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mardi, 30 septembre 2014

Entrée en vigueur de la réforme pénale : les victimes tremblent (par Charlotte d'Ornellas)

 

Publié par Guy Jovelin

Le 1er octobre, la réforme pénale tant controversée de Christiane Taubira entrera en vigueur. Une étape de plus pour cette justice française qui n’en finit plus de minimiser les souffrances des victimes au profit du bien-être de leurs agresseurs.

Quel message la justice tente-t-elle d’envoyer lorsqu’elle relaxe les violeurs d’une handicapée mentale au prétexte que l’absence de consentement de cette derrière serait impossible à déterminer ?

Quel signal cherche-t-elle à envoyer aux criminels étrangers lorsqu’elle minimise si souvent le facteur de racisme anti-blanc que subissent, quotidiennement, tant de nos compatriotes ?

Quel rôle prétend-elle incarner lorsqu’elle donne raison à des adultes qui choisissent sciemment de contourner la loi pour acheter un enfant en le privant de mère ? Pour en fabriquer un avant de le priver de père ?

Les décisions de justice incompréhensibles se succèdent, la tendance est à l’excuse permanente des agresseurs.

Des décennies de terrorisme intellectuel, d’idéologie anti-raciste et d’inversion systématique des valeurs ont désigné des victimes pour lesquelles il convient de se lamenter sans cesse, sans prendre en compte la réalité : l’immense majorité des victimes de ce pays, défiguré par la violence réelle ou symbolique, n’ont droit qu’au mépris de la classe médiatico-politique.

C’est la « contrainte pénale » qui inquiète les professionnels : elle est jugée chronophage par des juges déjà débordés, sans vraie différence par rapport au sursis avec mise à l’épreuve…

Les policiers la refusent, quant à eux, à cause du manque de moyens. Cette nouvelle sanction exécutée en« milieu ouvert », c’est-à-dire sans prison, risque de les transformer en agents d’exécution des peines… Pendant qu’ils suivront à la trace ces délinquants pour leur éviter la prison, leurs missions d’enquête et de répression ne seront pas menées. Les voyous n’ont donc aucune raison de s’inquiéter…

Cette contrainte pénale concerne l’ensemble des personnes déclarées coupables d’un délit puni jusqu’à 5 ans d’emprisonnement, y compris les récidivistes…

Pour certains caïds que plus rien n’effraie, ce n’est pas une « interdiction » de s’approcher du domicile de leur victime qui les empêchera d’en trouver une nouvelle, ce n’est pas non plus un « stage de réinsertion »qui les empêchera de braver à nouveau la loi…

Ils sont toujours plus jeunes, plus violents, sans honneur ni morale, sans repère ni limite : la « clémence »relève de l’aveuglement et de l’irresponsabilité avec un grand nombre d’entre eux.

Par ailleurs, cette peine s’ajoute à celles déjà existantes et la prison reste donc prescriptible… Mais qui peut croire que les juges, indirectement responsables des horreurs commises quotidiennement par des récidivistes laissés en liberté, changeront de méthodes si le ministère de la Justice continue à les encourager en ce sens ?

Le futur apparaît clairement : l’entrée en vigueur de cette réforme pénale épargnera des peines de prison à un nombre considérable de délinquants. Étant donné le nombre croissant d’agressions subies par les Français, la nouvelle est tout simplement terrifiante.

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dimanche, 10 août 2014

Le Conseil constitutionnel interdit les hausses des petits salaires, mais valide la criminelle réforme pénale

Publié par Guy Jovelin

Les services du petit-fils de rabbin Jean-Louis Debré, un jour après avoir interdit au gouvernement de donner un – petit – coup de pouce aux 7,2 millions de salariés les moins bien payés au prétexte de « l’égalité », ont validé la quasi-totalité de la réforme pénale de Christiane Taubira. Malgré l’opposition d’une grande partie du monde politique, policier et pénitentiaire, le Conseil constitutionnel a affirmé que le texte, qui permettra, entre autres, à des pédocriminels ou à des trafiquants de drogues d’échapper encore plus qu’aujourd’hui à la prison, était conforme à la constitution.

Les peines planchers sont donc supprimées, et la « contrainte [sic] pénale », qui permet aux juges d’envoyer des délinquants dangereux et irrécupérables chez eux plutôt qu’en prison, est instituée.

Pendant ce temps, le jeune nationaliste Esteban Morillo est privé de liberté depuis 14 mois pour simplement s’être défendu face à des gauchistes qui l'agressaient.

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