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mercredi, 12 juillet 2017

La démocratie sans la Monarchie, c’est l’oligarchie

Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2017

Par Jean-Philippe Chauvin démocratie,monarchie,oligarchie

1262631406.jpgNous sommes en République, et non en Monarchie… Peut-être, après tout, M. Macron aurait-il été un bon ministre du roi, voire un « régent acceptable » selon la formule d’un collègue professeur qui sait ses classiques ! Mais la République, elle, par son principe électif même et son idéologie centralisatrice, et par ses véritables maîtres que sont les féodalités de l’Argent, empêche toute bonne politique sur le long terme et décrédibilise les meilleures intentions quand elle décourage les meilleures volontés.

Les élections qui ont bouleversé le « pays légal » avec la formation d’une « Chambre bleu Macron », démontrent à l’envi que, selon la formule tirée du « Guépard », « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Si les têtes sont nouvelles, l’esprit reste souvent le même, et la République se confirme à travers ce nouveau « pays légal » qui ne représente pas exactement le, ou plutôt « les pays réels ». Les nombreuses enquêtes sur les candidats de « La République en marche » confirment que ceux-ci appartiennent plus aux catégories aisées qu’aux classes populaires… Le problème n’est pas qu’il y ait des « privilégiés » au Palais-Bourbon (il peut même être heureux qu’il y en ait, de chef d’entreprise à haut fonctionnaire) mais qu’ils soient surreprésentés quand les catégories moins aisées en sont quasiment absentes ! Ainsi va la démocratie représentative qui n’est rien d’autre, en somme, qu’une forme d’oligarchie plus ou moins discrète, et cette démocratie-là, alibi du pouvoir des « puissances économiques d’abord », est critiquable, condamnable, parfois détestable à l’usage. 

Soyons clairs quand les démocrates revendiqués ne le sont pas, bien prompts plutôt à tricher sur le sens des mots pour imposer leur domination sur tous, et en vanter la légitimité, « la seule acceptable » (sic !), bien sûr… Redonnons leur sens aux mots et regardons leur pratique concrète : la démocratie, si l’on en croit l’étymologie grecque, c’est le pouvoir du peuple. Mais il faut aller plus loin : c’est le pouvoir du plus grand nombre au sein de ce peuple qui, lui-même, n’est souvent qu’une partie plus ou moins importante de la population de l’espace civique considéré.

Dans l’histoire, le mot et la chose apparaissent à Athènes, au cinquième siècle avant notre ère, et la démocratie se veut directe, les décisions les plus importantes et les plus politiques étant prises par la majorité des citoyens présents sur la colline de la Pnyx, à l’ecclesia. Cela finira mal, car l’opinion la plus nombreuse et la plus courante n’est pas forcément la raison ni l’intérêt commun. Athènes en fera l’amère et cruelle expérience, et perdra sa liberté par sa faute et son arrogance toutes démocratiques… 

Aujourd’hui, la démocratie directe s’applique peu dans notre pays, car la République lui préfère la démocratie représentative, ce que nous pourrions appeler la démocratie d’apparence, forme à peine déguisée d’une oligarchie qui prend les traits de parlementaires, de ministres et de présidents forcément provisoires, mais aussi ceux d’une sorte de « classe discutante » destinée à « tenir l’opinion ». C’est ce qu’illustre magnifiquement le film « Le Président », dans lequel Jean Gabin, président du Conseil d’une République qui ressemble surtout, il est vrai, autant à la Quatrième qu’à la Troisième, s’en prend aux députés, même de gauche, dont les intérêts personnels se trouvent d’abord dans le domaine économique et financier, et qu’il dénonce cette sorte de « démocratie de connivence ». (voir ce passage du film ) 

D’ailleurs, quand la République, désormais avec mauvaise grâce, se plie à l’exercice du référendum, elle n’en respecte pas forcément le résultat s’il ne lui convient pas, à elle ou à l’Union européenne, comme les électeurs français ont pu le constater avec colère et ressentiment après le vote de 2005… De plus, cette colère des électeurs, de plus en plus vive mais mêlée souvent de fatalisme, se traduit par une abstention électorale importante (cette « sécession du peuple » qui rappelle celle des plébéiens romains de l’Antiquité), qui atteint désormais plus de la moitié de l’électorat, les plus absents étant ceux des générations montantes et les classes populaires : désaveu d’une démocratie parlementaire dans laquelle une grande partie du « pays réel » ne se reconnaît plus et ne retrouve pas ses propres préoccupations et aspirations. Désaveu terrible, gros de tempêtes futures…  

