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jeudi, 15 février 2018

Étude exclusive : Baromètre 2016 de l’octroi de prénoms musulmans en France

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2018

Par  le 14/02/2018 

L’INSEE vient de publier comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.

L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2016 révèle :
• Un taux national dépassant désormais les 20%, soit 1 enfant sur 5,
• Pour rappel, ce taux était de 6,5% il y a 20 ans en 1997,

• Un taux dépassant les 32% en région parisienne, hors Paris intra-muros, soit près d’1 enfant sur 3,
• Seulement 10 départements au-dessus de la moyenne nationale de 20%, mais ces départements sont très fertiles, avec plus de 26% des naissances nationales :
o 6 départements d’Île de France (hors Paris et la Seine et Marne qui sont légèrement en dessous),
o Au Sud de la Loire : les Bouches du Rhône, le Rhône, le Vaucluse et le Gard.
• 28 départements sont en dessous des 5% d’octroi, mais sont peu fertiles, représentant à peine 8% des naissances nationales et voient par ailleurs une baisse sensible des naissances.

En termes de tendances, l’augmentation moyenne de ce taux d’octroi au niveau national est de +0,6 points par rapport à 2015. Une étude au niveau local présente quelques tendances particulières :
• Une accélération de l’octroi de prénoms musulmans :
o en région Parisienne (hors Paris), notamment dans le Val d’Oise et surtout le Val de Marne,
o dans certains départements ouvriers (Savoie, Aube, Seine Maritime…),
o dans les départements d’outre-mer (accélération deux fois supérieure à la moyenne nationale).
• Une régression de l’octroi de prénoms musulmans :
o à Paris intramuros, le coût de la vie en étant probablement la cause,
o dans de nombreux départements ruraux,
o en Corse, qui confirme une certains « résistance » depuis 10 ans.

Méthodologie

Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 33500 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.

Certains prénoms sont systématiquement attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans certains ».

D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme « prénoms mixtes ».

Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms mixtes » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.

Un biais tend par ailleurs à minimiser le comptage des prénoms musulmans, l’INSEE ne publiant pas pour des raisons de secret statistique de nombreux prénoms musulmans, car considérés comme « rares ».
Les officiers de l’état civil étant beaucoup plus regardants pour des prénoms traditionnels que pour les innombrables variations des prénoms étrangers. (Cf. exemple récent du tilde de Fanch…)

 

Source : fdesouche

vendredi, 20 janvier 2017

Grand Remplacement: de 1996 à 2016 explosion des prénoms musulmans dans les départements de France

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2017 

par 19 janvier 2017

Les deux cartes comparatives suivantes illustrent l’explosion du pourcentage des prénoms musulmans dans chaque département de France, entre 1996 et 2016, à partir des chiffres de l’INSEE.

Chaque début d’année, l’INSEE publie les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900. A partir des relevés des registres de l’État-civil, deux cartes des prénoms musulmans en France: 1996 et 2016, illustrent Le Grand Remplacement qui s’accélère depuis 20 ans. Les chiffres indiqués pour chaque département sont des pourcentages. Ainsi en Seine-St-Denis 42,9% des prénoms sont musulmans, en Val-de-Marne 26,3%, dans le Rhône 23,5%, dans les Bouches-du-Rhône 20%, dans l’Hérault 19,8% et à Paris même:17,1%, etc.

Le discours public vous annonce des pourcentages d’immigration « acceptables » chaque année. Cela semble constituer un petit pourcentage à l’échelle de l’année. Sauf que ce prétendu petit pourcentage est exponentiel et qu’il s’accumule d’année en année depuis 1946, avec une accélération spectaculaire à partir de 1999. Alors qu’avant 1946 la courbe était plate. Et tous ces immigrés ou issus d’immigrés, font beaucoup d’enfants et sont principalement en provenance de pays musulmans.

Avortement + Immigration = Grand remplacement

Les avortements, sont aujourd’hui encouragés, décriminalisés et au contraire présentés comme vertueux par la loi puisqu’ils sont associés à la lutte féministe.  Ces avortements qui sont mieux remboursés que les frais de naissance, touchent principalement la population autochtone qui est réticente à vivre assistée. L’avortement se substitue ainsi aux aides à la famille et permet d’escamoter un éventuel abandon d’enfant. L’avortement banalisé et encouragé est la base du grand projet de substitution de populations et de civilisation mis en place au niveau de l’ONU qui est la première à présenter chaque année un rapport des « populations de remplacement » en direction des pays de civilisation chrétienne qu’on regroupe sous le terme d’Occident. La Russie luttant au contraire contre ces procédés en encourageant les naissances est l’exception du monde chrétien. L’ONU feint de croire que la dépopulation des pays de civilisation chrétienne est spontanée, alors que la dépénalisation ainsi que les milliards distribués chaque année pour encourager les avortements, prouvent le contraire. Les lois socialistes de Marisol-Touraine, François Hollande et Manuel Valls, non seulement dépénalisent l’avortement et l’encouragent, mais en plus elles pénalisent toute lutte contre l’avortement.

