de douleur et elle a perdu connaissance" leur raconte alors l'accusé qui dit ne rien comprendre. Pour les juges, il apparait désormais clairement quel'enfant a subi depuis son arrivée chez le couple une longue suite de coups et de "agressions" et n'a pas pu survivre à ce dernier épisode qui reste encore à éclaircir totalement. Si tout semble le désigner pour le moment comme auteur de ces violences à répétition, Matthew Scully-Hicks nie en bloc toute responsabilité dans sa mort. Son procès actuellement en cours devrait se clore dans deux semaines."

 Posté le 11 octobre 2017 à 09h51 par Michel Janva

Source : lesalonbeige

samedi, 02 septembre 2017

Pourquoi « le chef » Macron est déjà mort

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2017

1 Bis Emmanuel Macron Je Veux Rendre Hommage Au General De Villiers

Pourquoi « le chef » Macron est déjà mort

♦ Jean-Henri d’Avirac, essayiste.

Ce qui a fait élire Macron est précisément ce qui va le détruire… C’est ce que nous révèle J.H. d’Avirac en pénétrant dans les coulisses du pouvoir et en décryptant les stratégies mises en œuvre. Jusqu’où et jusqu’à quand le marketing politique pourra-t-il vendre du vide ?… Une analyse sans concession.
Polémia


« Je suis le chef »

N’est-il pas singulier de voir le président de la République se hisser sur la pointe des pieds à la veille du 14 juillet pour déclarer au général de Villiers, à l’armée et à la terre tout entière : « Je suis le chef » ? « Chef », il l’est assurément et incontestablement : chef de l’Etat, chef des armées… Mais cette déclaration sonne comme un aveu de faiblesse. Devoir ainsi rappeler une telle évidence n’est pas, c’est le moins qu’on puisse dire, une marque d’assurance personnelle et d’autorité politique.

Capricieux, véhément, cet homme ne semble plus accepter la contradiction en voyant, dépité, s’effriter autour de lui un état de grâce dont la fragilité était pourtant bien prévisible. Emmanuel Macron est déjà mort mais il ne le sait pas encore. Le champion de Rothschild, LVMH, Niel, Drahi et Parisot, le chouchou de BFM, du Monde et de France Info, fut lancé très exactement comme une nouvelle savonnette ou un paquet de biscuits. Un « fast moving consumer good », diraient les marketeurs américains, c’est-à-dire un produit de grande consommation à rotation rapide et durée de vie limitée.

Courbe de vie et bons génies

Ils sont tous issus de sciences-po, HEC, Havas Worlwide et de la Fondation Jean-Jaurès. Ils ont puisé dans leur double culture (politique et marketing) les ressorts de la machine à faire élire dans un système néophile où règne en maître l’obsolescence programmée. Ils ont mis au point une stratégie implacable, sondé au cœur des cibles qualifiées, monitoré la démocratie participative, packagé le candidat, ajusté les thèmes de campagne et les éléments de langage.

Ils maîtrisent réseaux sociaux, communication d’influence, e-militantisme, porte-à-porte digital, études socio-comportementales, mail-marketing et networking.

Comme Google, ils savaient déjà hier ce que vous désirerez demain.

« Ils », ce sont ces hommes de l’ombre qui ont remisé au musée des conseillers en tout genre les Seguelas et autres Saussez. Faiseurs de roi, mi-publicitaires mi-conseillers politiques, ils règnent en maîtres sur les codes, les médias et l’opinion. Il y a quelques années les Gilles Finchelstein et autre Stéphane Fouks avaient déjà le dessein de propulser DSK en haut de l’affiche en utilisant recettes et techniques de la campagne d’Obama. Mais ceci c’était avant le drame !… avant que le président du FMI ne se prenne les pieds dans sa braguette.