La Couronne, (8.07)

 

Source : lafautearousseau

vendredi, 30 octobre 2015

L’oligarchie dans ses œuvres: Thomas Fabius, fils de « notre » ministre des Affaires étrangères, repris de justice de nouveau poursuivi

Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2015

L’oligarchie dans ses œuvres: Thomas Fabius, fils de « notre » ministre des Affaires étrangères, repris de justice de nouveau poursuiviLaurent Fabius est-il le ministre des Affaires étrangères qu’il faut à la France ? Quelle image renvoie-t-il à ses interlocuteurs des nations du monde alors que son fils Thomas est recherché pour dettes fabiusleuses dans des casinos américains? Thomas Fabius a de nouveaux ennuis avec la justice. Il serait sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, annonce Le Point ce jeudi. Il est accusé d’avoir laissé une ardoise d’environ 3,5 millions de dollars dans trois casinos du Nevada. Les enquêteurs s’interrogeraient par ailleurs sur des flux financiers « massifs » et « suspects ».

« Né en 1981, [Thomas Fabius est] un joueur invétéré aujourd’hui interdit de casino».  Un des proches de Laurent Fabius, cité par leJDD mi-avril dans un article sur le patrimoine du ministre des Affaires étrangères, avait vu juste.  Le Point a en effet révélé mardi que Thomas Fabius était visé par une enquête préliminaire sur les conditions d’achat d’un appartement de 280 m2 à Paris pour la somme de 7 millions d’euros, alors qu’il ne paie pas l’impôt sur la fortune (ISF). Une transaction qui a fait l’objet d’un signalement de Tracfin en juin dernier.  Immédiatement, le cabinet de Laurent Fabius a fait savoir que le ministre n’était «en rien concerné par les affaires de Thomas Fabius», ajoutant que Fabius junior «n’a bénéficié d’aucune donation ou héritage familial».

Le fils aîné du ministre, âgé de 32 ans, n’en est pas à sa première incursion dans la rubrique justice. En 2011, il a été condamné à 15.000 euros d’amende pour abus de confiance après la plainte de deux ex-associés. Ces deux hommes avaient fait affaire avec Thomas Fabius pour développer un système de carte à puces et auraient fourni de l’argent, dont ils soupçonnent qu’il aurait pu servir son amour du jeu au casino. Un amour immodéré qui l’amène à être interdit de jeu dans les casinos français. (Source)

Cette super-bourgeoisie hors-sol de l’oligarchique cosmopolite et apatride qui nous nargue en nous imposant ses diktats mondialistes ne connaît pas les frontières, parcourant la planète à sauts de jets comme tout migrant qui se respecte, elle couvre de son mépris les pauvres terriens qui se débattent en dessous, ce qui explique leur haine des nations, des races, des racines et des Traditions, hormis celles de la caste des banksters auxquels ils appartiennent et qu’ils servent, adorateurs de Mamon qu’ils sont.

Le dernier acte d’une diplomatie française souveraine, c’était en 2003

 

Depuis que François Mitterrand avait, en la personne de Laurent Fabius, « donné un jeune Premier ministre à la France », celui-ci n’a cessé d’encombrer les plus hautes sphères du pouvoir de la République. C’est l’autre président socialiste,  François Hollande,  qui nous a octroyé ce ministre des Affaires étrangères, non pour ses capacités diplomatiques mais parce qu’il fallait le placer à ce poste afin qu’il consacre son peu de talent aux intérêts supérieurs d’Etats étrangers comme Israël ou l’Arabie. Son dernier coup d’éclat en date étant son opposition au règlement du différend nucléaire entre les USA et l’Iran. Son incompétence étant illustrée par l’absence de la France, lundi dernier aux pourparlers sur la Syrie. La France a finalement été acceptée comme second couteau à la réunion de Vienne, hier…

Source : http://www.medias-presse.info/

vendredi, 06 février 2015

GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE OU COUP D’ÉTAT ?