Les cartes ci-dessus sont plus éloquentes que tous les discours.

Ci-dessous la méthodologie de cette étude, ainsi que quelques graphiques supplémentaires très éloquents:

Méthodologie :

Il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.

Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », pas évident de les identifier parmi les 31000 prénoms de la base de l’INSEE…

Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com,www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’originewww.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Certains prénoms, bien que très populaires dans la communauté musulmane, peuvent parfois être attribués à des enfants non musulmans. Il a été pris la décision de ne qualifier de prénom musulman que les prénoms qui n’induisentAUCUNE AMBIGUÏTÉ sur la question. Les chiffres présentés par la suite sont donc nettement modérés au regard de la réalité.

Exemples de prénoms de filles non catégorisés musulmans : Sarah, Ines, Lina, Sofia, Sabrina, Lydia, Selma, Camelia, Célia, Lisa, Myriam et autres Lilia, exemples chez les garçons : Adam, Aaron, Abel, Eden, Adem, Ismael, Elyes, Liam et de nombreux prénoms à origine hébraïque.

Cette ambigüité plus importante sur les prénoms de fille est vérifiée sur le fait que les garçons portant un « prénom musulman » représentent plus de 55% de l’échantillon, contre 51% pour les prénoms « non musulmans » (oui, 1% de spermatozoïdes sont sexistes). 

Étude au niveau national

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Jusqu’à la fin de la seconde guerre, c’est le calme plat… Moins de 1 naissance sur 1000 en France est concernée par l’attribution de prénoms musulmans… NB : l’Algérie, alors département français, n’est pas comptabilisée, idem pour les autres colonies.

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Phase 1 : Les choses commencent à changer à partir de 1946, première année ou plus de 1000 enfants nés en France porteront un prénom musulman.
1958, De Gaulle obtient les pleins pouvoirs constitutionnels, c’est également cette année-là que le taux de prénoms musulmans donnés aux enfants  français dépasse pour la première fois les 1%. Ce taux augmente de façon faible mais régulière pendant les 30 glorieuses, avec une croissance moyenne de 0,1 points chaque année.

Phase 2 : 1973, le « baby-boom » est déjà loin, la crise pétrolière éclate, le taux chômage bondit et Giscard arrive au pouvoir. Il décide de faciliter le regroupement familial. La loi Veil sur l’IVG est votée (pour rappel, l’Islam bannit plus que toute autre religion l’avortement). On constate une accélération sensible du taux de prénoms musulmans qui augmente de 0,3 points chaque année.

Non, c’est le christianisme qui bannit plus que toute autre religion et même plus que l’Islam, l’avortement, car l’Islam tolère l’avortement jusqu’à un mois. Ce qui n’est pas le cas du catholicisme. Mais les chrétiens, ou les anciennes populations chrétiennes, ne s’occupent plus des fondamentaux de  leur religion depuis que Vatican II et les papes conciliaires à leur suite, ne cessent d’édulcorer le message de l’Église. Tandis que les musulmans restent majoritairement fidèles aux fondamentaux de leur religion.

Phase 3 : Les années Mitterrand…  Contrairement aux idées reçues, ces 14 années ne vont pas constater une accélération du taux d’octroi de prénoms musulmans. Celui-ci, qui est de 6,5%, en 1983 décroit même légèrement jusqu’à la fin du second mandat. Ce taux ne sera ré-atteint qu’en 1998, la fameuse année « Black Blanc Beur ».

Phase 4 : De 1995 à aujourd’hui. La 2ème génération issue du regroupement familial des années 70 est en âge de procréer. Une nouvelle immigration, issue notamment d’Afrique sub-saharienne se développe. Cette communauté, culturellement fertile, conserve souvent un mode de vie traditionnel.

Ces 20 années présentent une croissance impressionnante du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France, aussi bien par son importance que par sa régularité avec 0,65 points chaque année.

 

Source : medias-presse.info via Fdesouche

samedi, 07 janvier 2017

Etude exclusive : le taux de prénoms musulmans département par département

Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2017

Par le 06/01/2017

Chaque début d’année, l’INSEE publie les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2540004#consulter

L’étude qui suit présente la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental.

Méthodologie :

Il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.

Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », pas évident de les identifier parmi les 31000 prénoms de la base de l’INSEE…

Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Certains prénoms, bien que très populaires dans la communauté musulmane, peuvent parfois être attribués à des enfants non musulmans. Il a été pris la décision de ne qualifier de prénom musulman que les prénoms qui n’induisent AUCUNE AMBIGUÏTE sur la question. Les chiffres présentés par la suite sont donc nettement modérés au regard de la réalité.

Exemples de prénoms de filles non catégorisés musulmans : Sarah, Ines, Lina, Sofia, Sabrina, Lydia, Selma, Camelia, Célia, Lisa, Myriam et autres Lilia, exemples chez les garçons : Adam, Aaron, Abel, Eden, Adem, Ismael, Elyes, Liam et de nombreux prénoms à origine hébraïque.

