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dimanche, 18 juin 2017

De Gaulle, traître intégral

Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2017

Il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.

C’est à partir de 1916 que l’on commence à parler d’un certain De Gaulle.
Légèrement blessé au genou au début de la guerre, « cela lui évitera de participer à la bataille de la Marne (…) une chance, car celle-ci s’est traduite par une hécatombe d’officiers subalternes dont il eût fort risqué d’être victime ».

« De même restera-t-il étranger à la bataille du Nord. Les fonctions qu’il occupe dans l’État major régimentaire vont le tenir à l’arrière des premières lignes ». Derrière la prudence d’Yves Amiot se dessine déjà le jeune De Gaulle : Éviter les coups et rester près de l’autorité supérieure. Tel est l’homme qui arrivera finalement en première ligne le 1er mars 1916, son 33ème régiment prenant la position défendue victorieusement par le 92ème, puis par le 110ème régiment d’infanterie en dépit du pilonnage des Allemands.

Or, dès le lendemain de son arrivée, suite à un nouveau pilonnage, le capitaine De Gaulle hisse le drapeau blanc… Contrairement aux autres officiers français, les Allemands ne lui rendirent pas son épée et De Gaulle qui s’en étonnait, s’entendit répondre froidement, « c’est parce que vous vous êtes rendu sans combattre » … ! Ce « détail » du parcours de De Gaulle, je l’avais entendu avec mon père, une première fois au Portugal de la bouche d’un commandant de l’armée française.

Plusieurs années plus tard le comte Aymer de la Chevalerie, le généreux donateur des locaux de Chiré-en-Montreuil, nous donnait les mêmes détails, sans que ces deux hommes se connaissent. Tel était le personnage dont les lobbies antinationaux allaient faire un héros.

Sans la protection du général Pétain, parrain de son fils Philippe, la carrière du jeune De Gaulle se serait arrêtée là. L’ambition maladive de son protégé allait l’amener à s’approprier une étude d’État-major sur l’avenir de l’arme blindée en le publiant sous son seul nom. Réprimandé, De Gaulle allait lui vouer une haine tenace comme à l’ensemble de l’armée française qui le méprisait. La guerre de 40 allait lui donner la chance dont il rêvait.

Les Anglais qui avaient besoin d’un képi pour contrer le prestige et l’action du Maréchal, envoyèrent le général Spears de l’Intelligence service débaucher le vaniteux De Gaulle ulcéré de ne pas avoir été pris dans le gouvernement Pétain.

Tel fut le début de la légende du « glorieux résistant » De Gaulle. Là encore l’Histoire officielle est menteuse, car De Gaulle n’a jamais été général. La saga résistantialiste occulte que ce fut Albert Lebrun, président de la République, qui signa le 23 juin 1940, le décret de mise à pied de De Gaulle pour cause de désertion :
Au Journal Officiel, 24 juin 1940, paraissait ce texte du Ministère de la Défense :

– « Par décision ministérielle du 22 juin 1940, la promotion au grade de général de brigade à titre temporaire, de M. le colonel d’infanterie breveté De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est annulée ».

– « M. le colonel d’infanterie breveté d’état-major De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est admis d’office à la retraite, par mesure de discipline ».

La « Libération-Épuration » sera pour De Gaulle allié aux responsables de la Débâcle, l’occasion de régler ses comptes. Les crimes de la Résistance gaullo-communistes étaient tels que le Père Panicci dénonçait « ce régime d’abattoir » dans son sermon du dimanche des Rameaux 1945, à Notre Dame de Paris. Des documents médicaux de l’époque, permettent de mesurer l’horreur des tortures infligées par les « patriotes », FFI, FTP, et autres « milices patriotiques » :
« Poils brûlés au briquet, bougies allumées dans l’anus, pointes des seins coupées, dents cassées, brûlures électriques dans le vagin, l’anus, la plante des pieds, coups de barre de fer, sections des doigts, arrachages d’ongles, lésions de marche ou reptation sur du verre, brûlures pour « cautériser » les plaies, aspersion d’essence et mise à feu, enfoncement de la cage thoracique, du crâne, avec lésions méningées, cérébrales, de la moelle épinière – c’est ainsi qu’allait mourir dans d’atroces souffrances le constructeur Louis Renault – lésions de l’œil, viol de femmes et de fillettes, promenées nues ».

