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jeudi, 19 avril 2018

Suède : les violences contre les professeurs continuent d’augmenter, de plus en plus d’écoles embauchent des agents de sécurité

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2018

Par  le 18/04/2018 

La violence continue d’augmenter à l’école, selon l’Autorité de l’environnement de travail. De nombreux enseignants de Malmö ont été victimes de violences et de menaces au cours de l’année écoulée, selon une enquête menée par l’Association nationale des enseignants.

« C’est de l’abus constant, une violence mentale et physique. J’ai un collègue qui a tenté de séparer une bagarre entre élèves, il a été blessé au genou et doit maintenant vivre avec des injections de cortisone, dit Sabina Bellanius qui est professeur dans une école à Malmö.

L’autorité chargée de l’environnement de travail a reçu environ 450 notifications de violences sur des professeurs l’année dernière.

Les problèmes de menace et de violence conduisent au fait que les enseignants tombent souvent malades, selon les fédérations d’enseignants.

(…) SVT.se

Plus de 70% des municipalités suédoises ont renforcé la sécurité dans les écoles primaires et secondaires, selon une étude.

Entre autres choses, plusieurs écoles ont commencé à embaucher des agents de sécurité.

Parmi les municipalités et les groupes scolaires privés qui ont répondu au questionnaire, sept sur dix affirment que des mesures ont été prises pour rendre les écoles plus sûres pour les élèves et le personnel.

Cela comprend des actions telles que le verrouillage par code, la surveillance par caméra, l’enregistrement des visiteurs et des rondes par des gardes de sécurité.

Près de la moitié des municipalités et des établissements scolaires prévoient également d’accroître la sécurité.

(…) Expressen.se via fdesouche

mercredi, 27 décembre 2017

Entre chants militaires et célébration des aïeux tombés au champ d’honneur, comment Poutine a mis la jeunesse russe au garde à vous

Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2017

Par  le 26/12/2017 

REPORTAGE – Dans un nombre croissant d’écoles, les jeunes Russes sont éduqués de façon à devenir de fervents patriotes, entre chants militaires et célébration des aïeux tombés au champ d’honneur.

Sur les programmes présentés aux parents, la soirée de concert était consacrée aux 20 ans du Cercle musical de Ramenskoe, une école de musique de la banlieue de Moscou, comme il en existe des milliers dans le pays. La tête coiffée d’un anneau de fleurs, quatre fillettes de 7 à 12 ans montent sur scène et entonnent Maman Russie maman.

«Qu’est-ce qui fait pleurer les icônes saintes? Ce sont les dragons de l’Amérique et de l’Europe qui répandent les larmes, en Serbie, en Syrie et dans le Donbass. Est-ce qu’à Bruxelles, on ne va pas à l’école? N’avez-vous aucune pitié pour votre peuple? Vous n’obtiendrez jamais la victoire sur le champ de bataille russe», chantent les têtes blondes, en ce 7 décembre, alors que, derrière elles, défilent des images d’un clip patriotique: des avions de chasse russes zèbrent le ciel aux couleurs du drapeau tricolore, le ministre de la Défense, Sergueï Choïgou, se signe, Vladimir Poutine inspecte une parade militaire sur la place Rouge, le bâtiment du Reich flambe…

Dans la salle, les parents battent des mains et épousent le rythme. Les enfants sont aux anges. Personne, ou presque, en Russie ne songe à troubler ou mettre en cause ces événements familiaux ordinaires. Mieux, les députés de la Douma se bousculent actuellement pour ajouter leur signature à un projet de loi relatif aux «principes de la politique d’État dans la sphère de l’éducation patriotique». L’un de ses auteurs, Anatoly Vyborni, préconise notamment d’inculquer à la jeunesse «la fierté des exploits héroïques de ses pères et de ses grands-pères».

