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jeudi, 10 janvier 2019

Où passe l'argent des Français ? Voici l'un des "boulevards du gaspillage"...

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2019

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Source : lafautearousseau

mercredi, 21 novembre 2018

Retrouvons nos libertés concrètes !

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Auteur

Guillaume de Thieulloy

démocratie,liberté,populisme

Emmanuel Macron va sans doute entrer dans l’histoire par la grande porte. Après avoir été le porte-drapeau du « dégagisme » qui agite profondément le peuple français, il est en passe de devenir la caricature de cette oligarchie totalement déconnectée du peuple qu’elle est censée représenter et gouverner.

Un récent sondage Via Voice montre que 34 % seulement des Français estiment que la démocratie fonctionne bien.

En janvier dernier, 54 % répondaient positivement à cette question.

Autrement dit, les dix derniers mois, et l’accumulation des bourdes arrogantes de la part du chef de l’État, ont entraîné une chute vertigineuse de la confiance dans la démocratie de la part des Français.

Dans le détail, 3 % des Français estiment que la démocratie fonctionne très bien chez nous, 31 % qu’elle fonctionne assez bien, 40 % qu’elle fonctionne assez mal et 21 % qu’elle fonctionne très mal (et il y a de sérieuses raisons de penser que les 5 % qui ne se prononcent pas ne sont pas enthousiastes devant la situation !).

Même au plus fort du désamour à l’égard de François Hollande, en septembre 2016, les chiffres étaient moins catastrophiques : 36 % des Français estimaient alors que la démocratie française fonctionnait bien.

On pourrait penser que M. Macron pousserait un soupir de soulagement en regardant les questions suivantes, puisque l’on y constate que la crise de la démocratie n’est pas seulement française, mais européenne.

On l’imagine même fort bien remonter sur son cheval et haranguer les peuples de l’Est de revenir aux sources de la démocratie représentative et d’abandonner le populisme, comme il s’apprête visiblement à le faire lors de la prochaine campagne européenne.

Las, 60 % des Français estiment que la France n’est pas un modèle démocratique à suivre pour les autres pays européens !

Il faut dire qu’avec la chasse aux libertés publiques organisée par l’actuel gouvernement, il serait difficile qu’il en soit autrement.

Une partie de la mobilisation des gilets jaunes, aussi anarchique soit-elle, tient à ce sursaut des vieux Français, non seulement surtaxés, mais ligotés par des réglementations idiotes.

Mais revenons aux sources. La démocratie a été conçue en 1789 sur le modèle rousseauiste, catastrophique abstraction, en vertu de laquelle nous abandonnerions tous nos antiques libertés privées pour nous fondre dans le corps social qui nous offrirait en échange une liberté civique.

Ladite liberté civique n’est, cependant, disponible que pour ceux qui soutiennent le Pouvoir, puisque la loi étant supposée l’expression de la volonté générale et celle-ci étant supposée être la volonté de chacun, ceux qui ne sont pas d’accord avec la loi sont réputés ne pas même savoir ce qu’ils veulent, c’est-à-dire qu’ils sont réputés purement et simplement fous.

C’est au nom de ce principe délirant (et, hélas, toujours d’actualité sous Marianne V) que l’on a pu clamer : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » ou que les communistes, en fidèles disciples des jacobins de 1793, ont pu « rééduquer » les dissidents dans leurs hôpitaux psychiatriques.

L’arrogance d’Emmanuel Macron et de ses confrères oligarques vient, notamment, de cette superstition selon laquelle ils sont le peuple et selon laquelle le peuple peut changer à volonté la nature des choses.

Et le populisme, c’est aussi cette volonté du peuple de sortir d’une abstraction mortifère et de revenir à des libertés concrètes, en lieu et place de cette pseudo-représentativité dont le mot d’ordre, outre la spoliation fiscale, semble : « Tout ce qui n’est pas obligatoire est interdit ! »

 

Source : les4verites

mardi, 07 novembre 2017

Les démagogues de la République

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2017 

Dans les méandres de la démocratie, se cachent une multitude de petits démagogues de tous poils, qui, profitant des défaillances d’une société à la dérive, peuvent prospérer sans encombre, en ayant à leur service un système médiatique parfaitement adapté à leur rhétorique. Qui pratique, depuis longtemps, la tartufferie comme une seconde nature – l’enfumage y est même devenu “la vertu cardinale” ! Désormais, il est très facile de vendre des discours attrayants et sur-mesure, qu’ils soient moralisateurs, politiques ou autres, comme on vend un paquet de lessive. De façon publicitaire ! Et plus c’est gros et mieux ça passe. Ce n’est pas plus difficile.

