Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 30 août 2018

Il faut sortir du piège de la dépense sociale !

Publié par Guy Jovelin le 30 août 23018

POSTÉ LE 28 AOÛT , 2018

budget,dépense sociale,pib

Le budget de la France est de 386 milliards d’euros (18 % du PIB). Il permet à notre pays de financer l’ensemble des dépenses de fonctionnement qui sont réparties dans les différents ministères.

Cela va des salaires des fonctionnaires aux investissements indispensables à la vie des Français : ensemble des infrastructures, armées, police, justice, loisirs, etc. Tout ce dont un pays a besoin pour fonctionner correctement.

Le social, lui, est comptabilisé séparément et son budget a fortement dérivé, pour atteindre à ce jour 34 % du PIB, soit environ 750 Mds€ – donc, à lui seul, deux fois le budget de la France et 30 % des dépenses sociales européennes.

Vient s’ajouter à cela un déficit budgétaire 2017 de 75 Mds€, avec un total cumulé de plus de 2 200 Mds €. Autant dire, et l’Europe y veille, que nous ne pouvons plus continuer comme cela !

Notre pays a donc choisi de sacrifier son développement pour satisfaire une demande de social toujours plus exigeante, mais, là, nous sommes arrivés à une impasse !

L’actualité en Italie, avec l’effondrement du pont Morandi et ses plus de 40 morts, nous invite à réfléchir sur des conséquences analogues en France, avec les quelque 800 ponts qui présentent un risque majeur.

Cela doit nous alerter sur la répartition des budgets car notre endettement, qui a déjà dépassé les limites tolérables, ne peut plus être une option, d’autant que nous demandons déjà à nos enfants de payer nos inconséquences.

L’entretien des ouvrages d’art n’est malheureusement pas le seul domaine sacrifié, il y en a d’autres potentiellement beaucoup plus dangereux. Je citerai les quatre qui me paraissent les plus urgents :
– Notre défense nationale, seule garante de notre indépendance : 34,2 Mds€ (1,5 % du PIB) pour 2018, alors que les USA y consacrent près de 700 Mds de dollars, dont 187 pour la seule lutte contre le terrorisme !
– Notre leadership dans le monde : la France a rétrogradé dernièrement à la 7e place mondiale (en date du 11 juillet 2018), alors qu’elle était 4e en 2000.
– Notre déficit commercial dans le rouge depuis 10 ans qui prouve notre faiblesse récurrente.
– Notre industrie qui voit sa part dans le PIB divisée par deux en 15 ans.

À vouloir faire toujours plus de social, on tarit, par manque de résultats économiques, la source même de financement du social au risque de ne plus pouvoir le financer. Même s’il était réduit de moitié !

Il y a donc extrême urgence à revoir la répartition de nos dépenses publiques, afin d’améliorer notre compétitivité qui sera seule garante d’une réelle justice sociale pérenne.

 

Source : les4verites

mercredi, 31 janvier 2018

La came pour booster les chiffres du PIB !

Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2018

 
SansonnensDroguestocksBon
 
 

On croit rêver: A partir du mois de mai prochain, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) va «tenir compte de la consommation de stupéfiants et des activités liées à cette consommation sur le territoire national» dans le calcul de son produit intérieur brut (PIB). Un changement qui pourrait entraîner une révision à la hausse de la croissance française.

Là vraiment je ne sais plus quoi dire… Pourquoi pas aussi des primes aux trafiquants de came et aux macs puisque grâce à eux, les chiffres des résultats économiques remonteront? ...

source: lefigaro

via: https://reseaulibre.org/site/2018/01/30/les-putes-et-la-came-pour-booster-les-chiffres-du-pib/

vendredi, 24 mars 2017

Le déficit public de la France plus élevé que prévu en 2016, à 3,4% du PIB

Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2017

Michel Sapin assure pour sa part que le gouvernement "a tenu ses engagements européens".