C’est la première fois qu’un «État réglemente la manière dont il faut aimer la patrie, observe, dubitative, la politologue Valeria Kassamara. Depuis 2016, un budget de 1,66 milliard de roubles (environ 24 millions d’euros) y est déjà consacré, courant jusqu’en 2020. Dans ce texte qui sera bientôt soumis au Parlement, recommandation est faite de «former positivement les citoyens à la défense de la nation et au service militaire».

Il est rare que cette belle unanimité soit brisée. Un jour, Irina Katine-Iartseva, mère de famille et psychologue, s’est étonnée d’apprendre de la bouche de son fils Maxim, 9 ans, qu’il venait de poser en uniforme militaire pour la photo de classe, avec une arme dans les mains. Outrée, elle a appelé la directrice, Irina Grigorievna. Agacée par sa remarque, cette dernière lui a reproché de torpiller son projet et de prendre en otage les parents favorables à cette expérimentation.

 

«J’ai été horrifiée de voir que ces derniers étaient partisans de la photo et surtout que mon fils lui-même était ravi. J’ai dû passer un temps infini à lui expliquer les dessous de ce carnaval malsain», raconte Irina, après avoir reçu quantité de messages désobligeants sur Facebook. «Vous pensez qu’il est mieux pour votre fils de se transformer en fille plutôt que d’aller à l’armée. Et s’il faut un jour défendre la patrie, vous vous cacherez dans la cave?», lui écrit une mère de famille sur le réseau social. Interrogée par Le Figaro, la directrice de l’école nous a reproché de vouloir «créer un scandale». «Vous ne trouvez pas normal de célébrer les héros de la patrie?» a-t-elle lancé avant de raccrocher.

Selon Andreï Demidov, responsable du syndicat enseignant Outchitel, à Saint-Pétersbourg, la mobilisation scolaire patriotique est orchestrée pour moitié par le pouvoir russe, notamment à travers la Société d’histoire militaire, et pour moitié par zèle, à l’initiative des directeurs d’école, des enseignants et des fonctionnaires locaux.

«Lorsqu’ils sont en petit comité, les parents reconnaissent que l’école devrait se consacrer davantage à l’apprentissage de la science qu’à la répétition des chansons militaires. Mais au bout du compte, ils choisissent de suivre le mouvement et de ne pas entrer en conflit avec l’État», constate le syndicaliste. D’autant plus que leurs enfants adorent. Ces derniers «manifestent beaucoup d’intérêt pour le service militaire et aimeraient étudier dans les forces armées. C’est très prestigieux», se félicite Pavel Pankine, directeur et professeur d’histoire à l’école moscovite No 1741.

La date favorite des bambins est le 9 mai, journée de célébration de la «grande victoire patriotique», elle-même précédée d’une compétition sportive organisée dans les écoles qui fait office d’entraînement militaire. Ce jour-là, comme au temps des komsomols, les écoles participent à la «Marche des immortels», un long cortège où chacun brandit le portrait d’un aïeul ayant sacrifié sa vie face à l’envahisseur nazi. Parmi les participants nouvellement enregistrés à cette parade, un certain Vladimir Poutine, chef des armées, surnommé Oncle Vladimir dans un clip musical tourné en son honneur par une députée russe dans lequel figurent des enfants habillés en treillis. Ses messages ont été pour la première fois diffusés dans les lycées lors de la dernière rentrée scolaire.

Pour Tamara Eidelmann, institutrice à l’école moscovite No 1765, «ces marches militaires n’ont aucun lien avec le patriotisme». Dans son établissement, cette enseignante, qui se dit «atypique», s’efforce avec ses collègues «d’échapper» aux visites des parachutistes et autres «concours idiots». Elle s’enorgueillit «d’éduquer des gens normaux» et non pas de «préparer des futurs combattants». Mais face à «la pression bureaucratique» qui ne cesse de s’accroître, elle craint de ne pouvoir résister à la vague patriotique. Dans les autres écoles, observe-t-elle, «la peur» de résister s’est imposée et ses collègues «préfèrent courber la tête».

