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vendredi, 16 novembre 2018

Bienvenue chez les dingues ! Un statut « inédit » de « parent biologique » accordé à un homme qui se prend pour une femme

Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2018

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Le délire homosexualiste continue :

La justice française a rejeté aujourd’hui la demande d’un père, devenu femme, d’être reconnu comme la mère de sa fille sur son acte de naissance, mais lui a accordé le statut, “inédit” selon son avocate, de “parent biologique”. Le 22 juillet 2016, le tribunal de grande instance de Montpellier (sud) avait déjà refusé la demande de Claire [les prénoms ont été changés], 50 ans, de voir retranscrire sur l’acte de naissance de sa fille née de sa relation avec Sophie, son épouse depuis 1999, sa filiation maternelle.

Claire, née de sexe masculin, avait obtenu en 2011 du tribunal la modification en tant que femme de son état civil, sans néanmoins se faire opérer pour changer de sexe –ce qu’elle a fait depuis. Le couple avait donné naissance trois ans plus tard à son troisième enfant, le premier sous son identité de femme de Claire. Ce mercredi, la cour d’appel a une nouvelle fois refusé la demande de Claire mais elle a toutefois estimé dans son arrêt, consulté par l’AFP, qu’il était “de l’intérêt général” de voir le “lien biologique retranscrit” sur l’acte de naissance de l’enfant “sous la mention ‘parent biologique'”, et a exigé que les modifications soient apportées sur les registres.

“C’est inédit que le lien de filiation biologique soit reconnu. C’est bien le nom de ma cliente sous son prénom féminin qui sera écrit sur l’acte de naissance, même si le tribunal n’utilise pas le mot de mère”, a réagi auprès de l’AFP Clélia Richard, avocate de Claire. “Ma cliente est soulagée, c’est un très grand pas pour elle qui craignait en cas de décès de ne pas avoir de droit ou de déshériter sa fille”, a poursuivi l’avocate.

 

Source : ndf

vendredi, 26 octobre 2018

Chronique des cinglés

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2018

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Chronique des cinglés

La cour d’appel de Montpellier devait rendre mercredi 24 octobre un arrêt sur un cas bien particulier. Mais elle a reporté sa décision au 14 novembre.

Premier délire, en 2011 : Bernard, époux de Marie et père de ses deux enfants, décide de devenir une femme, sans subir d’opération chirurgicale. Une transition acceptée aussi bien sur le plan familial que juridique. Le tribunal de Montpellier reconnaît « de façon irréversible son appartenance au sexe féminin, sans qu’aucune opération de réassignation sexuelle n’ait été ni exigée ni pratiquée. ».

Mais le délire se poursuit en 2014 : Marie donne naissance à leur troisième enfant, conçu avec Bernard devenu donc entre-temps Claire. Les deux parents veulent alors être reconnus comme mères de l’enfant. Et oui, refusant d’adopter son propre enfant, et ne pouvant pas être qualifié de père puisque le tribunal l’avait reconnu comme femme, Bernard-Claire décide de saisir le tribunal de grande instance de Montpellier. Le 22 juillet 2016, celui-ci refuse cette solution jugeant que « par l’acte de procréation masculine qu’elle revendique », Claire « a fait le choix de revenir de façon unilatérale sur le fait qu’elle est désormais reconnue comme une personne de sexe féminin, et doit en assumer les conséquences ». Les parents ont donc fait appel.

En droit, la filiation paternelle et maternelle ne s’établit pas de la même manière. La maternité est établie biologiquement : la mère est la femme qui porte l’enfant et qui le met au monde. La maternité se prouve donc “par la gestation et par l’accouchement”. Quant à la paternité, le mari de la mère qui accouche est présumé être le père de l’enfant. En cas d’union libre ou de Pacs, le lien paternel est établi par la reconnaissance de paternité, une démarche effectuée par le père, avant ou après la naissance.

Pierre Paliès, l’avocat de l’enfant (!), saisi par l’Union Départementale des Associations Familiales, estime que Bernard-Claire doit être reconnu comme le père de l’enfant.

