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jeudi, 06 juillet 2017

Un policier agressé à Saint-Denis a complètement perdu la mémoire

Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2017

 

L’agresseur présumé, arrêté mardi, a été mis en examen mercredi et placé en détention provisoire pour violences volontaires sur personnes dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une infirmité permanente.

Une information judiciaire a été ouverte mercredi par le parquet de Bobigny après l’agression ultra-violente d’un policier fin mai à Saint-Denis, en région parisienne. L’agresseur présumé arrêté mardi a été mis en examen pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une infirmité permanente et placé en détention provisoire.

Une agression qui dégénère. L’agression s’est produite le 30 mai, lors d'un contrôle d’identité qui a dégénéré à la Plaine Saint Denis, au nord de Paris. Avec un collègue, les deux agents de la Brigade de Sécurité de Quartier sont encerclés par six jeunes d’une vingtaine d’années venus en soutien des deux contrôlés. Caillassés, jetés à terre, ils sont roués de coups notamment à la tête. Il a fallu des renforts et une grenade de désencerclement pour mettre fin à l’agression qui a laissé au policier le plus touché la trace des semelles de chaussures sur le visage.

39 ans de vie oubliés. Les coups portés ont été tels que depuis l’agression, le policier a totalement perdu la mémoire. Il a oublié 39 ans de sa vie. Le brigadier, a perdu tous ses acquis, la conduite, faire du vélo ; il ne se souvenait même plus qu’il était policier. "Le seul souvenir qui lui reste d’avant l’agression, c’est sa sœur, qu’il a reconnue quand elle est venue le chercher [à l’hôpital]", confie à Europe 1 Christophe, l’un de ses amis de longue date. A part elle, l’homme ne reconnaît ni sa mère ni ses frères, ne se souvient pas de sa maison, ni de son adresse. "Tout a été effacé", martèle ce proche qui l’épaule ces dernières semaines. "On refait connaissance, on se redonne nos prénoms, comme aux premiers jours", relate-t-il à Europe 1.

"Tout réapprendre". Perturbé par le fait de ne pas savoir "ce qu’il savait et ce qu’il ne savait pas", le brigadier se documente, lit beaucoup pour "se tenir au fait de l’actualité". "Tout est à réapprendre", insiste Christophe qui précise que son ami est touché par le soutien affiché de ses collègues et de sa hiérarchie. L’agresseur principal présumé, 20 ans, vient d’être arrêté. Il a été formellement reconnu par le 2e brigadier et mis en examen mais il nie les faits.

Par Salomé Legrand
 
Source : europe1

dimanche, 25 juin 2017

Saint-Denis, des rois de France aux zones de non-droit !

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017

J.-P. Fabre Bernadac

Un contraste saisissant entre le Saint-Denis des rois de France et la ville livrée aux racailles d'aujourd'hui. Merci à J.-P. Fabre Bernadac et Boulevard Voltaire pour ce rappel [24.06].  LFAR

 

d533f61cd7e451225deb674c5cda3bca.jpeg.jpgLe 28 juillet 754, le pape Étienne II sacrait Pépin le Bref dans la basilique de Saint-Denis et bénissait son épouse Berthe au Grand Pied. Depuis cette époque ce chef-d’œuvre de l’art gothique fut la dernière demeure de quarante-deux rois, trente-deux reines, soixante-trois princes et princesses de France. Des mérovingiens avec Dagobert, en passant par les carolingiens jusqu’aux Bourbons, avec les priants de Louis XVI et Marie-Antoinette, la nécropole royale de Saint-Denis fut le témoin privilégié de l’histoire de France. Aujourd’hui la ville de St Denis n’est plus que le témoin privilégié d’une zone de non droit !

Le dernier exemple de cet abaissement vient d’être rapporté par Le Figaro. Le 20 juin, « un officiel russe présenté comme chef de la délégation au Salon aéronautique du Bourget, qui circulait à Saint-Denis, à bord d’un véhicule VTC (Véhicule de tourisme avec chauffeur) a été victime d’un vol avec violence à la portière » a indiqué une source policière. Le détail des faits, cependant, divergent entre le quotidien et « Russia Today ».

D’après le premier, l’homme a été frappé et la conductrice s’est fait arracher son sac. Ne s’en laissant pas conter, celle-ci aurait décidé de prendre en chasse les voleurs. Cette poursuite la conduisit dans un quartier sensible où les malfaiteurs furent rejoints et appuyés par une bande. « Elle est alors violemment prise à parti par une cinquantaine d’individus » qui « la frappent et l’agressent sexuellement » selon le récit livré par le journal français.

Pour le média russe il n’y aurait pas eu de course poursuite et la jeune femme n’aurait pas été agressée.
 
Dans les deux hypothèses la réaction de la police fut rapide, ils purent secourir le couple. Cette agression est symptomatique de la situation de la préfecture de Seine-Saint-Denis comme de celle de multiples banlieues de l’hexagone. 

Messieurs les touristes, il faut savoir qu’en venant en France, si vous vous écartez des beaux quartiers de la capitale, vous prenez un risque. Parcourir les rues de la cité dionysienne c’est comme aller en vacance en Libye. Le danger est présent tout au long des 20 kilomètres de l’autoroute qui traverse le 9-3 entre Roissy et la porte de la Chapelle, m’ont confié des amis de la BAC. Des centaines de voyageurs se font agresser sur ce tronçon chaque année et la clientèle richissime du salon du Bourget constitue une proie inespérée pour ces « racailles ». Disons-le, nous sommes revenus au Moyen Age au temps du brigandage et des ribauds.