 Publié par Guy Jovelin

J‘ai plusieurs fois, dans ces colonnes, fait part de mes doutes et de mes inquiétudes devant les fréquents appels à la constitution d’un « gouvernement d’union nationale ». 


Gouvernement d’union nationale ou coup d’État ?

À première vue, l’idée est bonne. Si toutes les bonnes volontés s’accordaient pour mener ensemble les réformes nécessaires pour sortir la France de l’ornière, nous devrions y applaudir chaleureusement. 
 

Le problème, c’est que je doute fort que ce gouvernement d’union nationale soit un gouvernement au service de la France et des Français. Il y a, au contraire, tout lieu de croire que ce soit un gouvernement au service de l’oligarchie pour parachever la spoliation des contribuables et la suspension des libertés publiques pour les citoyens. 
 

Lire la suite sur Les 4 Vérités 

 

dimanche, 01 juin 2014

J'ACCUSE L'OLIGARCHIE...

Michel Geoffroy

Europe maxima cliquez ici

« J’accuse l’oligarchie occidentale de comploter tous les jours contre la paix, contre l’identité et contre le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. »

J’accuse l’oligarchie de provoquer des crises pour mettre en tutelle les peuples, d’encourager tout ce qui favorise l’implosion des sociétés, de programmer la destruction des cultures et des savoirs, de détruire la démocratie, de conduire à la guerre. Un texte fort de Michel Geoffroy. Les oligarques de l’hyperclasse mondiale, voilà l’ennemi !

Polémia

1)  J’accuse l’oligarchie occidentale de provoquer les crises pour mieux mettre en tutelle les peuples afin d’ouvrir la voie à un gouvernement mondial.

L’oligarchie n’échoue pas à trouver des solutions aux différentes « crises », qu’il s’agisse du chômage, de l’immigration, de la natalité ou de l’insécurité. Ces « échecs » constituent en réalité pour elle autant de succès car le choc et le chaos font partie intégrante de sa stratégie.

J’accuse l’oligarchie d’avoir systématisé la pratique du choc théorisée par les néo-libéraux de l’École de Chicago dans les années 1970, comme moyen d’imposer des réformes économiques et sociales contre la volonté des peuples.

J’accuse l’oligarchie d’encourager la succession des « crises » afin de diminuer la résistance du corps social, de propager l’angoisse et de provoquer un état d’hébétude chez ceux qui y sont soumis afin d’inhiber leurs capacités de réaction et d’opposition politiques.

• – L’insécurité conduit ainsi les citoyens au repli sur soi, ce qui contribue à leur démobilisation politique et à affaiblir la légitimité des États. Elle permet aussi une privatisation rapide des fonctions souveraines de l’État pour le plus grand profit du « marché ».

•– Le terrorisme permet de renforcer le contrôle de la population et notamment d’Internet et des nouvelles technologies de communication.

•– L’immigration profite au patronat mais elle sert aussi à démoraliser les Européens, en leur donnant le sentiment de ne plus se sentir chez eux.

•– Le chômage propage l’inquiétude devant l’avenir et la docilité des salariés vis-à-vis des employeurs.

•– La crise des dettes souveraines permet de mettre en tutelle la politique économique des États et de promouvoir toujours plus de solutions libérales pour « rétablir les comptes publics ». Ces politiques libérales en retour déconstruisent les protections sociales, renforçant l’isolement et la dépendance des individus.

•– L’écologisme et la thématique du réchauffement climatique offrent enfin de nouveaux prétextes à propager l’anxiété et légitimer l’augmentation des réglementations, des contrôles et à la réduction des libertés concrètes.

J’accuse l’oligarchie au pouvoir en Occident, non pas de se montrer incapable de résoudre les « crises » mais, au contraire, de les provoquer, de les orchestrer et de les entretenir. Car chaque crise offre de nouveaux prétextes pour avancer dans la voie de la « gouvernance » mondiale qu’elle appelle de ses vœux.

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Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/