«Nous sommes face à ceux femmes qui demandent à être les mères biologiques de cet enfant. Il est incontestable que ce couple est composé de deux femmes, et il n’est pas question de revenir là-dessus. Mais nous avons un deuxième constat : cet enfant est né des ovocytes de l’un des parents, et des spermatozoïdes de l’autre. Nous disons donc que Claire est le père de l’enfant. ça peut paraître choquant, mais c’est la seule position logique juridiquement. Cette paternité n’est pas contestable biologiquement. Ce qui est original, c’est que ce soit juridiquement une femme qui soit l’origine masculine de l’enfant.»

 

Source : lesalonbeige

dimanche, 23 septembre 2018

Référendum en Roumanie pour inscrire dans la Constitution le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme

Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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Roumanie – Le 11 septembre dernier, le Sénat votait (par 107 voix pour, 13 contre) l’organisation d’un référendum destiné à inscrire dans la constitution la définition du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, mettant ainsi fin à la dénaturation du mariage par les duos homosexuels. Lundi, la Cour constitutionnelle a validé le principe d’une telle consultation populaire.

Le référendum devrait se tenir le 7 octobre, malgré l’opposition du président Klaus Iohannis, issu de la fausse « droite » libérale, et qui voit dans la défense de la famille et du mariage le retour des « fanatiques religieux ».

La Coalition pour la Famille (qui avait organisé en 2016 une pétition signée par trois millions de Roumains pour réclamer ce référendum), soutenue par l’Église orthodoxe et l’Église catholique (notamment les Grecs-catholiques), devrait ainsi obtenir une belle victoire sur le lobby LGBT international.

Les Roumains avaient été choqués, en juin dernier, par l’arrêt de la Cour de Justice de l’UE qui impose à la Roumanie (et à tous les États membres de l’UE) de reconnaître les effets juridiques d’un « mariage » entre personnes de même sexe contracté à l’étranger.

Liviu Dragnea, chef du PSD (gauche) et président de la Chambre des députés, a confirmé que son parti était favorable à l’inscription dans la constitution de la définition du mariage en tant qu’union d’un homme et d’une femme.

Toutes les organisations internationales subversives montent bien sûr à l’assaut pour contrer cette saine réaction des Roumains.

Amnesty International, largement financée par l’Open Society Foundations du milliardaire cosmopolite George Soros, a annoncé le 13 septembre qu’elle chercherait à empêcher la tenue du référendum. L’European Commission on Sexual Orientation Law (ECSOL) et ILGA-Europe (European Region of the International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association) qui, jusque dans les années 1990, comptait parmi ses membres des organisations militant pour la légalisation de la pédophilie, sont également à pied d’œuvre pour s’opposer au bon sens du peuple roumain.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 16 janvier 2018

JE NE SUIS NI CATHERINE MILLET, NI CAROLINE DE HAAS. J’AI LE DROIT ?

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

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 Gabrielle Cluzel cliquez ici

« La semaine où “Me Too” et la “liberté d’importuner” se sont écharpés », titrait, lundi matin, Madame Figaro pour résumer le pugilat de gynécée des jours passés.

Et il faudrait donc que toute femme choisisse son camp ? Catherine Millet ou Caroline De Haas ? Caroline De Haas ou Catherine Millet ? Merci bien, mais ça ne fait pas rêver. Permettez que je tire ma révérence, ciao, salut, je retourne au pays des femmes ordinaires, celles de la vraie vie, avec de vrais soucis, celles qui ne se demandent pas, toute la sainte journée, avec des postures de vestale, si elles aiment être un peu, beaucoup, pas du tout importunées, et si frôler n’est pas frotter.

Mesdames, ôtez-moi un doute : vous ai-je jamais élues, cooptées, désignées, déléguées, missionnées, pressenties pour me représenter ? Alors, de quel droit prétendriez-vous parler en mon nom ? Comme le dit Élisabeth Lévy, il n’y a pas de « parti unique des femmes », et je revendique le droit d’avoir une pensée propre, dont l’alpha ne serait pas mon ovaire gauche et l’oméga mon ovaire droit.

