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lundi, 17 décembre 2018

Baromètre de la pauvreté : un Français sur cinq ne peut pas manger trois fois par jour

Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2018

Publié le 16 décembre 2018 Auteur par Rédaction
contre-info

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« La pauvreté gagne du terrain en France. D’après le baromètre 2018 du Secours Populaire, 39% de Français ont déjà été pauvre. Soit deux points de plus par rapport à l’an dernier.  L’une des premières conséquences, c’est la précarité alimentaire. Manger sainement est extrêmement difficile. Manger régulièrement aussi.

Les cinq fruits et légumes par jour sont bien loin. D’après l’étude, 27% des Français ont du mal à s’offrir des légumes et des fruits frais tous les jours. Pour le poisson, 20 % n’arrivent pas à s’en acheter au moins une fois par semaine.

Être pauvre c’est sauter des repas régulièrement, manger des produits gras, moins coûteux, ce qui entraîne : fatigue, anémie, diabète ou cholestérol. Être pauvre , ce n’est pas double peine, mais triple peine.  Puisque ne pas pouvoir se nourrir seul entraîne un sentiment de honte et d’isolement.

Quand on vit avec moins de 1 015 euros par mois, on rogne sur plusieurs budgets. D’après cette étude, c’est logiquement celui des loisirs qui diminue en premier. Environ, 41 % des Français ont du mal à partir une fois par an en vacances ou a faire des sorties en famille régulièrement.

Ces restrictions forcés concernent également la santé, puisque quatre Français sur dix ont des difficultés à payer certains actes médicaux mal remboursés par la sécurité sociale. Ils renoncent par exemple à l’achat de prothèses dentaires, de lunettes ou aux visite chez les spécialistes de la santé. »

Source et suite France bleue

mercredi, 10 janvier 2018

Bien des Français de France sont malheureux

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

POSTÉ LE 09 JANVIER , 2018

france,lourde fiscalité,malheureux,pauvreté

Il y a quelques jours, dans un supermarché, j’ai entendu une dame âgée disant devant un plat à 5,92 € : « C’est trop cher pour moi. » Des enseignants m’ont confié que de jeunes enfants paraissaient le matin à l’école pâles et affaiblis. Ils n’avaient pas pris de petit-déjeuner. Négligence ? Non, pauvreté. D’autres, nombreux, adultes et enfants, se nourrissent de féculents parce que ce n’est pas cher, sans parler de ceux qui « sautent un repas » parce qu’ils n’ont pas les moyens de s’en offrir deux. Comment pourrait-il en être autrement chez ceux qui, habitant en ville, ont une retraite de 600 euros par mois ?

En face de cette pauvreté que subissent dans le silence des braves gens, adultes et enfants de France, on constate le formidable gaspillage de l’argent public par les responsables qui, de pseudo-droite ou de gauche, gouvernent la France, eux, dans le plus grand confort, mettant en œuvre avec entrain la préférence étrangère.

Combien de milliards d’euros ont-ils été dilapidés en pure perte dans ce qu’on appelle la « politique de la ville », inaugurée par « Nanard » Tapie, ministre de Mitterrand. Grâce à cette politique, on a aujourd’hui 570 zones de non-droit, livrées à l’anarchie ? Combien de milliards d’euros sont-ils dilapidés dans l’octroi du droit d’asile, des soins prodigués aux 600 000 clandestins que compte la France, de l’aide à l’Afrique que Macron vient verbalement de doubler ? Plus les milliards gracieusement remis aux associations, ainsi qu’aux syndicats pour la « formation » qui forme si bien que la France entretient 6,5 millions de chômeurs, le double de la moyenne européenne, alors que les braves gens, les modestes, les silencieux, de Bourgogne, de Bretagne, du Midi, et d’ailleurs, se privent parce qu’ils n’ont pas de quoi manger à leur faim. Oui, la France en 2017 est un pays où des Français ont faim et ils ont honte de l’avouer.

Voilà ce qui se passe en France, administrée par 610 000 élus et 5,7 millions fonctionnaires, et où l’on trouve dans l’énorme administration fiscale des douzaines de directeurs aux salaires tellement exceptionnels que la Cour des comptes n’a pas pu moins faire que de les publier et de s’en étonner. Ces fonctionnaires, généralement de fervents partisans de « l’égalité sociale », ont un salaire de 16 fois le SMIC.

Ainsi la France, qui parmi tous les pays du monde impose la plus lourde fiscalité, a-t-elle aussi la gouvernance la plus hypocrite qui soit. Sa devise n’est plus : « Liberté, égalité, fraternité », mais : « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».

Le système est néanmoins solide parce que ceux qui en profitent se réservent le pouvoir politique et médiatique qui condamne tous ceux qui ne veulent penser, dire, et agir comme il faut. La presse est, en effet, comme chacun le sait, largement subventionnée par l’argent public. Les mal-pensants, et a fortiori les mal-disants, sont des blasphémateurs à exclure de la société, en les maintenant dans un état permanent d’indignité nationale. Tout ceci parce que la gouvernance française reste, à ce jour, sans le dire, fidèle au sacro-saint programme crypto-communiste du Conseil national de la résistance.

Lorsque, dans quelques décennies, notre pays sera un État en anarchie africaine et musulmane, la minorité des vrais Français aura disparu, laissant la place à la soumission pour les survivants du socialisme, de l’égalitarisme et de la misère à partager.

Est-il encore temps de mettre fin à l’œuvre destructrice de ces gens-là ?

Il serait instructif de poser la question à Emmanuel Macron qui, en guise de cadeau pour 2018, ajoutera quelques milliards d’euros supplémentaires de prélèvements obligatoires aux très nombreux milliards d’euros de prélèvements déjà acquittés par les ménages en 2017, laissant apparaître 18 milliards d’augmentation par rapport à 2016 !

