jeudi, 14 avril 2016
Réforme de l'orthographe
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dimanche, 07 février 2016
La réforme de l’orthographe en une image
Publié par Guy Jovelin le 7 février 2016
5 février par Pierrot
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Par la langue aussi, ils nivellent par le bas !
Publié par Guy Jovelin le 7 février 2016
6 février 2016 par Pierrot
Le ministre de l’« Éducation Nationale », infatigable quand il s’agit de progressisme, a décidé de procéder à une réforme de l’orthographe.
On nous objectera que ces modifications concernant quelque 2400 mots sont sans importance, qu’un « cout » vaut bien un « coût » et qu’un oignon sans « i » fera toujours pleurer dans les chaumières. Et, nous assène-t-on, cette riche idée avait été validée à l’unanimité par l’Académie française en 1990 et n’attendait que sa mise à exécution.
Sauf qu’une fois de plus, c’est la langue française dans sa richesse et sa complexité qui passe devant le peloton.
Les Français ne savent plus écrire ni parler ? Changeons les règles et nos enfants auront de meilleures notes !
Loin de nous, nationalistes, l’idée de refuser par principe toute évolution de la langue ; mais les motifs qui sont derrière ces simplifications sont trop évidents pour que nous acceptions ces-dernières sans broncher. Oui, nous aimons l’accent circonflexe qu’a connu un Louis XIII, nous tenons à l’accord traditionnel du participe passé, fût-il suivi d’un verbe à l’infinitif !
Ces nuances et ces particularités de notre langue font son charme et alimentent l’attachement particulier qu’un Français éprouve pour elle au fur et à mesure qu’il en maîtrise les contours.
Notre (franc-) parler fait partie de notre héritage et nous refusons ces aménagements artificiels qui n’ont pour but que d’adapter la langue à la médiocrité dont est par ailleurs responsable le système scolaire à l’origine de ces réformes.
Plutôt que des simplifications « orthographiquement correctes », nous attendons d’un État réellement français qu’il instruise efficacement comme ce fut le cas jadis, et qu’il sensibilise les enfants à la beauté et à l’amour de leur culture, même s’il faut pour cela s’arracher quelques cheveux sur les bancs de l’école.
À vos plumes, et résistons !
Le Conseil politique du RF
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samedi, 06 février 2016
Réforme de l’orthographe : la « décomposition française » ne fait pas relâche
Publié par Guy Jovelin le 6 février 2016
Belkacem avec son sourire de gamine fourbe vient nous dire qu’elle n’est en rien responsable de la réapparition soudaine d’une réforme enterrée depuis 1990, celle d’une supposée simplification de l’orthographe, pas supplémentaire vers la disparition de notre langue au profit du déchet linguistique que crachent les bouches (d’égout) d’une certaine population.
A l’époque, ce chantier orthographique avait été voulu par Michel Rocard. Pensez, il avait terminé de brader l’avenir de la Nouvelle-Calédonie et s’ennuyait tellement à Matignon, qu’il fit mettre en route la suppression de l’accent circonflexe, du trait d’union et du «i» d’oignon, et le remplacement du «ph» de nénuphar par un «f».
Devant la résurrection de la momie (je ne parle pas de Rocard, mais de la réforme), Françoise Grossetête, députée européenne, déclare: «Le gouvernement nous encourage à la médiocrité au lieu de valoriser la beauté de la langue française» ; Jean d’Ormesson de l’Académie française susurre qu’il «refuse absolument de parler d’accent circonflexe et de virgule à un moment où les écoliers n’apprennent plus à lire et à écrire». Et de déplorer le moment choisi pour relancer ce débat.
Est-il si mauvais ce moment?
Il permet de déchaîner les passions pendant que la dissémination des migrants sur le territoire se poursuit en silence, pendant que les défenseurs de la nation et des frontières sont la cible de la justice et des préfets, pendant que les coupables sont condamnés à des peines dérisoires comme ce musulman qui a tenté d’entrer à Disney Marne-la-Vallée avec deux pistolets (six mois chez lui avec un bracelet électronique !).