Leur fils spirituel Ismael Emelien est aujourd’hui à la manœuvre. Il fut, sous le regard bienveillant de ses mentors, le marketeur de « En Marche ». Même parcours (de sciences-po à Havas), même recettes… Un cocktail qui se révèlera gagnant et pour lequel il se verra grassement récompensé par « le chef » : une nomination en qualité de conseiller spécial du président de la République. A peine trentenaire, le voici donc dans le costume d’un Jacques Attali ou d’un Henri Guaino, c’est dire le poids de cet ancien disciple du directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, également directeur des études de Havas Worldwide (ex-Agence de communication euro RSCG).

Dès l’automne 2015 notre jeune loup est sur le pont et probablement le premier « marcheur ». « Il faut que t’aies à chaque fois la caresse et la claque, sinon t’es pas audible », conseille-t-il déjà au futur candidat qu’il dote d’une potion magique, subtile mixture de singularité rassurante, d’innovation apparemment radicale et de détermination sereine. A la manière d’un industriel de l’agro-alimentaire il dose au maximum le taux de sucre afin de créer plaisir et accoutumance sans franchir le « bliss point », point limite au-delà duquel se développent écœurement et rejet. Il comprend très vite que son nouveau produit de grande consommation n’a pas vraiment besoin d’exprimer un programme qui pourrait être par essence clivant. Lorsqu’une marque lance une nouvelle tablette de chocolat sous un packaging appétant, vous ne cherchez pas nécessairement à décortiquer la liste des ingrédients !… Achat d’impulsion, achat plaisir, votre cerveau limbique est à la manœuvre et rien d’autre.

Le jeune Ismael savait sans doute déjà que ce qui ferait élire son candidat serait un jour précisément ce qui le tuerait. En bon marketeur, il savait qu’un produit lancé sur une promesse purement néophile, répondant à une demande pré-identifiée, obéit à la logique du cycle de vie du produit… La fameuse courbe de Gauss, cette courbe en cloche sur laquelle tout brand manager qui se respecte essaie de retarder le plus possible la phase descendante.

« Représidentialisation » de façade et gadgets politiques

Pour retarder cette chute inéluctable, « le chef » pourra ainsi compter sur une artillerie lourde à double détente :

  • « une représidentialisation » du discours politique devenu plus rare et « Jupitérien ». Diffusant, chez ce pur produit des lumières et du business, un parfum très Ancien Régime ;
  • mais surtout une multiplication de gadgets politiques donnant l’illusion d’un changement profond, multipliant les postures nouvelles (sans pour autant inscrire de nouveaux positionnements), afin de remobiliser l’attention de l’opinion et des médias.

Nous aurons donc à vivre d’autres « Poutine à Versailles » et d’autres « Trump à la Concorde »… Jusqu’à quand ce Jupiter en plastique recyclé fera-t-il vibrer nos chaumières et les cougars du monde occidental ? La forme est un fond qui remonte à la surface ; s’il n’y a plus de fond, les vernis se craquellent, le rimmel coule, les silicones migrent. Aussi lissée et apprêtée soit-elle, l’enveloppe s’effondre sur un vide abyssal.

Après 2020, nos concitoyens en transit entre deux écrans publicitaires, en transat entre deux cures minceur, tétanisés entre deux attentats islamistes, lessivés entre deux pornos en réalité virtuelle, auront à choisir de nouveaux candidats comme on choisit entre une voiture hybride, une voiture électrique ou un dinosaure diesel. Leur dépendance à la nouveauté et son corollaire, la pléonexie (addiction au « toujours plus » et à l’insatisfaction permanente) devraient atteindre des sommets car nous sommes bien là sur la problèmatique d’une drogue dure et d’une pathologie dominante infiniment plus redoutable que les idéologies dominantes.

Dans ce contexte, la tête de gondole Macron aura-t-elle suffisamment renouvelé son offre pour séduire à nouveau et engranger un nouveau quinquennat ? Il est vraiment permis d’en douter ! Mais il est aussi permis d’espérer que sous les gifles de l’histoire les peuples dépassent ce bien médiocre statut de consommateur.