Il faut rappeler le martyre de l’amiral Platon, chargé par le maréchal Pétain de surveiller les sociétés secrètes interdites par Vichy qui, renvoyé par Laval dans sa propriété du sud-ouest, y fut torturé et mis à mort par des résistants en l’écartelant entre des tracteurs.

de-gaulleAvec celui du comte Christian de Lorgeril , héros de la guerre de 1914, on atteignait les sommets de la barbarie. Le quotidien MRP, L’Aube, 16.11.1950, quelque peu gêné du comportement de ses alliés, rapportait les faits :

« Arrêté pour ses idées monarchistes le 22 août 44, complètement nu, le malheureux dut s’asseoir sur la pointe d’une baïonnette, puis il eut les espaces métacarpiens sectionnés, les pieds et les mains broyés, le thorax et le dos transpercés par une baïonnette rougie au feu, puis on le réanima pour lui verser du pétrole enflammé sur les plaies ».
« Il ne devait mourir que 55 jours plus tard dans des souffrances de damné ».

C’était le temps où le démocrate-chrétien P.H. Teitgen , Garde des Sceaux de De Gaulle, répondait aux communistes qui trouvaient l’Épuration insuffisante : « Messieurs, Par rapport à nous, les Grands Ancêtres étaient des enfants de coeur »… et à ceux qui déploraient la guerre civile, De Gaulle répondait : « Messieurs, la guerre civile où est la guerre civile » ?!

Fred Zeller, ancien Grand Maître du G.’. O.’., rapportait dans Europe Parlement le « mot » de De Gaulle, à la Libération : « Je vais redonner la République à la France, il n’y a aucune raison pour que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons » et Zeller reconnaissait :
« Il nous a redonné force et vigueur ».

Tel est l’individu pour lequel tant de « nationaux », de Rivarol , à Tixier-Vignancour et à Le Pen, entre autres, ont voté au référendum de 1958 et dont la suite de sa « carrière », allait confirmer l’ignominie.
Dès son arrivée au pouvoir à Alger, il rétablissait, le décret Crémieux abrogé par Vichy. Ce décret redonnait unilatéralement et en bloc la nationalité française aux seuls Juifs, alors que comme en 1870 les musulmans venaient de se battre pour la France. Les conséquences ne se firent pas attendre et François d’Orcival rappelle,Valeurs actuelles , 13.5.05, que « le 1er mai 1945, les manifestants à Alger, Oran, Mostaganem, criaient « À bas la France, à bas les Juifs », tandis que la police tire sur eux ».

Lors des émeutes du 9 au 14 mai, les émeutiers criaient de façon révélatrice : « À bas De Gaulle, serviteur de la juiverie », « À bas Churchill et les Juifs ». Comme en 1870 les marxistes Adrien Texier ministre de l’Intérieur, Charles Tillon, ministre de l’Air, massacreront des milliers de civils musulmans, traités d’ « hitlériens » ! C’est dire si le facteur juif était fondamental dans l’insurrection contre la France, devenue aux yeux des musulmans, un occupant au service de la communauté juive.

Cela aucun des nostalgiques de l’Algérie française ne le rappelle. Ils n’ont toujours rien compris aux causes de la perte de l’Algérie. La férocité de la répression des gaullo-marxistes, comme celle du gouvernement Thiers tenu par les Rothschild, en 1870, est suspecte, comme si, comme en 1870, les dirigeants de 1945 avaient voulu créer l’irréparable avec la communauté musulmane, pour la dresser contre la France.