Le Figaro via fdesouche

samedi, 09 avril 2016

Écoles et maisons secondaires pour loger les migrants

Publié par Guy Jovelin le 9 avril 2016

2015-04-02 18.53.13.jpgC’est l’idée folle qui a germé dans les esprits déréglés des politiciens au pouvoir en Italie. Face à l’arrivée massive d’immigrés clandestins, le gouvernement italien est à la recherche désespérée de logements pour les accueillir.

Migrants économiques, extra-communautaires, les centres d’accueil de la péninsule en sont saturés et débordent. La crise migratoire est destinée à s’aggraver avec l’arrivée de la belle saison qui, comme on peut s’en douter, favorise les voyages de l’espérance !

270 000 migrants, et c’est une estimation au plus bas, sont attendus. Selon une indiscrétion recueillie par Affaritaliani.it, le ministère de l’Intérieur italien et le président du Conseil sont entrain d’élaborer une solution autre que les tentes et les casernes : réquisitionner les maisons secondaires vides pour une période limitée à deux mois en échange d’une indemnisation payée avec les fonds de l’Union européenne ou l’utilisation des écoles fermées pendant la période estivale. Toutes deux des mesures extrêmes et impopulaires. Le recours à des édifices publics vides est aussi à l’étude.

Dans certaines localités italiennes ces mesures ont déjà été adoptées de façon officieuse.  Malgré la colère des habitants. Colère que les bonnes consciences n’entendent pas et ne veulent pas voir !

Francesca de Villasmundo



Source : http://www.medias-presse.info/

dimanche, 25 janvier 2015

Les écoles transformées en temples laïcistes de la religion républicaine

 

Publié par Guy Jovelin

Après cinquante ans d’échecs, cinquante ans de fuite en avant, cinquante ans où le marxisme culturel a conduit à une baisse du niveau général, l’Éducation, plus antinationale que jamais, va passer ses prochains mois un nouveau cap vers une véritable dictature laïque et républicaine, ce dont ne se cache pas Najat Belkacem, pendant que Manuel Valls instrumentalise la peur pour empêcher toute réflexion. La transformation des écoles en synagogues républicaines est la victoire posthume de Vincent Peillon, évincé l’année dernière du ministère, mais dont les idées triomphent aujourd’hui.

« Vivre dans le danger »

« Votre génération doit s’habituer à vivre avec ce danger, et pendant un certain nombre d’années. Moi je ne veux rien cacher de cette menace, elle existe et les enseignants doivent le savoir » a déclaré Manuel Valls en visite dans un établissement scolaire hier, oubliant de préciser que la République qu’il défend et qu’il incarne est totalement responsable de la situation.

Il en a profité pour rappeler le glissement de leur dictature soft vers un régime officiellement dictatorial en réaffirmant que toutes les idées contraires à leur République étaient des crimes :

« En France, on peut se moquer de toutes les religions, comme le fait Charlie hebdo. Mais quelqu’un comme Dieudonné ne fait pas de l’humour, il n’exprime pas une opinion. L’antisémitisme, l’apologie du terrorisme, le négationnisme, ce ne sont pas des opinions, ce sont des délits. L’école doit vous apprendre à faire ces différences » a prétendu le chef du gouvernement d’occupation. Comme en Russie stalinienne, certaines opinions sont criminalisées, et les enfants seront programmés dès l’école à détecter les opinions dissidentes.

« Ces circonstances [l’élimination de la rédaction de Charlie hebdo] exceptionnelles appellent des réponses nouvelles [sic]. Il faut qu’il y ait un avant et un après » avait annoncé Najat Belkacem. Cet « après », c’est la tentative de ressusciter les obsessions issues de la Révolution d’une religion maçonnique, laïque et républicaine, aujourd’hui mâtinée d’antiracisme.

