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lundi, 05 février 2018

Exil doré : Carles Puigdemont s’installe dans une luxueuse villa de 550 m2

Publié par Guy Jovelin le 05 février 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le leader indépendantiste catalan Carles Puigdemont poursuit son exil en Belgique. Ne parvenant pas à trouver le moyen d’être réinvesti à la présidence de la Catalogne, il vient de s’installer dans une luxueuse villa de 550 m2 à Waterloo, commune huppée du Brabant wallon.

Curieusement, personne ne cherche à répondre à cette question : qui paye ce très confortable exil ?



dimanche, 05 novembre 2017

Catalogne : le retour du réel

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2017

Rédigé par notre équipe le 04 novembre 2017.

 

Après avoir bafoué le droit et la morale, les (ir)responsables politiques catalans crient plus que jamais à la dictature. Carles Puigdemont, principal responsable du chaos actuel, appelle à la libération de huit anciens membres du gouvernement catalan placés en détention provisoire. Une nouvelle exigence pour celui qui a pris la poudre d’escampette après avoir placé la Catalogne dans l’impasse d’une pseudo indépendance.

Les événements de Catalogne sont peut-être un exemple des effets d’une baisse du niveau général sciemment mise en place par nos élites. A évacuer la culture et l’esprit civique de l’école, on en arrive à des déclarations ubuesques soutenues par plusieurs centaines de milliers de personnes. Car pour Carles Puigdemont et ses partisans (qui ne représentent même pas la majorité des Catalans), la Catalogne et ses habitants sont opprimés par le pouvoir centrale. Madrid serait une sorte de Franco version new look qui n’aspire qu’à la répression et au malheur de tous ceux qui ont le malheur d’être originaires de Catalogne.

Avec de tels arguments (qui fonctionnent sur certains esprits), il n’est pas très difficile de mesurer le degré d’illégalité qui prévaut dans les actions du gouvernement catalan désormais destitué. Mis au pied du mur par tout un pays, Carles Puigdemont a été obligé de déclarer l’indépendance pour ne pas perdre une seconde fois la face vis-à-vis de ses supporters (ceux-là mêmes qui confondent Rajoy et Franco). Il a gardé la sympathie des catalanistes, mais a sombré dans l’illégalité en déclarant l’indépendance. La tenue d’un pseudo referendum était certes annonciatrice d’une tragi-comédie pour Puigdemont, mais il est toujours curieux de voir un homme s’entêter dans le vide.

Le droit : un jouet pour les indépendantistes

De manière paradoxale, ce dernier a toujours mis le droit en avant sans se soucier une seconde du caractère profondément anti-démocratique et anticonstitutionnel de ses actions. Mais la réalité vient finalement frapper à sa porte. Puigdemont n’a toutefois pas attendu le passage de la justice pour fuir comme un voleur de poule et trouver refuge à Bruxelles… Si l’ancien homme fort de la Catalogne était si sûr de son fait, pourquoi est-il donc parti de sa chère « patrie » enfin devenue indépendante ? La réponse est toute trouvée : la justice espagnole est « politisée »… la preuve, huit membre de son gouvernement sont aujourd’hui en détention provisoire et font l’objet d’une enquête pour « rébellion, sédition et détournement de fonds publics ». Des « prisonniers politiques » clame-t-on du côté des indépendantistes.

Un neuvième devrait normalement les rejoindre en la personne de Carles Puigdemont dont les cours de droit se sont visiblement conclus dans l’antichambre de la salle de classe. Un mandat d’arrêt européen a été émis en bonne et due forme contre lui et si le droit est respecté il devrait être envoyé à Madrid devant les juges. Téméraire mais pas courageux, il se planque en Belgique et pérore : « Je ne vais pas fuir la justice, mais je vais répondre à l’appel de la vraie justice, la justice belge ». Pourquoi réponde à la justice belge s’il n’a rien à se reprocher ?

Puigdemont a-t-il parié sur la faiblesse chronique des Etats qui depuis deux décennies ne sont plus que de vulgaires hombres ? La réaction de l’Etat espagnol est mesurée, mais ferme. Assez pour l’envoyer en prison pendant peut-être 25 ans. Mais dans tous les pays, les quelques esprits indépendantistes (en commençant par l’Ecosse) apprécient cet exemple catalan. Ils savent que le moment n’est pas encore venu, mais ce test grandeur nature n’est que le premier d’une longue série qui doit aboutir à la fin programmé d’un Etat-nation désormais associé à tous les maux pavloviens de certains esprits étriqués. Puigdemont se rêvait en père de la nation catalane, il n’est qu’un vulgaire exilé volontaire à Bruxelles… Notre époque accouche de sacrés héros !

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 01 novembre 2017

Ignace – Le dessin du jour

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

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Source : medias-presse.info