Le ministère de l'Economie à Paris, le 7 janvier 2017.
Le ministère de l'Economie à Paris, le 7 janvier 2017. (MANUEL COHEN / AFP)
franceinfo avec AFPFrance Télévisions

La France a enregistré en 2016 un déficit public légèrement plus élevé que prévu, à 3,4% du produit intérieur brut (PIB) au lieu des 3,3% promis par le gouvernement, a annoncé, vendredi 24 mars, l'Insee dans un communiqué. La dette publique, qui continue à s'accumuler tant que les comptes publics sont dans le rouge, a pour sa part continué sa progression, pour atteindre 2 147 milliards d'euros fin 2016, soit l'équivalent de 96% du PIB, contre 95,6% fin 2015.

"Pour la troisième année consécutive, la France a scrupuleusement tenu ses engagements européens", a toutefois assuré le ministre de l'Economie et des Finances Michel Sapin. "Avec un déficit public de 3,4%, elle respecte exactement la recommandation de la Commission européenne", a ajouté le ministre, selon qui "toutes les conditions sont réunies pour que, en 2017, le déficit public revienne sous les 3%".

Baisse de la dépense publique

"Cette gestion budgétaire sérieuse aura permis de réduire continûment les déficits, tout en baissant les impôts des ménages et des entreprises et en permettant à la croissance de repartir", a estimé Michel Sapin. Le gouvernement, après avoir obtenu plusieurs délais de Bruxelles pour repasser sous la barre des 3%, a engagé en 2014 un mouvement de réduction de la dépense publique, passée de 57,1% à 56,2% du PIB en 2016.

Ces résultats constituent une déception pour le gouvernement, qui insistait ces dernières semaines sur son sérieux budgétaire et se disait confiant sur sa capacité à tenir ses objectifs. Mais les finances publiques ont pâti du climat économique morose, avec une croissance qui a patiné l'an dernier, à 1,1% selon les dernières estimations, loin des 1,5% prévus par l'exécutif.

 

Source : francetvinfo

mercredi, 01 juillet 2015

La dette de la France proche des 100% du Produit Intérieur Brut selon l’INSEE – Que fait le gouvernement ?

Publié par Guy Jovelin

Dette Maastricht

Cliquez sur l’image pour l’agrandir (Source INSEE)

Alors que la France promet des aides en Tunisie, en Grèce et ailleurs, et qu’elle ouvre des centres d’accueils pour les immigrés et promet le doublement des mosquées, la dette publique de la France a augmenté de 51,6 milliards d’euros au premier trimestre pour atteindre 2.089,4 milliards fin mars, soit 97,5% du PIB, selon les statistiques publiées aujourd’hui par l’Insee. Le ratio de la dette publique sur le PIB a augmenté de 1,9 point par rapport au dernier trimestre de 2014 qui n’était encore (si on peut dire!) qu’à 95,6%. Il s’agit de la hausse la plus forte depuis le premier trimestre 2012. L’objectif affiché du gouvernement était de 96, 3% pour l’année, ce qui prouve, même s’il le sous-estimait, qu’il avait conscience de poursuivre l’endettement de la France. Il faudrait un redressement plus qu’improbable pour que l’objectif de 96,3% soit rétabli en fin d’année.

Alors que Manuel Valls, Français récent, met à la charge des Français ses menus plaisirs, comme aller soutenir l’équipe espagnole de foot de Barcelone, la seule dette de l’Etat a augmenté de 37,1 milliards d’euros sur le premier trimestre pour s’élever à 1.647,3 milliards, précise l’Insee.

