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dimanche, 25 janvier 2015

Les écoles transformées en temples laïcistes de la religion républicaine

 

Publié par Guy Jovelin

Après cinquante ans d’échecs, cinquante ans de fuite en avant, cinquante ans où le marxisme culturel a conduit à une baisse du niveau général, l’Éducation, plus antinationale que jamais, va passer ses prochains mois un nouveau cap vers une véritable dictature laïque et républicaine, ce dont ne se cache pas Najat Belkacem, pendant que Manuel Valls instrumentalise la peur pour empêcher toute réflexion. La transformation des écoles en synagogues républicaines est la victoire posthume de Vincent Peillon, évincé l’année dernière du ministère, mais dont les idées triomphent aujourd’hui.

« Vivre dans le danger »

« Votre génération doit s’habituer à vivre avec ce danger, et pendant un certain nombre d’années. Moi je ne veux rien cacher de cette menace, elle existe et les enseignants doivent le savoir » a déclaré Manuel Valls en visite dans un établissement scolaire hier, oubliant de préciser que la République qu’il défend et qu’il incarne est totalement responsable de la situation.

Il en a profité pour rappeler le glissement de leur dictature soft vers un régime officiellement dictatorial en réaffirmant que toutes les idées contraires à leur République étaient des crimes :

« En France, on peut se moquer de toutes les religions, comme le fait Charlie hebdo. Mais quelqu’un comme Dieudonné ne fait pas de l’humour, il n’exprime pas une opinion. L’antisémitisme, l’apologie du terrorisme, le négationnisme, ce ne sont pas des opinions, ce sont des délits. L’école doit vous apprendre à faire ces différences » a prétendu le chef du gouvernement d’occupation. Comme en Russie stalinienne, certaines opinions sont criminalisées, et les enfants seront programmés dès l’école à détecter les opinions dissidentes.

« Ces circonstances [l’élimination de la rédaction de Charlie hebdo] exceptionnelles appellent des réponses nouvelles [sic]. Il faut qu’il y ait un avant et un après » avait annoncé Najat Belkacem. Cet « après », c’est la tentative de ressusciter les obsessions issues de la Révolution d’une religion maçonnique, laïque et républicaine, aujourd’hui mâtinée d’antiracisme.

Une école pour former des croisés de la laïcité

Profitant de la sidération mentale créée après l’incident de Charlie hebdo, le gouvernement d’occupation a multiplié les annonces ces derniers jours dans tous les domaines : syndicalisme, économie, défense, liberté publique, etc. Rares sont les secteurs qui échappent à la « vallsisation ». Concernant l’éducation, d’innombrables mesures ont été dévoilées par Manuel Valls mais également par la Marocaine Najat Belkacem. Tous deux ont fait comme si la politique d’invasion n’était pas la cause directe et essentielle de la situation et comme si réformer – ou prétendre réformer – l’éducation nationale suffirait à sauver leur République.

Les mesures, dont beaucoup n’auraient pas été reniées en 1793 par les plus excités des adorateurs de l’Être suprême, seront mises en place dès la rentrée 2015, sans la moindre concertation ni avec les syndicats d’enseignants, ni avec les parents d’élèves. Les jeunes Français seront d’abord soumis à 300 heures sur toute leur scolarité d’un enseignement dit « moral et civique », des mots qui ne peuvent qu’effrayer quand le parti dominant en France est dirigé par un corrompu, que des gens comme Serge Bloch, Jérôme Lavrilleux ou Patrick Balkany siègent dans les parlements et qu’au gouvernement ces deux dernières années, au moins cinq concussionnaires ont été démasqués. Concernant la morale, celle d’un président qui trompe sa femme au mépris de la sécurité de la France et en utilisant les moyens de l’État pour commettre l’adultère républicain, qui prétend avoir pour ennemi la finance et ne cesse de ramper devant elle se passe de commentaire. La « grande mobilisation de l’école pour les valeurs de la République » s’annonce mal.

La liberté d’expression sera encore réduite à l’école, et les enseignants se transformeront en kapos des valeurs de leur République. Toute atteinte aux dogmes républicains fera l’objet d’un signalement systématique. Pour s’assurer de la bonne coopération des élèves, ceux-ci seront soumis dès leur inscription dans un établissement aux règles de civilité et de politesse et devront signer un règlement intérieur et une « Charte de la laïcité ».

De nombreuses peines pour les récalcitrants sont déjà prévues. Celles-ci ne concerneront évidemment jamais les Afro-Maghrébins : dans les sanctuaires des zones ethniquement perdues, aucun professeur ni proviseur n’osera jamais dénoncer les apprentis terroristes, comme ils n’osent aujourd’hui pas le faire quand ils remettent en cause l’existence de « l'holocauste ». À l’inverse, tous les jeunes Français qui mettront en cause leur République, ses antivaleurs, ses attaques contre la France, seront poursuivis sans pitié, comme c’est déjà souvent le cas dans des établissements où porter certaines marques de vêtement peut suffire à être exclu.

Désormais tous les futurs professeurs seront questionnés sur leur adhésion pleine et entière aux dogmes républicains. Leur conformité avec les principes maçonniques sera plus importante que leur compétence dans leur matière d’enseignement, et que leur volonté de transmettre le savoir. Pire encore : 1.000 formateurs seront opérationnels dès la rentrée 2015 pour assurer la « formation continue » auprès de tous les enseignants, y compris en exercice pour les « guider » sur la voie de la bonne compréhension de la« laïcité » et de la « morale ».

Il faut être Manuel Valls pour croire qu’une simple manipulation médiatico-politique pourra suffire à modifier la réalité d’établissements scolaires où se vend de la drogue, où d’innombrables agressions sexuelles ont lieu, sans parler de la peur quotidienne de milliers de jeunes Français rackettés, humiliés, agressés par les occupants. La nouvelle « religion laïque » ne s’imposera ni aux racailles façonnées par le rap et la haine des Blancs, ni à celles déjà envoûtées par l’islamisme conquérant. Leurs héros ne seront jamais Robespierre et Danton ; ils resteront Merah et Kouachi. Lire la suite