Les seules solutions pour les conducteurs arpentant ces voix : d’abord fermer les portes notamment celle passager et vider sol et siéges inoccupés de tout objet. Si l’attaque a lieu en cassant la vitre, essayer de foncer si la voiture n’est pas bloquée et actionner continuellement le klaxon tout en mettant les warning. Si vous êtes bloqué par un deux-roues, il ne vous reste plus qu’uns solution prier pour qu’il ne vous arrive rien. D’ailleurs les gens de la BAC expliquent discrètement aux automobilistes agressés de ne pas s’arrêter aux feux rouges à Saint-Denis… mais de « glisser » lentement lors des croisements. Le 9-3, est actuellement une des « républiques » autonomes du « vivre ensemble » comme tant d’autres en France.

À part cela tout va bien dans ce pays qui a la « chance » de profiter des multiples diversités culturelles.

Quelle honte pour notre nation, il est certain qu’en Russie la milice aurait alpagué sans ménagement ces fauteurs de trouble.

Au fait Messieurs du CIO, il est prévu où le village olympique si les JO 2024 se déroulent à Paris ? 

Ancien officier de Gendarmerie
Diplômé de criminologie et de criminalistique

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Le gisant de Charles V et Jeanne de Bourbon à Saint-Denis

 

Source : lafautearousseau

jeudi, 09 mars 2017

Ces immigrés qui haïssent la France : l'insurrection ethnico-islamique de Saint-Denis

 Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2017

Les faits (Source : France info)

Cinquante-cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, ce mardi 7 mars pour « attroupement armé et jets de projectiles » dans et devant le lycée Suger de Saint-Denis (et aussi dans et devant les lycées Bartholdi et Paul Eluard) ... 

Les faits se sont produits vers 10 heures ce matin, au moment de la récréation. Professeurs et élèves ont entendu une grosse explosion dans le hall du lycée. L'air est devenu irrespirable, à cause de la fumée. Les élèves ont donc été conduits dans la cour de l'établissement. Au même moment, un groupe de jeunes s'est introduit dans le lycée et a tenté d'allumer un incendie dans trois endroits distincts de l'établissement. Ils sont ensuite entrés dans l'un des bâtiments et y ont répandu de l'essence. Les départs de feu ont été rapidement maîtrisés...

Après l'évacuation des élèves, des fonctionnaires de police ont été pris à partie par plusieurs individus armés de pierres, de mortier, d'explosifs et de cocktails Molotov...  

Notre commentaire

Le roi du Maroc, Hassan II, père de l'actuel roi Mohammed VI, avait raison, et savait de quoi il parlait, lui qui est descendant du Prophète et « Amir al-Mu’minin » (c'est-à-dire « Commandeur des Croyants ») lorsqu'il parlait à une Anne Sinclair, visiblement déstabilisée, de l'immigration en France.

Avec lucidité, il disait : Vous faites une grande violence à tous ces musulmans marocains [il ne voulait pas parler des Algériens, Tunisiens ou autre Africains, s'en tenant, à juste titre, à son rôle de roi du Maroc], en leur demandant de s'intégrer ou de s'assimiler à votre culture. Ils sont marocains et musulmans et ils le resteront ; ils ne seront jamais français à cent pour cent ; vous arriverez peut-être à maîtriser la première et la deuxième génération, mais la troisième ou la quatrième vous exploseront au visage...

Nous y sommes.

Il ne faut pas se leurrer : à l'heure où un apprenti sorcier nommé Macron envisage sérieusement d'ouvrir encore plus les portes à une immigration africaine encore plus importante, l'immigration déjà installée en France règne en maîtresse dans plus de 1.500 quartiers ou cités (et peut-être 2.000, et peut être plus). Dans ces zones de non-droit, dont tout le monde sait l'existence mais que personne ne veut nommer dans le Pays légal, qui brade la France, cette immigration est déjà, de fait, maîtresse du terrain. Dès qu'elle se sentira prête, assez sûre d'elle, elle déclarera « zone islamique » telle ou telle cité, tel ou tel quartier.

Que fera-t-on, alors ?

Parmi la cinquantaine de « jeunes » interpellés, quasiment tous sont mineurs. Légalement, quasiment tous sont français. Mais « Français de plastique » seulement, et « sans avoir l'esprit ni le cœur français », comme le disait Charles de Foucaud.

Fortement islamisés, ces « jeunes » croient au dogme fondamental du Medhi, expliqué par le père de Foucaud : « tout musulman, (je ne parle pas des libres penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve ; «l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération», disent-ils ; ...mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France. »

Ce jour-là, n'en doutons pas, est proche. Une grande insurrection se profile, dont nous ne savons ni le jour, ni l'heure, ni le lieu (ou les lieux). Mais elle arrive, c'est évident, elle est même déjà là, de fait, attendant son heure et rongeant son frein, d'une façon de moins en moins cachée.

Et si, d'aventure, cette insurrection triomphait - et là où elle triompherait... - nous n'aurions le choix qu'entre deux solutions : nous convertir sous la contrainte ; ou partir loin de chez nous.

Alors, sans hésiter, nous en choisirions une troisième : nous battre pour la Libération nationale.

 

Source : lafautearousseau