On connaît la suite : La trahison de De Gaulle rappelé en « sauveur » par les Français d’Algérie, l’armée française et applaudit par les « nationaux » d’alors. Aussi est-il bon de rappeler comment il se vante dans ses Mémoires d’Espoir, de les avoir trompés : « Si de but en blanc j’affichais mes intentions, une vague de stupeur(s) et de fureur(s) eut fait chavirer le navire ».« Sans jamais changer de cap, il me faudrait donc manœuvrer », p. 60-61.

Ayant réussi à amener l’armée à capituler, l’autre ignominie, avec le mitraillage des Français par le général Katz aux origines sémites, sera de livrer les harkis.

Le télégramme secret du 16.5.1962, N° 125/IGAA, ordonnait :
« Le ministre d’Etat Louis Joxe demande au Haut commissariat de rappeler que toutes les initiatives individuelles tendant à l’installation (en) Métropole (de) Français musulmans sont strictement interdites ».

Une nouvelle directive de Joxe, du 15 juin 1962, enjoignait :
« Vous voudrez bien rechercher, tant dans l’armée que dans l’administration, les promoteurs et les complices de ces entreprises de rapatriement et de faire prendre des sanctions appropriées ».
« Les supplétifs débarqués en Métropole seront renvoyés en Algérie ».
« Je n’ignore pas que ce renvoi peut être interprété comme un refus d’assurer l’avenir de ceux qui sont restés fidèles, il conviendra donc d’éviter de donner la moindre publicité à cette mesure ».

Alain Rollat reconnaissait, Le Monde 7.8.91 :
« Dès le mois de juillet 1961, l’armée française commence à désarmer les harkis ».
« leur désarmement avait été promis au FLN par les autorités Françaises ».
« Ils seront exécutés avec leurs femmes et leurs enfants ».

Ces massacres « varient selon les sources, de 30.000 à 150.000, les harkis et leurs familles ont été victimes d’atrocités en tous genres, avant même la proclamation de l’indépendance, sans que les autorités françaises interviennent »…

Les Musulmans comme les Français ont été victimes du même complot mondialiste cosmopolite. On juge de la déliquescence de la « mouvance nationale » par son silence et son adulation d’un Le Pen qui se présente comme « seul héritier du gaullisme », Rivarol , 29.1.99 et qui, avant même son discours d’Argenteuil, prônait « une France multiculturelle et multiconfessionnelle », Ouest-France , 3.9.99.

Or, toute la politique française actuelle découle des conséquences de cette politique gaulliste aux ordres du mondialisme. Voilà pourquoi, il urge de faire le ménage dans les rangs de cette pseudo droite nationale et de tirer les leçons de l’Histoire.

Auteur : Philippe Ploncard d’Assac – Extrait de La Politique, juin 2008

 

Source : lorrainenationaliste

vendredi, 16 juin 2017

Pourquoi de Gaulle est parti à Londres…

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

Publié le 15 juin 2017 - par

Le 16 juin 1940, le général « à titre temporaire » Charles de Gaulle, sous-secrétaire d’État à la Défense du gouvernement Paul Reynaud, revient de Londres, où il avait été envoyé en mission.

Il rejoint aussitôt Bordeaux, où s’est replié le gouvernement de la France.

Paul Reynaud vient de démissionner et Philippe Pétain est appelé pour le remplacer et former un nouveau gouvernement.

De Gaulle espère un ministère bien plus important qu’un sous-secrétariat d’État à la Défense dans ce nouveau gouvernement, proposé par le Maréchal Pétain.

Énormément déçu de ne pas être nommé, de Gaulle profite de l’avion envoyé de Londres pour transporter soit Paul Reynaud, soit Georges Mandel, pour s’enfuir, en compagnie de son aide de camp Geoffroy Chodron de Courcel.

Il déclare au général Edward Louis Spears : « C’est bon, ils ne veulent pas de moi ! Dans ces conditions je fous le camp à Londres. »

Considéré comme déserteur devant l’ennemi (il est important de signaler que ce 16 juin 1940 l’armistice n’est pas encore signé, que donc la France est toujours en guerre et que la fuite de de Gaulle est une désertion face à l’ennemi en temps de guerre, acte pour lequel des dizaines de soldats ont été fusillés), le gouvernement français lui ordonne de revenir immédiatement en France.

