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mercredi, 22 août 2018

La réalité du Brexit : les salaires augmentent pour les Britanniques

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

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Intox de juin 2016 de l'un de nos médias :

"Si les partisans du Brexit ont fait de la conservation des emplois pour les Britanniques l'un des fers de lance de leur campagne, il est toutefois probable que la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne s'accompagne de la délocalisation de nombreux postes."

La réalité de août 2018 : les salaires augmentent pour les Britanniques.

"Les flux de travailleurs européens vers le Royaume-Uni ont fortement diminué depuis le vote du Brexit en juin 2016. Cette immigration a atteint en 2017 son taux le plus faible depuis 2013, selon l'Institut agréé du personnel et du développement (Chartered Institute of Personnel and Development, CIPD en anglais), cité par l'agence Press Association. [...] Pris de court par la conjoncture actuelle du Royaume-Uni, les employeurs mettent en place des alternatives pour relancer l'emploi. La moitié des entreprises concernées ont choisi d'augmenter les salaires et d'améliorer les avantages sociaux des employés."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mardi, 30 janvier 2018

Une immigrationniste allemande se réveille face à la réalité

Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2018

 Lu sur RITV :

Images-2"Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer. « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais  Do Rzeczy  le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité. [...] 

La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »

Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »

Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.

Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial. [...]"

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 24 janvier 2018

Confiance dans les médias : un ultime « baromètre » pour nier la réalité

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 23 janvier 2018 

Quand le système est à bout de souffle, il continue malgré tout. Et quitte à jouer sa dernière carte, autant qu’elle soit flamboyante. C’est ainsi qu’un « baromètre » intitulé « La confiance des Français dans les médias » réalisé par Kantar/Sofres et publié ce 23 janvier par La Croix, vient rappeler à la masse que les médias traditionnels restent la seule manière de penser. Un pied en dehors et c’est le camp de ré-endoctrinement qui attend les promoteurs de fake news et autres sujets pas assez coopératifs.

Les journalistes mainstream ont trouvé de quoi se congratuler. Selon une étude payée par l’un des leurs – La Croix – les Français plébiscitent les médias traditionnels à commencer par la radio. Nous serions 56 % des Français à juger crédible ce support contre 52 % pour la presse écrite et 48 % pour la télévision. Les deux plus hautes marches du podium sont atteintes avec des scores qui dépassent péniblement les 50 %, mais les journalistes titulaires d’une carte de presse se félicitent. Quand on sait comment les sondages peuvent être manipulés, les résultats bruts pourraient bien être trop effrayants pour toute la profession…

Les Français derrière les médias traditionnels ?!

On « apprend » par ailleurs que pour 90 % des Français, le plus important est d’avoir à disposition « une information fiable et vérifiée ». Là, on est en droit de s’interroger, car ce chiffre ne peut pas fonctionner avec un taux de crédibilité de l’ordre de 50 % à moins que l’information traitée ne soit « viable » et « vérifiée » par le pouvoir. Autre chiffre étonnant : 62 % des songés suivent l’actualité avec un « grand intérêt ». Parle-t-on de l’actualité jupitérienne ou de ce qui se passe vraiment mais qui n’apparaît que de manière subliminale dans une presse aux ordres ?

Celles et ceux qui veulent comprendre le monde et éviter ainsi les centaines d’articles sur le chien du couple présidentiel ou sur les vacances (sans le chien resté au chenil) de ce même couple, doivent prendre la poudre d’escampette. Là-bas, sur Internet, une autre poudre – celle de perlimpinpin – est moins efficace et est diluée dans une profusion d’avis et d’analyses. Sur Internet, plus question de tirer dans le même sens en prétendant qu’on est différent du voisin. Les aides à la presse n’existent pas et la liberté est entière même si le Web serait le repaire de tous les méchants qui veulent faire croire à de gros mensonges aux citoyens crédules…

25 % des sondés seulement feraient confiance à ce qui est produit sur Internet. Ce dernier chiffre couronne la superbe construction journalistique qu’est ce 31e baromètre des médias. Internet n’est qu’un ramassis d’âneries et seuls les sites appartenant à des médias traditionnels sont dignes d’être lus. Le Décodex du monde avait ouvert la voie, Macron a enfoncé le clou avec l’idée bientôt faite loi de punir les « fake news » et comme par hasard 79 % des Français seraient en faveur d’une législation dans le domaine… Des informations non tronquées et issues de journalistes indépendants. Indépendants à l’argent de l’Etat qui fait encore tenir debout les supercheries que sont les médias avec pignon sur rue ? Près d’un quart des Français croiraient encore à l’indépendance des journalistes alors qu’ils sont 76 % à juger bonne la couverture médiatique de la campagne présidentielle de 2017. Les chiffres s’accumulent pour ne délivrer qu’une vérité, mais mis les uns à côté des autres, la potion magique devient indigeste. La tentative fut belle, mais ne convaincra que les esprits impossibles à débrancher du système.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 11 janvier 2018

La réalité, ce n’est pas l’islamophobie, mais l’occidentophobie

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 21018 

La réalité, ce n'est pas l'islamophobie, mais l'occidentophobie

Par Chantal Delsol, membre de l’Institut, professeur des universités, écrivain ♦ TRIBUNE – Pour la philosophe (*), il est vain de chercher des causes économiques ou psychiatriques au terrorisme. La matrice idéologique des djihadistes est la haine de la civilisation occidentale. Le problème est que nous non plus ne nous aimons pas.