Cette ambigüité plus importante sur les prénoms de fille est vérifiée sur le fait que les garçons portant un « prénom musulman » représentent plus de 55% de l’échantillon, contre 51% pour les prénoms « non musulmans » (oui, 1% de spermatozoïdes sont sexistes).

NB : Une liste des 100 prénoms musulmans les plus populaires est présentée en fin de document.

Etude au niveau national

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Jusqu’à la fin de la seconde guerre, c’est le calme plat… Moins de 1 naissance sur 1000 en France est concernée par l’attribution de prénoms musulmans… NB : l’Algérie, alors département français, n’est pas comptabilisée, idem pour les autres colonies.

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Phase 1 : Les choses commencent à changer à partir de 1946, première année ou plus de 1000 enfants nés en France porteront un prénom musulman.
1958, De Gaulle obtient les pleins pouvoirs constitutionnels, c’est également cette année-là que le taux de prénoms musulmans donnés aux enfants  français dépasse pour la première fois les 1%. Ce taux augmente de façon faible mais régulière pendant les 30 glorieuses, avec une croissance moyenne de 0,1 points chaque année.

Phase 2 : 1973, le « baby-boom » est déjà loin, la crise pétrolière éclate, le taux chômage bondit et Giscard arrive au pouvoir. Il décide de faciliter le regroupement familial. La loi Veil sur l’IVG est votée (pour rappel, l’Islam bannit plus que toute autre religion l’avortement). On constate une accélération sensible du taux de prénoms musulmans qui augmente de 0,3 points chaque année.

Phase 3 : Les années Mitterrand…  Contrairement aux idées reçues, ces 14 années ne vont pas constater une accélération du taux d’octroi de prénoms musulmans. Celui-ci, qui est de 6,5%, en 1983 décroit même légèrement jusqu’à la fin du second mandat. Ce taux ne sera ré-atteint qu’en 1998, la fameuse année « Black Blanc Beur ».

Phase 4 : De 1995 à aujourd’hui. La 2ème génération issue du regroupement familial des 70’s est en âge de procréer. Une nouvelle immigration, issue notamment d’Afrique sub-saharienne se développe. Cette communauté, culturellement fertile, conserve souvent un mode de vie traditionnel.

Ces 20 années présentent une croissance impressionnante du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France, aussi bien par son importance que par sa régularité avec 0,65 points chaque année.

Etude au niveau départemental

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2 départements n’ont pas eu de naissances avec des prénoms musulmans en 2015 : Creuse et Lozère, ils étaient 7 en 1995 : Creuse et Lozère, mais aussi Manche, Nièvre, Gers, Cantal et Meuse…

Sur les 37 départements ayant enregistré  plus de 5000 naissances en 2015, 9 présentent un taux de prénom musulman inférieur à 10% :

56 Morbihan : 4,4%, 29 Finistère : 5,4%, 14 Calvados : 6,0%, 64 Pyrénées Orientales : 6,2%, 62 Pas de Calais : 6,8%, 51 Marne : 7,2%, 49 Maine-et-Loire : 8,0%, 35 Ile et Vilaine : 8,0%, 44 Loire Atlantique : 8,3%

Sur les 16 départements dont le taux de prénoms musulmans dépassait les 5% en 1995, 2 voient une croissance du taux sur 20 ans inférieure à 10 points:

  • Paris, qui passe de 9,4% à 17,1% (+7,7 pts)
  • Les 2 départements corses, passant de 8,5% à 10,8% (+2,3 pts)

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Annexe :

Exemples de prénoms musulmans retenus pour l’étude (principaux effectifs en nombre de naissances 2015):

MOHAMED, YOUNES, IMRAN, RAYAN, ASSIA, INAYA, MANEL, AYA, MEHDI, YASMINE, IBRAHIM, ISSA, YOUSSEF, NAEL, AMINE, AYOUB, NOUR, NAHIL, AMIR, SOAN, WASSIM, BILAL, SOHAN, ASMA, TESSA, MARYAM, ALI, NASSIM, KENZA, ANAS, FARES, HAMZA, YASSINE, ZAKARIA, SANA, AYDEN, AYMEN, AHMED, AMINA, LEILA, MELLINA, NORA, IZIA, SAFA, MERYEM, HANNA, YUNA, KAIS, MOHAMMED, IMRANE, WAEL, IDRISS, NEYLA, RAYANE, FATIMA, SOFIANE, TASNIM, NAHEL, AMIRA, TESS, ANIS, MARWA, DJIBRIL, NAWEL, MOUSSA, YACINE, KHADIJA, MERIEM, SAMI, ISMAIL, HANAE, MARIAM, ALIYAH, SOUMAYA, CHAHINE, ISRA, SHANA, HIND, OMAR, NORAH, HAROUN, MAISSA, SOULEYMANE, ABDALLAH, HAYDEN, MALAK, ELIF, ISSAM, WALID, NAYLA, HANA, SANAA, ANISSA, HAFSA, FATOUMATA, EMNA, AISHA, ISHAQ

(merci à Jean Robert pour son étude)

 

Source : fdesouche