De Gaulle répond au général Weygand, chef des armées, le 20 juin 1940 : « Mon général, j’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune résolution que de servir en combattant » (Mémoires de guerre – 1954).

Depuis 1958 cette lettre a été supprimée, occultée, par tous les historiens officiels du gaullisme qui nous livrent donc une histoire de France revue et corrigée.

Si de Gaulle avait pu se procurer un moyen de transport, que les autorités britanniques lui ont refusé, il aurait rejoint Bordeaux.

Il s’agit là d’un point très important car si de Gaulle s’était vu confier un poste ministériel il serait resté à Bordeaux et aurait fait partie du premier gouvernement formé par le Maréchal Pétain.

Quelle aurait été sa véritable conduite dans la suite des évènements ? Cela nous ne le saurons jamais !

Ce que l’on sait en revanche : en 1967, de Gaulle se confie à Roger Stéphane, au sujet de son départ le 16 juin 1940 : « Et pourquoi ne pas l’avouer, il y avait l’ambition, j’étais un ambitieux politique et il y a eu rencontre de la circonstance et de l’ambition. »

Cette ambition politique, avouée par lui, l’aura conduit tout au long de sa carrière politique jusqu’au reniement de sa parole, jusqu’à la trahison et même jusqu’aux crimes contre l’humanité.

Manuel Gomez

(Davantage de preuves dans mon livre J’accuse De Gaulle – Edition 2016)

 

Source : ripostelaique

mardi, 11 avril 2017

Marine Le Pen ne donnera jamais assez de gages au Système

Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2017

Tout ça pour ça ? La polémique autour des propos de Marine Le Pen concernant la rafle du Vel d’Hiv ne manque pas de sel. Après avoir évincé son père Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, dans le cadre d’une entreprise de dédiabolisation qui montre ses limites, après avoir permis à des Collard, Philippot, Chenu et autres parachutés d’insulter Jean-Marie Le Pen et de le traiter en paria infréquentable, après avoir tenté de donner des gages aux médias, aux lobbies communautaires et à Israël, voilà Marine Le Pen qualifiée de révisionniste pour avoir fait sienne une version gaulliste de l’Histoire et souillé au passage la mémoire du Maréchal Pétain.

Rappelons une fois de plus la déclaration de Marine Le Pen :  

« Comme Charles de Gaulle, François Mitterrand, ou encore de nos jours Henri Guaino, je considère que la France et la République étaient à Londres pendant l’Occupation et que le régime de Vichy n’était pas la France. C’est une position qui a toujours été défendue par le chef de l’État, avant que Jacques Chirac et surtout François Hollande, à tort, ne reviennent dessus », déclaret-elle tout en qualifiant le régime de Vichy de« régime collaborateur et illégal ».  

Ce faisant, elle n’aura satisfait personne. Ni les professionnels de la repentance, ni les Français attachés à sauvegarder la mémoire du Maréchal Pétain.

Marine Le Pen aura simplement démontré une fois de plus que malgré sa volonté d’obtenir l’aval du système, elle n’en fera jamais assez. 

D’autres, comme Gianfranco Fini en Italie, ont essayé avant elle cette stratégie qui finit toujours par le reniement pour un apparent succès dans une participation cornaquée au pouvoir, suivi de l’effondrement.

 

Source : medias-presse.info

samedi, 25 juin 2016

C’était un 25 juin…

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2016

25 juin 2016 par admin4 

1673 : d’Artagnan, capitaine des Mousquetaires,25 juin 2016 par admin4 tombe devant Maastricht. Louis XIV exprimera sa profonde tristesse auprès de la reine.