Une école pour former des croisés de la laïcité

Profitant de la sidération mentale créée après l’incident de Charlie hebdo, le gouvernement d’occupation a multiplié les annonces ces derniers jours dans tous les domaines : syndicalisme, économie, défense, liberté publique, etc. Rares sont les secteurs qui échappent à la « vallsisation ». Concernant l’éducation, d’innombrables mesures ont été dévoilées par Manuel Valls mais également par la Marocaine Najat Belkacem. Tous deux ont fait comme si la politique d’invasion n’était pas la cause directe et essentielle de la situation et comme si réformer – ou prétendre réformer – l’éducation nationale suffirait à sauver leur République.

Les mesures, dont beaucoup n’auraient pas été reniées en 1793 par les plus excités des adorateurs de l’Être suprême, seront mises en place dès la rentrée 2015, sans la moindre concertation ni avec les syndicats d’enseignants, ni avec les parents d’élèves. Les jeunes Français seront d’abord soumis à 300 heures sur toute leur scolarité d’un enseignement dit « moral et civique », des mots qui ne peuvent qu’effrayer quand le parti dominant en France est dirigé par un corrompu, que des gens comme Serge Bloch, Jérôme Lavrilleux ou Patrick Balkany siègent dans les parlements et qu’au gouvernement ces deux dernières années, au moins cinq concussionnaires ont été démasqués. Concernant la morale, celle d’un président qui trompe sa femme au mépris de la sécurité de la France et en utilisant les moyens de l’État pour commettre l’adultère républicain, qui prétend avoir pour ennemi la finance et ne cesse de ramper devant elle se passe de commentaire. La « grande mobilisation de l’école pour les valeurs de la République » s’annonce mal.

La liberté d’expression sera encore réduite à l’école, et les enseignants se transformeront en kapos des valeurs de leur République. Toute atteinte aux dogmes républicains fera l’objet d’un signalement systématique. Pour s’assurer de la bonne coopération des élèves, ceux-ci seront soumis dès leur inscription dans un établissement aux règles de civilité et de politesse et devront signer un règlement intérieur et une « Charte de la laïcité ».

De nombreuses peines pour les récalcitrants sont déjà prévues. Celles-ci ne concerneront évidemment jamais les Afro-Maghrébins : dans les sanctuaires des zones ethniquement perdues, aucun professeur ni proviseur n’osera jamais dénoncer les apprentis terroristes, comme ils n’osent aujourd’hui pas le faire quand ils remettent en cause l’existence de « l'holocauste ». À l’inverse, tous les jeunes Français qui mettront en cause leur République, ses antivaleurs, ses attaques contre la France, seront poursuivis sans pitié, comme c’est déjà souvent le cas dans des établissements où porter certaines marques de vêtement peut suffire à être exclu.

Désormais tous les futurs professeurs seront questionnés sur leur adhésion pleine et entière aux dogmes républicains. Leur conformité avec les principes maçonniques sera plus importante que leur compétence dans leur matière d’enseignement, et que leur volonté de transmettre le savoir. Pire encore : 1.000 formateurs seront opérationnels dès la rentrée 2015 pour assurer la « formation continue » auprès de tous les enseignants, y compris en exercice pour les « guider » sur la voie de la bonne compréhension de la« laïcité » et de la « morale ».

Il faut être Manuel Valls pour croire qu’une simple manipulation médiatico-politique pourra suffire à modifier la réalité d’établissements scolaires où se vend de la drogue, où d’innombrables agressions sexuelles ont lieu, sans parler de la peur quotidienne de milliers de jeunes Français rackettés, humiliés, agressés par les occupants. La nouvelle « religion laïque » ne s’imposera ni aux racailles façonnées par le rap et la haine des Blancs, ni à celles déjà envoûtées par l’islamisme conquérant. Leurs héros ne seront jamais Robespierre et Danton ; ils resteront Merah et Kouachi. Lire la suite