Le terrorisme qui nous frappe s’impose à nous comme un objet non identifié.

Nous sommes capables de mettre en place l’état d’urgence, de détenir des services secrets performants qui sans aucun doute nous évitent bien d’autres attentats. Mais nous sommes incapables de mettre le doigt sur les causes. Au début, à partir du 11 Septembre, on a commencé par prétendre que des raisons économiques poussaient ces jeunes garçons au meurtre de masse et au suicide. L’empreinte marxiste est déterminante dans les sociétés occidentales du tournant du siècle : on pense encore que le crime ne provient que du chômage et du mal-être social. Puis on s’est rendu compte qu’il n’en était rien, puisque les coupables étaient parfaitement intégrés et instruits. Aujourd’hui une nouvelle explication, non moins risible, court sur les antennes : les terroristes seraient des malades mentaux. On installe des “cellules de déradicalisation” aussi ridicules qu’inutiles, comme si on pouvait lutter contre des croyances avec les armes de la raison bureaucratique. La seconde explication a aussi peu de sens que la première. Car la véritable raison est étalée sous nos yeux, pendant que nous refusons de la voir, comme la lettre volée.

Le déni de réalité est tel qu’on voit ces jours-ci des Espagnols défiler contre le terrorisme aux cris de “non à l’islamophobie”, comme si la raison de tout cela n’était pas, évidemment, l’occidentophobie. Qu’on le croie ou non, l’aveuglement des ex-communistes vis-à-vis des crimes de Lénine/Staline a été encore dépassé par l’aveuglement de nos contemporains devant les meurtres de masse auxquels nous sommes pratiquement habitués…
On ne parle pas de l’occidentophobie. Et probablement, il est suspect d’en parler, parce que c’est une manière de mettre en cause une branche de l’islam. Pourtant, les attentats qui secouent nos villes à intervalles de plus en plus rapprochés, sont bien le fruit de l’occidentophobie. Il s’agit d’une récusation profonde de notre culture telle qu’elle se déploie dans nos sociétés, Europe et Amérique confondues. L’Américain John Updike a bien décrit cela dans son roman Terroriste: son héros, le jeune Ahmad Mulloy, ne supporte pas le spectacle de la vie quotidienne américaine : la consommation permanente et la passion des choses superflues ; les filles offertes dans un abus de nudité et de laxisme, où plus rien n’est interdit ; la vulgarité, la bagatellisation de tout, le refus de toute spiritualité.

Au fond, ce qui est mis en cause ici, c’est l’athéisme, la sécularisation générale, l’égalité des sexes, le matérialisme, la priorité du plaisir. Les terroristes sont d’abord des gens qui ne supportent pas les droits égaux pour les femmes, la laïcité, la fin du machisme patriarcal.
Un certain pourcentage de musulmans hébergés par l’Occident hait l’Occident. C’est un fait. Ils ont été accueillis ici mais se révoltent contre leur culture d’adoption. Ce sont des choses qui arrivent, et ce n’est pas la première fois dans l’histoire. Il ne s’agit pas d’un simple dégoût, sinon nos terroristes pourraient aller vivre dans des pays où le gouvernement est musulman et les femmes voilées. Il s’agit d’une haine, d’une volonté de faire disparaître une culture : une idéologie – cet islam veut le monde. Beaucoup d’Occidentaux croient naïvement que les idéologies, après l’enfer puis après le communisme, ont été supprimées. En réalité nous nous trouvons devant une nouvelle “guerre contre l’Ouest”, héritière de celle dont parlait le Hongrois Aurel Kolnai en parlant du nazisme.
Les Occidentaux ont énormément de mal à admettre que des gens commandités par l’islam (même si évidemment aucun islam n’est tout l’islam) ont désigné l’Occident comme ennemi au point d’y commettre des massacres de masse. Car les musulmans, comme anciennes minorités opprimées, ont toujours raison : tel est notre mode de pensée. Incriminer des causes économiques ou psychiatriques des attentats, est chaque fois un moyen d’en rejeter la faute indirectement sur nous.

