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samedi, 26 janvier 2019

Europe : les dépenses en lobbying des GAFA auraient augmenté de 700% en 5 ans

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Par  le 25/01/2019
 

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+700% en cinq ans en Europe

Le lobbying pour protéger le business de la donnée s’est surtout intensifié en Europe lors de l’adoption du RGPD. Selon une étude de l’ONG Corporate Europe Observatory, les dépenses en lobbying des Gafa aurait augmenté de 700% entre 2013 et 2018. Officiellement, le montant total déclaré ne représente que 5,5 millions d’euros. Entre 2010 et 2013, la plateforme LobbyFact rapportait que ces budget avaient déjà été multipliés par trois.

Un journaliste indépendant, Alexandre Lechenet estime le budget total (avec Twitter et Uber en plus des Gafam) en 2016 à 13 millions d’euros. « Google et Microsoft sont ceux qui annoncent des budgets annuels consacrés aux activités de lobbying en Europe les plus importants, avec des dépenses entre 4,25 millions d’euros et 4,5 millions d’euros chaque année », signale Alexandre Lechenet sur son blog.

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BFM via fdesouche

lundi, 07 janvier 2019

France: en 2018 les aides au développements de l’Afrique dépassaient le budget du ministère de la justice

Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2019

Par  le 06/01/2019

 

Durant l’année 2018, l’Afrique a connu plusieurs grandes zones de conflictualité.[…] toutes continueront à faire l’actualité. Nulle part, en effet, le réel n’est pris en compte, toutes les solutions proposées étant d’ordre électoral. […]

Au point de vue économique, durant l’année 2018, les pays producteurs de matières premières n’ont toujours pas entamé l’impératif mouvement de diversification qui, seul, pourrait leur permettre d’échapper aux malédictions liées à la variation des cours.

Au point de vue social, le continent continuera à s’enfoncer dans le néant, sa démographie y étant plus forte que le développement.
Le cas du Sahel est à cet égard particulièrement parlant. Voilà en effet une région incapable de nourrir ses habitants et où la population double quasiment tous les 25 ans avec un croît de 3,9% et une moyenne de 7,6 enfants par femme. En 2040, cette région fragile, en voie de désertification et aux ressources plus que limitées, devra ainsi faire vivre plus de 150 millions d’habitants !!!

Pour simplement stabiliser la pauvreté, il faudrait à l’Afrique une croissance de 7% par an durant plusieurs décennies. Or, avec une croissance moyenne de 2 à 3%, le continent s’appauvrit année après année.[…]
Les « Gilets jaunes », et plus généralement tous les contribuables, seront intéressés d’apprendre que, selon les chiffres officiels du gouvernement, en 2018, la France aura versé 10,45 milliards (mds) d’euros pour l’APD (Aide publique au développement), soit 2 mds de plus qu’en 2015, 75% de cette somme allant à l’Afrique. Si à ces cadeaux faits grâce aux impôts des Français, nous ajoutons les 2 mds liés à l’asile et à l’intégration, le milliard de l’aide aux mineurs isolés et divers autres postes associés à la gestion de l’immigration africaine, comme l’aide médicale, ce sont au minimum 15 mds (sans compter les dons faits par les régions), qui auront servi à contenter le Zambèze tout en rationnant la Corrèze…
A titre de comparaison pédagogique, le budget du ministère du Travail et de l’emploi est de 13,1 mds, celui du ministère des Solidarités et de la Santé de 9 mds, celui de la Sécurité de 13,64 mds et celui de la Justice de 7,29 mds…

Le blog de Bernard Lugan via fdesouche

mardi, 04 décembre 2018

Augmentation du budget consacré aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2018

Les Gilets jaunes qui « galèrent » pour boucler leur fin de mois vont apprécier : le budget de l’État pour l’intégration et l’accueil des réfugiés augmente de 200 millions d’euros. Selon le ministère de l’Intérieur, « il y a un redimensionnement de la politique d’intégration ».

D’après le quotidien 20 minutes, selon

« les documents du gouvernement publiés cette semaine, le budget, consacré à la mission «  immigration, asile et intégration », atteindra 1,58 milliard d’euros en 2019, soit 200 millions d’euros de plus qu’en 2018.

Une hausse de 14 %, alors que le budget général, lui, reste quasiment le même (+0,6 % en 2019). Une hausse qui devrait financer le doublement des cours de langue et les mesures d’insertion professionnelle. Le budget prévoit ainsi une hausse de plus de 40 % l’an prochain des crédits de l’intégration, à 395 millions d’euros, dont 52 millions exclusivement pour la formation linguistique.

Le gouvernement table sur « une stabilité de la demande d’asile »

A l’horizon 2020, l’État prévoit d’héberger 86 % des demandeurs d’asile, contre 50 % actuellement, selon ces documents. Pour cela, l’objectif « ambitieux » du gouvernement est d’augmenter le parc d’hébergement, qui devrait atteindre « plus de 97.000 places en 2019 », grâce, notamment, à la création de 1.000 places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) et de 3.500 en hébergement d’urgence.

Pour équilibrer ces prévisions, le gouvernement table, en 2019 mais aussi en 2020, sur « une stabilité de la demande d’asile » et « une baisse de 10 % des demandeurs Dublin », les réfugiés déjà enregistrés dans un autre pays européen.

Près de 100.000 personnes ont demandé l’asile en France en 2017

Le gouvernement entend également réduire les délais de demande d’asile à « soixante jours » à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides). Au total, 25 postes supplémentaires à l’Ofii (Office français d’immigration et d’intégration), 10 à l’Ofpra et 122 à la CNDA devraient être créés.