Certes, ce n’est pas un déplacement en Allemagne qui fait la différence. Par contre le renflouement des banques, notamment françaises, qui ont prêté avec la complicité et la garantie des instances de l’Union européenne, des sommes colossales à La Grèce pour la faire entrer dans l’union européenne alors qu’elle n’était pas au niveau requis, correspond presque au surplus de la dette de ce premier trimestre. Et pourtant personne ne songe à solliciter les tribunaux pour leur demander des comptes. Depuis, il est vrai, les contribuables ont encore été sollicités pour maintenir à flot les banques grecques. Et pire encore, personne ne pense (sauf le FN) à faire sortir la France du processus infernal dans lequel l’a plongé son adhésion à l’eurozone.  

dette 2

Cliquez sur l’image pour l’agrandir (Source INSEE)

Dans le détail, la dette, suivant les critères de Maastricht, comprend en plus de la dette de l’Etat à proprement parler, celles de la sécurité sociale (232,6 milliards fin mars, soit +15,8 milliards), des administrations publiques locales (187,4 milliards, en retrait de 0,8 milliard) et des organismes divers d’administration centrale (22,1 milliards, soit -0,5 milliard). La dette nette des administrations publiques s’élevait à 1.868,0 milliards d’euros fin mars, soit 87,1% du PIB contre 86,8% à la fin 2014 (1.610,2 milliards), en progression de 17,6 milliards sur trois mois, ajoute l’Insee.

En ce qui concerne la dette de l’Etat il serait intéressant (mais cela nous ne l’aurons jamais!) de savoir le coût cumulé de l’immigration, avec ses retombées telles que le terrorisme islamiste pour lequel toutes les forces de police et même en partie de l’armée, sont mobilisées en permanence. Le coût induit du soutien à la rébellion islamiste contre Bachar el Assad en Syrie, contre Kadhafi en Libye, avec les livraisons d’armes, le contrôle des traîtres français de l’islam, l’extension de la guerre terroriste à partir de la Libye et de la Syrie en Afrique noire, les rallonges multipliées de Manuel Valls dans les quartiers d’immigration récente pour lutter contre l’islamophobie (sic!), etc. etc. Mais rassurons-nous, les oligarques apatrides y trouvent leur compte!

Cazeneuve Djihad

En ce qui concerne la dette de la Sécurité sociale ou des caisses de retraites, alors que les Français voient leurs remboursements et leurs retraites diminuer sans cesse, ces organismes sont très généreux avec les clandestins, qui pourtant n’ont aucun droit à être sur le territoire national, et très généreux aussi avec les étrangers qui ont droit d’y être, leur donnant souvent des droits supérieurs à ceux des nationaux.

Gaspillage éhonté!

Cette explosion de la dette intervient alors que la trésorerie de l’Etat bénéficie d’une « très forte hausse » (+31,9 milliards), explique l’institut.

En d’autres termes, sans cette « très forte hausse » de la trésorerie de l’Etat, ce ne serait pas 51,6 milliards de déficit supplémentaire que la France aurait eu à déplorer mais:

51,6 milliards + 31,9 milliards = 93,5 millards de gabegie supplémentaires!

Et cela avec la vente de pans entiers de la France à l’étranger! Pour quel résultat concret en matière d’emploi et de croissance industrielle ? Rien que de mauvais chiffres! Mais par contre ceux de la délinquance, du terrorisme et de l’immigration progressent sans problème en dépit des mensonges d’Etat, alors que les deux têtes du pouvoir socialiste distribuent les euros durement gagnés des Français pour s’acheter des électeurs musulmans en une campagne électorale permanente! C’est dire si le pouvoir socialiste avec François Hollande et Manuel Valls, est peu soucieux des finances que les Français leur ont bien imprudemment confiées. N’est-il pas temps d’essayer autre chose?

Le gouvernement prévoyait pour l’année, selon une estimation des finances publiques publiée en avril, que la dette publique atteindrait 96,3% du PIB fin 2015 et culminerait à 97,0% en 2016 avant de revenir à 96,9% en 2017. Le ratio de 2014, annoncé alors à 95,0%, a été depuis corrigé à 95,6% (2.037,8 milliards).

Avec la progression exponentielle de la dette publique tandis que la France se trouve en position économique avantageuse par rapport aux années précédentes, on peut imaginer ce qu’il en sera RÉELLEMENT à la fin de l’année, avec les catastrophes économiques annoncées, si la France ne se dégage pas de l’Union Européenne et de la monnaie commune.

Source : http://www.medias-presse.info/la-dette-de-la-france-proch...