 

 

 

 

1804 : exécution, en place de Grève, de Georges Cadoudal, trente-trois ans, dernier chef chouan, en ce jour presque anniversaire du débarquement de Quiberon (27 juin 1795).
Ayant participé à toutes les guerres de Vendée, il est le seul chef chouan à avoir continué le combat, contre Napoléon.

 

 

 

1940 : le maréchal Pétain s’adresse aux Français dans un discours fameux : « c’est vers l’avenir que, désormais nous devons tourner nos efforts. Un ordre nouveau commence […] Votre vie sera dure.

Ce n’est pas moi qui vous bernerai par des paroles trompeuses. Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal. La terre, elle, ne ment pas. Elle est devenue notre recours. Elle est notre patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de la France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de la France qui renaît […] Notre défaite est venue de nos relâchements. L’esprit de jouissance détruit ce que l’esprit de sacrifice a édifié. C’est à un redressement intellectuel et moral, que, d’abord, je vous convie ».
Le matin même, il avait entendu l’archevêque de Bordeaux, Maurice Feltin, déclarer dans son homélie : « si nous avons été battus, c’est que peut-être nous n’étions plus suffisamment soutenus, au fond de nos âmes, par ce triple idéal que sont trois grandes réalités : Dieu, la Patrie, la Famille. »

 

Source : contre-info

mardi, 09 juin 2015

Pétain condamné de nouveau à mort par l'inénarrable Wallerand de Saint-Just (par Robert Spieler)

 

 Publié par Guy Jovelin

 

Wallerand de Saint-Just avait, depuis toujours, été l’avocat de Jean-Marie Le Pen. Il est connu pour ne pas être le génie du siècle, d’où des procès perdus qui eussent pu ne pas l’être. Mais JMLP lui avait toujours gardé sa confiance, ce en quoi il avait certainement eu tort. Saint-Just est aujourd’hui trésorier du FN et tête de liste pour les régionales en Ile-de-France. Il estime que JMLP représente « un obstacle considérable » quant à la bonne marche du Front national. Dans la perspective d’« écarter les obstacles qui pourraient surgir sur cette route (celle de la présidence de la République) », il faut éliminer Jean-Marie Le Pen. Wallerand de Saint-Just considère que les propos réitérés de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz, « détail de l’histoire » de la Seconde Guerre mondiale, peuvent « parfaitement être ressentis comme antisémites ». Avec un avocat pareil, qui se transforme sans honte en procureur, on comprend que le Menhir ait perdu quelques procès…

 

Saint-Just était reçu, il y a quelques jours, par le journaliste de RTL, Jean-Michel Aphatie. Ce dernier, connaissant le courage légendaire du personnage, ne put résister à la tentation de le torturer quelque peu. Il revint sur les propos de Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré que le Maréchal n’était pas un traître. Qu’en pensez-vous, demanda le journaliste ? Houlà ! Achtung, danger ! Le terrain devenait glissant. Wallerand commença à se décomposer. De fines gouttelettes de sueur perlèrent sur son front. La moustache se mit à friser, puis à défriser, au rythme d’une respiration de plus en plus saccadée, la barbe aussi (il porte la barbe depuis quelques temps, car, a-t-il déclaré, « c’est à la mode », genre de réflexions qui en dit long sur le personnage !). Il se mit à bafouiller, et finit par expectorer péniblement : « Je m’en réfère à la décision de justice ». En d’autres termes, il approuve la condamnation à mort du Maréchal. Quelle honte ! Mais Aphatie était satisfait de sa réponse, c’est ça qui compte. Il trouva aussi moyen de préciser, lui qui fut durant vingt ans l’avocat de Jean-Marie Le Pen, qu’il ne l’avait été que pour des raisons techniques (sous-entendu, qu’il désapprouvait le fond). Comment un militant national ou nationaliste sincère peut-il envisager une seule seconde de voter pour de pareils misérables ?

 

Source : http://www.rivarol.com/

 

Ce triste individu est en outre dans le collimateur de la justice pour l'affaire d'escroquerie liée au micro-parti Jeanne : http://www.liberation.fr/politiques/2015/06/03/affaire-je...