On voit qu’on est loin des 60 milliards d’euros de baisse de dépenses publiques et des 20 milliards de baisse annoncée des prélèvements obligatoires.

Cerise sur le gâteau fiscal, on aura d’ici à 2022, une hausse de 172 % des taxes sur l’énergie.

Pour terminer, je dois corriger l’omission d’un mot, qui a provoqué une erreur, dans ma dernière chronique : « L’échec constant de la diplomatie occidentale depuis 20 ans. » Il est écrit dans cet article : « les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire à la modernité », il fallait lire : « Les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire et du Moyen-Âge à la modernité. » Nul n’ignore, en effet, que les origines de la civilisation occidentale se situent au Moyen-Orient, plus précisément en Mésopotamie où, 10 000 ans av. J.-C., existaient déjà des centres urbains. Les Sumériens y furent à l’origine de l’écriture et de l’architecture. Les Égyptiens y créèrent une civilisation brillante, pharaonique, hellénistique et romaine. C’est à partir du VIIe siècle que les Arabes se lancèrent au nom de Mahomet à la conquête de l’Afrique du Nord, envahissant l’Espagne, arrivant même jusqu’à Poitiers en 732 et, sur leur passage, tout fut anéanti. Aujourd’hui, ils reprennent le même combat. Tout le monde sait cela.

 

Source : les4verites

vendredi, 18 novembre 2016

Inexorable montée de la pauvreté : le rapport du Secours Catholique, qui, même s'il s'en défend, accuse le Système...

Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2016

 

Effrayant et inquiétant : que dire d'autre, après avoir pris connaissance du dernier rapport du Secours Catholique sur l'inexorable montée de la pauvreté en France ?

• près de 9 millions de personnes, dont 3 millions d'enfants, vivent « dans » la pauvreté ;

• le Secours Catholique a accueilli 608.5000 personnes en 2015, soit une augmentation de 2,7 % par rapport à 2014.

• les enfants et les « précaires » sont en hausse, dans ces accueils, comme est en hausse l'appauvrissement des familles...

Oh, que l'on se rassure : il n'y a que du consensuel et du « politiquement correct » dans ce rapport. Aucune accusation contre le Système, uniquement des chiffres froids et presque glacés, des constats, des tendances et des courbes. A croire que cette inexorable croissance de la pauvreté - qui à ce stade devient comme un cancer, et le naufrage d'une Nation - arriverait presque toute seule, comme par hasard, sans causes bien précises. 

Il y a pourtant deux choses que dit le rapport et qui amènent à une critique frontale du Système et de sa politique, qui crée, justement, et amplifie d'une façon exponentielle cette pauvreté.

1. La part des étrangers, dans cette marée de détresse, a quasiment doublé depuis 2000 : les étrangers représentaient, alors, 20% des personnes aidées, leur part est montée à 36% en 2015, dont - scandale supplémentaire - 18% de clandestins (que les bobos, les trotskistes et le président des Evêques de France - Mgr Pontier, archevêque de Marseille -  se plaisent à appeler « sans-papiers »).

C'est la première critique du Système que porte - même sans le vouloir - ce rapport : pourquoi, en effet, accueillir chaque année 300.000 étrangers par an (soit 1,5 millions sous le quinquennat de Hollande) et 200.000 sous les quinquennats précédents (soit un nombre impressionnant de millions depuis les décrets Chirac de 1975) ? On voit bien que ces étrangers, dans une proportion devenue insupportable pour nos moyens matériels, se retrouvent ensuite, très vite, dans les statistiques de la pauvreté. Quant aux clandestins, il est tout simplement scandaleux d'ajouter une aide supplémentaire au quasi milliard de l'AME (Aide Médicale d'Etat), alors que deux paysans français se suicident chaque jour, et que les JT de TF1 et de France 2 ont « passé » plusieurs reportages sur ces personnes âgées, ayant travaillé toute leur vie, et vivant avec 400 euros de retraite par mois !... Le tort de ces paysans ou de ces retraités aux indécentes pensions est-il d'être, tout simplement, Français, et pas d'une autre couleur, ou d'une religion venue d'ailleurs ? Oui, semble-t-il, pour le Système...

2. Mais il n'y a pas - il n'y a plus - que le « matériel » qui cause directement la pauvreté : le Secours Catholique note l'explosion - elle aussi exponentielle - des demandes d’« écoute » et d' « accueil ». Et, là, on n'est plus dans les conséquences sociales ou économiques d'une politique insensée, mais bien dans « le » politique. Et l'on voit les conséquences désastreuses de l'éclatement des familles, qui sont depuis des décennies comme l'ennemi numéro 1 d'un Système qui fait tout pour rabaisser leur image, les fragiliser, les dissoudre, alors que l'on sait bien que la famille est la cellule de base de la société, la base fondamentale de la pyramide sociale. Et que, plus les familles sont fortes, nombreuses, faisant partie de ces « classes moyennes » qui ont de tout temps fait la force de la France, plus la Société est solide, stable, et capable de résister aux différentes crises qui ne manquent pas de se produire...

Théorie du genre, court-termisme généralisé, exaltation frénétique de l'individualisme et de l'hédonisme, justifications jusqu'à l'absurde de toutes les autres formes de vie sociale que la vie familiale (le « choix » LGBT étant considéré comme aussi normal et « valable » que le choix de fonder une famille...), accablement par des impôts et taxes qui deviennent un racket légalisé, baisse des Allocations familiales selon les revenus... la liste est longue de ce  « Famille je vous hais », façon André Gide, qui semble bien devenu l'un des axes majeurs d'une politique aussi néfaste et funeste pour le Pays que le Système qui la conduit... 

 

Source : lafautearousseau