Concernant la lutte contre l’immigration irrégulière, les centres de rétention administrative bénéficieront d’un plan d’investissement de 50 millions d’euros avec « plus de 450 places » supplémentaires prévues en 2018 et 2019. L’ancien ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, avait annoncé 400 places supplémentaires mais « on a étendu le plan en cours d’année », indique-t-on à l’Intérieur. Environ 100.000 personnes ont demandé l’asile en France l’an dernier.”

Favoriser l’invasion migratoire, leur hébergement au détriment des SDF Français, alors que les Français prennent conscience qu’elle est une des causes de leurs difficultés économiques et de l’alourdissement des taxes, ne va pas calmer l’insurrection des Gilets jaunes. De quoi voir rouge !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

 

mercredi, 07 novembre 2018

Fusion des régions. Le budget de la région Occitanie a augmenté d’un milliard d’euros

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2018

Carole Delga

 
  4 novembre 2018

04/11/2018 – 18h05 Toulouse (Lengadoc-info.com) – Les budgets de fonctionnement des nouvelles régions ont explosé et l’Occitanie se retrouve aujourd’hui à la tête du classement des régions les plus coûteuses. Comment en est-on arrivé là alors même que l’objectif affiché de cette fusion des régions voulue par François Hollande était de réaliser des économies ?

Coût d’une séance plénière du conseil régional d’Occitanie : 137 170 € par jour

En fusionnant les anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon sans diminuer le nombre d’élus, la nouvelle région Occitanie s’est alors retrouvée avec un nombre d’élus si important (158) que ni l’hôtel de région à Toulouse ni celui à Montpellier n’ont la capacité d’accueillir les séances plénières du nouveau conseil régional.

Résultat des courses, ces séances ont donc lieu généralement au Parc des Expositions de Montpellier. Or cette délocalisation a un prix, et pas des moindres puisque, désormais, le coût d’une seule journée de séance plénière s’élève à 137 170 € !

Selon la présidente de la région, Carole Delga (PS), le coût des séances plénières s’élèverait à 400 000 € par an. Il faut dire qu’à chaque fois il faut tout déplacer : les élus, les dossiers, la climatisation, les moquettes, etc…

Des trajets qui ont explosé

Qui dit fusion de régions dit des régions plus grandes et donc des déplacements plus longs. Entre 2015 et 2016, le nombre de kilomètres effectués par les agents de la région Occitanie aurait augmenté de 78 % !

Même constat du côté des élus, qui pour certains doivent faire huit heures de route par jour pour seulement trois heures de réunion. Les frais de déplacement des élus s’élèverait à 646 000 euros en 2017.

Harmonisation des primes par le haut

Avant la fusion, les agents des régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ne possédaient pas le même système de prime. Il a donc fallu harmoniser ces primes avec la fusion, et les harmoniser, bien entendu, par le haut.

Résultat des courses, la région Occitanie a déboursé près de 5,5 millions d’euros par an.

Photos : Lengadoc Info

 

Source : lengadoc-info.com

jeudi, 27 septembre 2018

Matraquage fiscale en vue

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2018

POSTÉ LE 25 SEPTEMBRE , 2018

budget,matraquage fiscalLe gouvernement a présenté, lundi 24 septembre, son projet de budget pour 2019.

Comme toujours, on constate qu’il y a loin des paroles aux actes.

M. Macron s’était engagé à supprimer 120 000 postes de fonctionnaires, dont 50 000 dans la fonction publique d’État, au cours du quinquennat.

En 2018, la suppression s’est limitée à 1 600 postes. En 2019 – avant les débats parlementaires et les possibles reculades –, elle devrait se limiter à 4 500 postes. On progresse : à ce rythme-là, ce ne sont plus 75 années qui seront nécessaires au gouvernement pour tenir ses promesses, mais 39 !

Mais pourquoi l’exécutif s’en ferait-il ? Les médias continuent à vanter ses admirables talents de réformateur – quitte à froncer les sourcils devant la « radicalité » des réformes !

C’est ainsi que les gazettes nous ont appris que l’on pourrait compter sur une baisse de 6 milliards d’euros d’impôts en 2019. On se demande où elles ont trouvé cette baisse – qui, même si elle existait, serait dramatiquement insuffisante, puisqu’en 2018, les Français ont payé 290 milliards d’euros (sans compter les cotisations sociales).

À supposer donc que cette réduction d’impôts ait lieu (et, encore une fois, compte tenu des talents de communicant de M. Macron, j’en doute fort, car nous aurions sans doute entendu claironner que telle catégorie de contribuables allait merveilleusement vivre en 2019), elle ne représenterait que 2 % des prélèvements fiscaux et à peine 0,7 % des prélèvements obligatoires.

De la même façon, Édouard Philippe a tonné, cet été, contre l’habitude de voter des budgets en déficit. Vertueuse indignation, qui ne l’empêche pas de présenter un budget en déficit pour la 44e année consécutive !

Pour le moment, ce que les Français peuvent retenir du quinquennat Macron, c’est que la hausse fiscale y a été plus élevée – oui, c’est possible ! – que pendant le quinquennat Hollande et que rien n’a été fait pour réduire la dépense publique.

Ce sont donc les classes moyennes et ce qui reste des classes supérieures qui vont continuer à « trinquer ».

Le pouvoir d’achat des retraités va être attaqué en 2019, comme jamais il ne l’a encore été.

Mais, on trouve toujours de braves plumitifs pour s’extasier devant ce sémillant président qui « fait bouger la France ».

J’ose espérer que les Français, lessivés par la hausse de la CSG ou les taxes sur les carburants, ouvriront plus vite les yeux que les journalistes !

 

Source : les4verites