En réalité, le gouvernement, sous couvert d’une onction académique vieille d’un quart de siècle, révise la langue française. Il espère en changeant l’orthographe, en supprimant des mots, en judiciarisant d’autres mots, changer les êtres et surtout les manipuler davantage. Orwell encore et toujours.
Taubira partie, reste Belkacem.
C’est la même haine de la France profonde qui est à l’œuvre chez l’indépendantiste guyanaise et la sujette du roi du Maroc. Le même désir de faire plier notre pays, de transformer son histoire en champ de ruines, de soumettre les Français de souche.
Quand on utilise le Conseil supérieur des programmes pour imposer cette réforme et quand le Bulletin officiel de l’Éducation nationale en fait sa nouvelle référence, il faut avoir le culot de Belkacem pour prétendre n’être pour rien dans le chambardement. Et l’adolescente rigole. Heureuse de son coup.
Ce n’est pas son premier: réforme des collèges avec anéantissement des classes européennes jugées trop élitistes, suppression de fait du grec et du latin trop antiques, décapitation des classes bilangues (finalement maintenues en boboland, je veux dire Paris); refonte des programmes avec une histoire de France qui l’est de moins en moins et se métamorphose en histoire de l’islam pour idiots utiles; tentative de supprimer les bourses au mérite pour les étudiants modestes (elles sont, pour l’instant divisées, par deux); baccalauréat que l’on peut passer en cinq ans en conservant pour l’année suivante ses meilleures notes (une façon de dévaloriser encore un peu plus cet examen).
Le bilan de Belkacem est donc loin d’être nul dans la volonté de déconstruction.
Dans l’essai de Malika Sorel-Sutter, Décomposition française, on lit que Belkacem fait partie du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger, «instance consultative auprès de Notre Majesté» (le roi du Maroc) et ayant pour objet le «suivi et l’évaluation des politiques publiques du Royaume envers ses ressortissants à l’étranger». Un certain nombre de personnes marocaines connues en France y ont été nommées par Mohammed VI parmi lesquelles Najat Belkacem. C’est sous ce nom qu’elle apparaît dans le «Groupe de travail « Approche, genre et nouvelles générations »». Le nom de Vallaud ne figure pas car selon le code de la famille marocain, «la Marocaine musulmane n’est autorisée à épouser qu’un musulman.»
Dans le décret créant le Conseil est précisé que «les personnalités marocaines connues» ont été choisies pour «leur attachement aux constantes et au valeur sacrées de la Nation marocaine, à son identité homogène et riche de ses multiples affluents, ainsi que parmi les forces vives reconnues pour leur compétence, leur grande expérience, leur intégrité, leur crédibilité et leurs remarquables contributions».
Parmi les attributions de ce conseil, citons celles «d’émettre des avis sur les principales orientations des politiques publiques permettant d’assurer aux Marocains résidant à l’étranger le maintien de liens étroits avec leur identité marocaine et notamment celles relatives à l’enseignement, l’éducation religieuse et l’action culturelle.»
Concernant le statut de ses membres, Malika Sorel écrit qu’il est spécifié qu’ils «doivent assumer les fonctions qui leur sont dévolues avec fidélité, impartialité et dévouement pour la défense des intérêts suprêmes de la Nation marocaine».
Il ne s’agit donc pas d’une responsabilité banale. Aujourd’hui en tant que ministre de l’Education nationale de la France (et non du Maroc), Belkacem fait une politique éducative très… musulmane et marocaine. C’est son devoir de sujette de Mohammed VI. Comme c’était son devoir de ne pas interrompre sur le plateau de Canal+, Idriss Sihamedi, le dirigeant de l’association «humanitaire» islamique Barakacity.
Et chaque mercredi, Belkacem s’assoit à la table du Conseil des ministres.
En espionne venue du Maghreb?
En agent d’influence du Maroc ?
A part le fait qu’elle ne s’appelle pas Claudine Dupont, qu’est-ce qui justifie sa présence dans le plus haut cercle de commandement de notre pays?
Les manigances immigrationnistes de Terra Nova?
La haine des socialistes et de leurs satellites pour la société française?
Marcus Graven
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