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samedi, 04 mars 2017

Mariages extra-Européens : incivilités et sauvageries au coeur de la ville

Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2017

Beaucoup de badauds qui ont l’occasion de fréquenter le centre-ville le samedi connaissent ce phénomène mais peut n’osent affronter le problème, pourtant les mariages sont au coeur de nombreuses attentions. Pour preuve, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, veut faire adopter une charte de bonne conduite lors des mariages dans la ville rose. Mais que se passe t-il à Toulouse ?

A mesure que la France s’enfonce dans une immigration forcenée et un renoncement général à l’esprit de civilisation, la descendance immigrée s’installe dans la non-France. Nous connaissions déjà le « bruit et l’odeur », nous survivons à leurs violences, maintenant nous devons supporter leurs festivités dont la nature même est l’anti-civilisation.

A Marseille, la police des quartiers Nord connaît depuis de nombreuses années le phénomène des rodéos urbains auxquels se prêtent avec délectation des cortèges de mariage. La scène est à chaque fois répétée : de nombreux véhicules, certains de luxe, payés à grand coup d’allocations, accompagnent les mariés. L’anarchie s’installe alors : code de la route violé et haine de la France éructée. Les drapeaux étrangers fleurissent ces rutilants véhicules.

En Mairie, notamment à Toulouse, la situation est encore plus effroyable. Les invités insultent les agents et élus locaux, dégradent les lieux, ne respectent ni les horaires et ou même le minimum de convenances sociales. Certains mariages s’organisent avec des témoins ne parlant pas le Français, d’autres selon des traditions bien étrangères à nos standards.

Une élue de Toulouse, confrontée à cette situation se confie sous couvert d’anonymat : « Les mariages de maghrébins ou subsahariens sont les pires. Les gens sont d’une impolitesse totale, nous méprisent et nous regardent avec haine. Ils ne respectent rien et préfèrent brandir leurs drapeaux à grands cris de Youyou (cris traditionnels que poussent les femmes d’Afrique du Nord). Maintenant, lorsque je vois ce genre de mariés arriver, j’ai peur. ».

Mais qui sont les responsables ?  Même nos sociologues à l’esprit atrophié ne pourront pas le contester ; en vérité, il s’agit souvent des mêmes !

La défaite de la France puis de l’Europe passera par des ventres féconds. Les mariages ainsi célébrés nous rappellent qu’à l’heure de l’affaire Fillon, se joue dans nos municipalités un péril majeur. Le retour à l’état sauvage de nos mairies démontre avec force que la République s’effondre sous le poids de la non-France. Les populations immigrées et leurs héritiers font vivre à la France son lot quotidien d’incivilité et de violence. À ceux qui cherchent la montée de l’insécurité en France, ne cherchez plus ! En réalité quelques mariages suffisent à nous rappeler que nous devenons étrangers dans notre propre pays ; étrangers à la civilisation ; étrangers à notre regrettée patrie, la France.

Louis Potens

 

Source : infos-toulouse

samedi, 06 septembre 2014

Cet égoïsme monstrueux et assassin… (par Marie Delarue)

 

Publié par Guy Jovelin

 

Se tenir, et tant qu’à faire se tenir bien. Se retenir surtout. Être maître de soi, de ses fureurs, de ses instincts. Par respect de soi-même et des autres, éviter les débordements et les cris. Voilà ce qu’on nous enseignait autrefois. Voilà, au temps des tweets et du triomphe de l’impulsion, ce qui n’existe plus.

Les faits du jour : sauvagerie à tous les étages. Des parents qui assassinent leur enfant et se livrent pendant dix jours à une mise en scène macabre, promenant une poupée dans son landau, chauffant des biberons pour la galerie avant d’inventer une fumeuse histoire d’enlèvement. Un adolescent qui se précipite en sang chez les voisins, dénonçant dans des propos incohérents un « crime de rôdeur » des plus improbables. Et puis une ex-première dame qui fait sous elle, qui chie sa haine en 300 pages comme l’autre lâche ses coups sur un nourrisson qui pleure, comme le frère exaspéré – ou jaloux lui aussi – a poignardé ses frère et sœur.

On peut juger le rapprochement osé. Il ne l’est pas. Tout cela relève du même mal : l’incapacité de tous ceux-là à penser plus loin que soi-même. Le père qui cogne le petit Loan, la mère qui s’en débarrasse comme on met les déchets au compost, l’adolescent de Moernach (Haut-Rhin) qui supprime ceux qui le gênent comme il le fait sur l’écran, Trierweiler qui confond l’État et la télé-réalité.

Interrogée par Yves Calvi sur RTL, la psychologue Sophie Marinopoulos assurait que l’assassinat du petit Loan témoigne de « la carence affective » des parents, soulignant qu’aujourd’hui « la famille est le lieu le plus violent de la société française ». La famille, ou le couple : je cogne, donc je suis.

Pour reprendre l’image prêtée au Président, la famille du petit Loan appartient aux « sans-dents ». Celles de madame Trierweiler sont immaculées et bien rangées. Le tribunal populaire accordera peut-être aux premiers le manque de discernement. Pas à la seconde.

Le petit Loan attend sa sépulture. Ses parents sont en prison, ses grands-parents disent qu’ils n’ont pas les moyens de payer les obsèques. La petite fille de Moernach est aujourd’hui sur la table d’autopsie. Son frère de 8 ans se bat contre la mort. Madame Trierweiler a eu un époux dont elle porte encore le nom et qui n’en demandait pas tant ; elle a trois fils, aujourd’hui de jeunes hommes qui doivent certainement, à l’heure qu’il est, affronter les quolibets. François Hollande a quatre enfants nés de son compagnonnage avec Ségolène Royal. Tous adultes, certes, mais qui doivent eux aussi subir la honte de cet étalage obscène d’une intimité qu’ils n’avaient pas à connaître.

Le commun dénominateur ? L’égoïsme, monstrueux. L’assouvissement immédiat des pulsions qui ne connaît rien d’autre que soi-même. L’ignorance de ce qui, au fil des siècles, a forgé la civilisation. La barbarie, en somme, chez les Groseille comme chez les Lequesnoy.

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