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dimanche, 23 septembre 2018

Référendum en Roumanie pour inscrire dans la Constitution le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme

Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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Roumanie – Le 11 septembre dernier, le Sénat votait (par 107 voix pour, 13 contre) l’organisation d’un référendum destiné à inscrire dans la constitution la définition du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, mettant ainsi fin à la dénaturation du mariage par les duos homosexuels. Lundi, la Cour constitutionnelle a validé le principe d’une telle consultation populaire.

Le référendum devrait se tenir le 7 octobre, malgré l’opposition du président Klaus Iohannis, issu de la fausse « droite » libérale, et qui voit dans la défense de la famille et du mariage le retour des « fanatiques religieux ».

La Coalition pour la Famille (qui avait organisé en 2016 une pétition signée par trois millions de Roumains pour réclamer ce référendum), soutenue par l’Église orthodoxe et l’Église catholique (notamment les Grecs-catholiques), devrait ainsi obtenir une belle victoire sur le lobby LGBT international.

Les Roumains avaient été choqués, en juin dernier, par l’arrêt de la Cour de Justice de l’UE qui impose à la Roumanie (et à tous les États membres de l’UE) de reconnaître les effets juridiques d’un « mariage » entre personnes de même sexe contracté à l’étranger.

Liviu Dragnea, chef du PSD (gauche) et président de la Chambre des députés, a confirmé que son parti était favorable à l’inscription dans la constitution de la définition du mariage en tant qu’union d’un homme et d’une femme.

Toutes les organisations internationales subversives montent bien sûr à l’assaut pour contrer cette saine réaction des Roumains.

Amnesty International, largement financée par l’Open Society Foundations du milliardaire cosmopolite George Soros, a annoncé le 13 septembre qu’elle chercherait à empêcher la tenue du référendum. L’European Commission on Sexual Orientation Law (ECSOL) et ILGA-Europe (European Region of the International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association) qui, jusque dans les années 1990, comptait parmi ses membres des organisations militant pour la légalisation de la pédophilie, sont également à pied d’œuvre pour s’opposer au bon sens du peuple roumain.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 18 octobre 2016

Ramonville-Saint-Agne (31) : 15 mois de prison ferme pour 15 cambriolages en 15 jours

Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2016

Quinze cambriolages en quinze jours : quinze mois de prison ferme

Pendant trois heures, sous le regard des policiers en planque, les cambrioleurs ont méticuleusement vidé un pavillon./Photo DDM illustration

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Pendant trois heures, sous le regard des policiers en planque, les cambrioleurs ont méticuleusement vidé un pavillon.

Alors qu'ils travaillaient, dans le cadre d'une enquête toute autre, les policiers de la sûreté départementale ont été intrigués par le manège suspect de deux individus. Ces garçons, fraîchement expulsés du camp de gens du voyage de Montaudran, avaient élu domicile impasse Barthe, dans un tout nouveau camp.

Surveillés malgré eux, ils n'ont pas manqué d'attiser la curiosité. Ainsi, ce mardi, les policiers de la brigade de répression des atteintes aux biens les ont suivis jusqu'à Ramonville-Saint-Agne. Trois heures durant, les deux hommes, méticuleux, ont littéralement pillé un pavillon. Meubles, matériel hi-fi, bijoux... ils ont tout vidé.

Razzia dans le Muretain
Faute d'un véhicule suffisamment grand, ils ont stocké, au fur et à mesure, leur butin dans le garage de leurs victimes, en attendant l'arrivée d'une camionnette.

Après près de trois heures de surveillance, les enquêteurs ont cueilli les cambrioleurs sur les lieux. Dès lors, difficile pour Samuel Muscan, 22 ans, et Ionel Moroianu, 23 ans, de nier leurs activités de monte-en-l'air. Placés en garde à vue au commissariat central, ils ont dû répondre aux enquêteurs de pas moins de quinze cambriolages commis depuis le 28 septembre, à Ramonville, Pinsaguel, Muret, Pins-Justaret ou encore Labarthe-sur-Lèze.

Parallèlement, des perquisitions ont été menées chez eux. Outillage, bijoux, matériel multimédia et même une dent de requin en or… les policiers ont retrouvé une quantité importante d'objets volés.

Déférés jeudi, les deux garçons au casier judiciaire presque vierge (une mention chacun) ont été jugés, vendredi, dans le cadre des audiences de comparution immédiates.

Ils n'ont pas cherché à nier les faits mais ont sollicité l'indulgence du tribunal, expliquant qu'ils ne souhaitaient pas aller en prison mais simplement «rentrer» dans leur pays d'origine, la Roumanie.

Malgré les efforts de leurs avocats, les juges ont suivi les réquisitions du parquet et ont condamné les cambrioleurs à quinze mois de prison ferme. Ils ont été placés en détention.

Claire Lagadic

 

Source : ladepeche