Évidemment, tout cela n’est pas nouveau, mais atteint, aujourd’hui, des sommets d’incongruité. À un point qui devient écœurant. Si les journalistes et les publicistes, en raison de leur statut de porte-parole, ont une grande part de responsabilité dans la prolifération de la complaisance ambiante – la plupart sont des militants au service d’une hystérique idéologie gauchisante de bazar – ils ne sont pas les seuls. On ne compte plus les associations de malfaisants qui polluent la sphère publique et qui, sous des dehors généreux et humanistes politiquement corrects, font un travail de sape d’une envergure inégalée. Comme jamais notre pays n’en avait connu. La langue de bois, qu’ils utilisent tous dans un style incantatoire, a un but inavouable : détourner l’attention des réalités de situations alarmantes qui révéleraient l’impuissance de nos dirigeants. Même pour les citoyens les moins éclairés, le constat est effarant : la manipulation de l’opinion devient tellement prégnante que l’on a l’impression de ne plus être très loin de vivre avec le “Big Brother” d’Orwell !

L’accumulation de nouvelles valeurs et expressions “républicaines” à la mode, pour tout et n’importe quoi, dans le style : “discrimination positive, écriture inclusive, harcèlement” ou employées à tort et à travers, comme ” devoir de mémoire, repentance, réparation, résilience” est telle, que la portée, de ces actes supposés être des socles fédérateurs pour la Nation, en est dévalorisée. On nage en plein délire et, sans discernement, la confusion et le désordre s’installent confortablement dans notre vocabulaire. Ces incohérences troublent, surtout, les esprits de nos élites autoproclamées du petit écran, dont le métier ne prépare plus à informer, mais à ânonner des textes de propagande. Voici venu le temps des impostures où, manifestement, la recherche de la vérité des faits n’est plus partie prenante de la déontologie journalistique.

Certes, nos petits démagogues d’aujourd’hui n’ont pas inventé la démagogie. Cette forme d’esprit à vouloir embobiner le chaland ne date pas d’hier, mais remonte bien plus loin, dans la nuit des temps où le commerce remplaça l’échange. Débordant sur toutes les activités humaines, la tentation démagogique ne pouvait pas échapper à la politique. Machiavel, lui-même, savait déjà l’utiliser pour en faire un des axes majeurs du fonctionnement de la République de Florence. Depuis, machiavélisme et démagogie, souvent, s’entremêlent et se confondent. Nos politiques actuels, n’étant pas plus bêtes, savent s’en servir ! Et, malheureusement, pour survivre, notre République, en pleine déliquescence, se cramponne à qui elle peut. À un président qui, lors d’une visite dans une banlieue de Cayenne, gangrenée par le trafic et le communautarisme, n’a qu’une réaction, pour le moins indigne de sa fonction ; face à de jeunes fumeurs de shit, il sourit et plaisante avec eux, en se permettant, tout de même, une petite remontrance : “Ça, ça ne va pas vous aider à bien travailler à l’école”. Quelle audace !

 

Au point où on en est, une niaiserie de plus ou de moins, ne change pas grand-chose.

Pauvre, pauvre France ! Tu es tombée bien bas.

Claude Picard

 

Source : ndf

vendredi, 13 octobre 2017

Des origines philosophiques de la démocratie à la fin de la démocratie

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2017

Ecrit parLéo Kersauzie

 

 
Des origines philosophiques de la démocratie à la fin de la démocratie, le chemin est-il si long ? La démocratie est l’organe politique, vecteur de la révolution et ceci à travers le monde.
Interventions, filmées lors des Journées de Chiré, de Christophe BUFFIN DE CHOSAL, historien et universitaire belge, correspondant de presse et auteur du livre « La fin de la démocratie », et de Maxence HECQUARD, diplômé d’une maîtrise de droit de l’université d’ASSAS et d’un DEA de philosophie à la Sorbonne, auteur du livre « Les fondements philosophiques de la démocratie moderne ».
 

samedi, 30 septembre 2017

Maurras : « La monarchie royale confère à la politique les avantages de la personnalité humaine »

 Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2017