Nous crierons ainsi avec Nietzsche que « accepter d’autrui qu’il subvienne à des besoins nombreux et même superflus, et aussi parfaitement que possible, finit par vous réduire à un état de dépendance »… Et que crèvent donc ces dealers du système qui ont toujours à leurs lèvres le mot «  Liberté » pour mieux nous enchaîner !

Et que cessent donc ces qualificatifs « Jupitériens » qui estampillent de simples mortels prétentieux sans vision ni projet !

Jean-Henri d’Avirac
23/07/2017

 

Source : polemia

mercredi, 30 août 2017

La mort de la civilisation européenne est en marche…

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2017

POSTÉ LE 29 AOÛT , 2017, 4:09

civilisation européenne,mort,terrorisme islamiqueManuel Valls avait dit en son temps que les Français devraient apprendre à vivre avec le terrorisme islamique.
Emmanuel Macron, pendant la campagne électorale, avait dit la même chose. Cela ne l’a pas empêché d’être élu.
Les Français semblent donc prêts à vivre avec le terrorisme islamique.
Ils ne sont pas les seuls.
Les attentats terroristes islamiques se succèdent dans toute l’Europe occidentale à un rythme de plus en plus rapide.
Les populations, partout, ont exactement les mêmes réactions, qui ne sont pas du tout susceptibles de dissuader les islamistes de commettre des actes terroristes, mais ne peuvent que les encourager, en ce qu’elles montrent ce que les islamistes attendent : de la faiblesse, de la résignation, de la soumission.
À Barcelone, comme à Londres ou à Manchester, comme à Stockholm ou à Nice, comme à Paris ou à Bruxelles, les fleurs ont immédiatement abondé, les bougies aussi.
Parfois, des ours en peluche ont été ajoutés.
Les larmes ont ruisselé.
Les mots « amour » et « paix » ont été écrits sur des morceaux de papier.
Le mot « solidarité » a été parfois ajouté.
Aucun cri de colère n’a retenti.
La « solidarité » proclamée parfois a été appliquée aux musulmans et à l’islam, défini, bien sûr, aussitôt comme une religion à laquelle les mots « amour » et « paix » doivent être accolés.
Il y a quelque chose de pathétique dans cette absence de colère. Il y a le signe d’une grande anesthésie aux allures d’euthanasie collective.
Il y a une grande réussite de ceux qui mettent en œuvre l’anesthésie et préparent les populations à l’euthanasie.
La presse est unanime, la radio et la télévision aussi. Dans toute l’Europe occidentale.
Aucune colère ne doit s’exprimer.
Aucune exigence d’action susceptible de découler de la colère ne doit être formulée.
Quiconque oserait exprimer de la colère se verrait aussitôt couvert d’anathèmes et qualifié de fasciste, de membre de l’abominable extrême droite.
La stratégie marche remarquablement bien.
Les politiciens au pouvoir sont aussi unanimes que la presse, la radio et la télévision.
Quand un dirigeant politique se fait le relais de la colère, les anathèmes qui pleuvent sur le commun des mortels s’abattent aussitôt sur lui, et il est qualifié de fasciste et de dirigeant d’extrême droite.
Dans quelques pays d’Europe centrale, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, des dirigeants politiques qui comprennent ce qui se joue et qui ne veulent ni de l’anesthésie, ni de l’euthanasie, prennent des mesures aux fins d’éviter que leurs pays ne connaissent le triste sort des pays d’Europe occidentale.
Non seulement ils reçoivent, eux aussi, leur bordée d’anathèmes et sont qualifiés, eux aussi, de fascistes et de dirigeants d’extrême droite, mais ils sont menacés d’être mis au ban de l’Union européenne, qui ressemble de plus en plus à un pacte dont la signature implique un engagement à accepter un suicide collectif.
Il y a, je dois l’ajouter, quelque chose de répugnant dans cette avancée de l’Europe vers le suicide collectif.
Ce qui sous-tend cette avancée – c’est une évidence –, est l’ensemble des discours de gauche, qui n’ont cessé, depuis que la gauche existe, d’être imprégnés d’aversion envers tout ce qui a fait la grandeur de la civilisation occidentale et de haine pour la liberté.
Que la gauche se fasse complice de l’islamisme et de l’islamisation de l’Europe n’est pas surprenant, dès lors que l’islamisme, comme l’islam lui-même, est liberticide et entend détruire la civilisation occidentale.
Qu’elle tienne, à peu d’exceptions près, toute la presse, toute la télévision, toute la radio en Europe occidentale, ainsi que quasiment toute la classe politique, n’est pas surprenant non plus. Elle a travaillé avec opiniâtreté pour parvenir à ce but, et elle y est parvenue.
Qu’elle puisse entraîner ainsi les populations d’Europe occidentale vers leur propre mort pourrait me surprendre, si je ne connaissais pas les moyens qu’elle emploie pour essorer les cerveaux. Depuis le temps que je fais des analyses, je ne connais que trop bien ces moyens.
Les civilisations sont mortelles. Je crains fort que la mort de la civilisation européenne soit en marche, et que l’Europe occidentale n’en ait plus pour très longtemps.

