Les services du petit-fils de rabbin Jean-Louis Debré, un jour après avoir interdit au gouvernement de donner un – petit – coup de pouce aux 7,2 millions de salariés les moins bien payés au prétexte de « l’égalité », ont validé la quasi-totalité de la réforme pénale de Christiane Taubira. Malgré l’opposition d’une grande partie du monde politique, policier et pénitentiaire, le Conseil constitutionnel a affirmé que le texte, qui permettra, entre autres, à des pédocriminels ou à des trafiquants de drogues d’échapper encore plus qu’aujourd’hui à la prison, était conforme à la constitution.
Les peines planchers sont donc supprimées, et la « contrainte [sic] pénale », qui permet aux juges d’envoyer des délinquants dangereux et irrécupérables chez eux plutôt qu’en prison, est instituée.
Pendant ce temps, le jeune nationaliste Esteban Morillo est privé de liberté depuis 14 mois pour simplement s’être défendu face à des gauchistes qui l'agressaient.