Dans Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir dénonçait l’essentialisation de la femme, et s’indignait que l’on réduise celle-ci à ses organes génitaux. Comme on peut voir, son combat a porté ses fruits : à quoi la philosophe féministe Olivia Gazalé, dans son livre Le Mythe de la virilité, réduit-elle la femme, décrite en tant que « pénétrée » (sic), opprimée par les « pénétrants » (re-sic) ? Et à quoi le hashtag #BalanceTonPorcréduit-il les hommes ? Pas à leur cerveau, si ?

Évidemment, dans ce contexte, l’autre parti, celui des cent signataires, nous paraît sympathique, ne serait-ce – après la volée de bois vert que ces dames viennent de ramasser – que par solidarité entre taulards face à un maton commun.

Mais la vérité force à dire que, comme dans tout divorce – car c’est bien une tempête dans le verre d’eau de l’entre-soi parisien qui a eu lieu -, les torts sont partagés.

Si le #BalanceTonPorc rencontre un certain écho auprès des jeunes femmes, c’est bien que celles-ci perçoivent un climat d’agressivité sexuelle qui n’existait pas avant, né de la jonction de deux phénomènes :

Celui de la libération sexuelle portée par la génération Mai 68 – peu ou prou celle des signataires – qui a dérégulé les relations hommes-femmes, écrasant les étapes intermédiaires, promouvant dans le cinéma, la littérature, la presse, la pub et jusque dans l’éducation sexuelle dispensée à l’école un « amour libre » très entreprenant, assorti d’un vocabulaire plus que direct, tellement obnubilée par son interdit d’interdire que, même face à la pornographie, elle n’a rien trouvé à redire. Il suffit, pour s’en convaincre, de faire un test simple. Demandez donc à vos grands-mères si l’une d’elles, jadis, s’est entendu dire dans la cour de récréation : « Eh, meuf, t’es qu’une salope ! (ou une p…) », lot commun, aujourd’hui, des collégiennes.

Celui de l’arrivée massive, en Occident, d’une population qui, culturellement, ne porte pas le même regard sur la femme, avec cette fâcheuse propension à jauger, avec son curseur propre, la vertu d’une femme à sa façon de se vêtir.

À quel moment ces deux points cumulés, qui sont une évidence pour madame Tout-le-Monde même si elle n’a pas toujours les mots pour le dire, ont-ils été évoqués par l’un ou l’autre camp ? Quelle solution espère-t-on trouver si l’on n’a pas posé les hypothèses ? Quel débouché concret pourrait avoir ce dialogue de sourdes et d’aveugles patentées ?

Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin. Non pour revenir à l’âge d’or d’une autre époque – qui n’existait pas, sinon Mai 68 ne serait pas arrivé -, mais pour rendre justice à une altérité bien comprise et, sur un terrain ainsi apaisé, retrouver le chemin du respect réciproque. Nombreuses, d’ailleurs, sont celles qui le vivent déjà. Mais ce ne sont pas elles, penses-tu, que l’on fait témoigner.

 

Source : synthesenationale

lundi, 29 mai 2017

Afrique du Sud : 27% des hommes avouent avoir déjà violé une femme ou une fillette

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2017

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Plus de 27% des hommes sud-africains ont admis avoir violé une fille ou une femme et 64 000 cas de violence sexuelle ont été signalés l’an dernier en Afrique du Sud, selon les chiffres de la police. Le décès récent de Karabo Mokoena, un étudiant de 22 ans qui aurait été brutalement assassiné par son petit ami, a également déclenché une indignation à travers le pays. Mokoena aurait été «collé» – une forme brutale d’exécution et de torture dans laquelle un pneu en caoutchouc rempli d’essence est posé autour du haut du torse de la victime puis en y mettant le feu – avant de verser de l’acide sur son corps.

NY Times Via Fdesouche.com