Le référendum devrait se tenir le 7 octobre, malgré l’opposition du président Klaus Iohannis, issu de la fausse « droite » libérale, et qui voit dans la défense de la famille et du mariage le retour des « fanatiques religieux ».
La Coalition pour la Famille (qui avait organisé en 2016 une pétition signée par trois millions de Roumains pour réclamer ce référendum), soutenue par l’Église orthodoxe et l’Église catholique (notamment les Grecs-catholiques), devrait ainsi obtenir une belle victoire sur le lobby LGBT international.
Les Roumains avaient été choqués, en juin dernier, par l’arrêt de la Cour de Justice de l’UE qui impose à la Roumanie (et à tous les États membres de l’UE) de reconnaître les effets juridiques d’un « mariage » entre personnes de même sexe contracté à l’étranger.
Liviu Dragnea, chef du PSD (gauche) et président de la Chambre des députés, a confirmé que son parti était favorable à l’inscription dans la constitution de la définition du mariage en tant qu’union d’un homme et d’une femme.
Toutes les organisations internationales subversives montent bien sûr à l’assaut pour contrer cette saine réaction des Roumains.
Amnesty International, largement financée par l’Open Society Foundations du milliardaire cosmopolite George Soros, a annoncé le 13 septembre qu’elle chercherait à empêcher la tenue du référendum. L’European Commission on Sexual Orientation Law (ECSOL) et ILGA-Europe (European Region of the International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association) qui, jusque dans les années 1990, comptait parmi ses membres des organisations militant pour la légalisation de la pédophilie, sont également à pied d’œuvre pour s’opposer au bon sens du peuple roumain.
Source : medias-presse.info