 

Source : les4verites

samedi, 03 septembre 2016

Un élu FN retrouvé mort menotté chez lui

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2016

Résultat de recherche d'images pour "sadomasochiste"Un adjoint au maire de Mantes-la-Ville (FN) a été retrouvé mort à son domicile vendredi matin, torse nu et entouré d'objets attestant de pratiques sadomasochistes, sans que l'on connaisse pour l'heure la cause du décès, a indiqué le procureur de la République de Versailles vendredi.
Dominique Ghys, 63 ans, adjoint en charge des Sports, a été trouvé "gisant sur le ventre", peu avant 08h30, à son domicile de Mantes-la-Ville, par un employé municipal qui lui servait ordinairement de chauffeur le matin, a indiqué Vincent Lesclous. La porte étant "ouverte", l'agent de la ville avait pu pénétrer dans l'appartement, a précisé le magistrat lors d'une conférence de presse au palais de justice de Versailles.

Pompiers et police secours se sont immédiatement rendus sur les lieux mais il était déjà trop tard: l'élu, retrouvé torse nu et en pantalon, "était mort depuis un certain temps déjà".

Dans son appartement, où il vivait seul depuis quelques jours, son épouse ayant été hospitalisée, point de trace de lutte, ni d'effraction. Sur son corps, pas de traces non plus de coups ni de lésions, récentes ou anciennes.

L'élu gisait sur le tapis de son salon, "à même le sol, les bras repliés vers le haut" et à chaque poignet, il portait "une sorte de bracelet de force pourvu de manilles et d'anneaux métalliques". Il portait également "un collier autour du cou d'où partait une chaîne", mais "ses mouvements étaient libres, il n'était pas attaché au sens propre du terme", a précisé le magistrat.

"Divers objets ou produits (...) ont été découverts autour du corps du défunt, qu'on peut rattacher sans équivoque à des pratiques sexuelles de type sadomasochistes et dans une pièce attenante au salon ont été retrouvés dans leur rangement divers objets attestant de pratiques usuelles de ce type", a-t-il poursuivi.

Reste à savoir si d'autres personnes se trouvaient avec l'élu au moment de sa mort, "qui remontait à plusieurs heures", selon Vincent Lesclous. Les enquêteurs, a-t-il dit, ne disposent pour l'instant que de "très peu d'informations sur sa vie personnelle".
L'agent municipal qui a trouvé le corps a été entendu dans la journée. Une autopsie aura lieu lundi matin. Des prélèvements toxicologiques ont par ailleurs été effectués.

La police judiciaire de Versailles est chargée de l'enquête, ouverte "en recherche des causes de la mort".