Cet aveuglement a des raisons intéressantes, et des conséquences non négligeables. Nous sommes parfaitement capables d’expliquer pourquoi nous, Occidentaux, devons être occidentophobes : toute la culture de la déconstruction nous le répète à satiété depuis un demi-siècle. Nous sommes capables d’expliquer comment la culture occidentale, responsable des guerres de religions et des guerres mondiales, est haïssable. Mais nous sommes bien incapables de comprendre et d’expliquer pourquoi un jeune musulman d’aujourd’hui, abrité et éduqué par l’Occident, va haïr la laïcité et l’émancipation des femmes : nous n’avons pas encore accepté cette réalité, tant elle nous insupporte, parce qu’elle déprécie une minorité que nous avons opprimée, c’est-à-dire un groupe de héros.
Nous avons depuis longtemps perdu l’habitude de défendre notre culture, de plaider pour elle. Faire l’apologie de la culture occidentale, nous pensons que c’est vichyssois, voilà tout. Aussi demeurons-nous pétrifiés et impuissants, incapables de comprendre avant même de répondre. Il faudrait justifier nos propres racines, que nous passons notre temps à ridiculiser depuis cinquante ans. Nous ne savons même plus où elles sont. La tâche est pour nous effrayante. Elle nous demande un retournement complet.

On ferait bien de cesser de pleurnicher sur la soi-disant islamophobie, qui n’existe que dans la mauvaise conscience, en ce cas mauvaise conseillère. La vraie réalité, qui se compte en nombre de morts, et cela est bien réel, c’est l’occidentophobie (qu’il vaudrait mieux appeler misoccidentie, si le mot n’était dissonant) : la haine de l’Occident. Il est probable qu’à force de vouloir nous déconstruire nous-mêmes, nous avons donné des armes à ceux qui déjà ne nous aimaient pas beaucoup – quand on bat sa coulpe en permanence, on finit par apparaître comme un raté. Mais enfin le mal est fait. Il nous faut tenter de comprendre, quand nous serons parvenus à prononcer ce mot, pourquoi pullulent les occidentophobes, habités par la nostalgie d’une société religieuse, patriarcale et machiste. Il ne nous suffira pas de les traquer physiquement, car c’est une bataille de croyances – on n’embastille pas des croyances. Où sont nos croyances ? Nous pourrions, avec profit, les rattraper dans le ruisseau où nous les avions imprudemment abandonnées.

Chantal Delsol
07/09/2017

(*) Membre de l’Institut, fondatrice de l’Institut Hannah Arendt, Chantal Delsol est philosophe et historienne des idées. Elle a dernièrement publié Un personnage d’aventure. Petite philosophie de l’enfance (Éditions du Cerf).

Source : Le Figaro, 7 septembre 2017
Correspondance Polémia – 8/01/2018

Crédit photo : capture d’écran vidéo Boulevard Voltaire. DR.

mardi, 25 juillet 2017

« Rafle du Vel d’Hiv » : rappel de quelques réalités

Publié par Guy Jovelin le 25 juillet 2017

24 juillet 2017 par admin4

 

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Les politiciens et médias laissent entendre ou disent carrément que l’État français, du Maréchal Pétain, a soutenu et aidé la déportation des juifs français. C’est parfaitement faux, c’est même le contraire.

Les négociations du gouvernement français de l’époque ont visé à empêcher la rafle des juifs français, et de fait, la rafle a concerné presque exclusivement des étrangers et des apatrides.

Rappelons qu’à la fin de la guerre, 95 % des juifs français avaient été sauvés. De nombreuses familles juives sont pleines de gratitude envers le maréchal, mais n’osent évidemment pas trop en parler, du fait du terrorisme intellectuel ambiant.

Ajoutons 4 points importants :

1) L’immense majorité des juifs étrangers qui avait été mise dans des camps l’a été par la IIIe République en qualité d’étrangers. Il serait bon de le rappeler de temps en temps.

2) Le gouvernement français avait proposé aux Etats-Unis d’accueillir les juifs étrangers présents en France. Le gouvernement américain a refusé. S’il avait accepté, il n’y aurait pas eu de rafle du Vel d’Hiv.

3) Selon la convention de la Haye, l’administration française en territoire occupé devait obéir à l’armée occupante, ce qu’elle fit. La rafle du Vel d’hiv a été diligentée par l’armée d’occupation et non par le gouvernement français. Le gouvernement français est intervenu pour que les juifs français ne soient pas déportés, car au mois d’août précédent, des juifs français avaient été raflés et ce sans que le gouvernement français en soit averti.

4) Xavier Vallat (à la tête du  Commissariat général aux questions juives) a prévenu le Docteur Nora de l’imminence d’une rafle en Ile-de-France, ce qui a permis de diviser par 2 le nombre de victimes raflées par rapport à ce qui était prévu par les Allemands.

Des historiens comme Raoul Hilberg, Raymon Aron et surtout Alain Michel, peu suspects de sympathie pour Vichy, l’affirment clairement.

 

Source : contre-info.com