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mercredi, 04 avril 2018

Un tsunami migratoire africain dévastateur annoncé

Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2018

POSTÉ LE 03 AVRIL , 2018, 4:01

africain,europe,tsunami migratoireSur la planète, il existe encore quelques pays de bon sens, bien administrés. Ils sont rares, mais ils existent. En Europe, on peut citer la Suisse, peut-être la Finlande. En Asie, c’est la cité-État de Singapour, un État démocratique modèle parfaitement organisé et efficace qui s’enorgueillit de la meilleure compagnie aérienne du monde. À la rigueur, on peut citer aussi la Corée du Sud et Taïwan. En Amérique, le Canada. Point final.

En Europe, l’Italie, l’Espagne, et surtout la France sont des contre-modèles absolus. Quelques pays ont le courage, malgré leur faiblesse, de lutter contre l’invasion migratoire qui déferle sur l’Europe. Il s’agit de la Hongrie, de la Tchéquie, de la Slovaquie, de la Croatie, de l’Estonie et de la Lituanie qui, avec le Portugal, ont refusé la totalité des demandes d’asile, la Pologne s’efforçant d’agir de la même façon.

En Asie, citons le Japon qui, en 2015, n’a accordé que 25 statuts de réfugiés et en 2016, 600 à des Coréens fixés au Japon de longue date. La France, elle, a dispensé le droit d’asile avec indemnité, logement et soins, à quelque 100 000 migrants en 2016, en majorité des Africains et des musulmans !

L’invasion en cours de l’Europe de l’ouest est un défi immense et vital décrit par Stephen Smith, spécialiste de l’Afrique, dans l’ouvrage qu’il vient de faire paraître, « La ruée vers l’Europe », d’où sont tirées les informations vérifiées ci-après.

Aujourd’hui, 510 millions d’Européens vivent au sein de l’Union européenne et 1,3 milliard d’Africains leur font face sur le continent voisin. Dans 35 ans, ce rapport sera de l’ordre de 450 millions d’Européens pour quelque 2,5 milliards d’Africains, soit 5 fois plus. Passons maintenant aux précisions indéniables.

Officiellement, depuis 2007, 2 millions d’Africains sont entrés en Europe. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), ces 2 millions – chiffre officiel probablement minoré – se sont ajoutés à un « stock » de migrants africains déjà fixés en Europe estimé en 2016 à 9 millions. En 1960, ils étaient au-dessous de 900 000.

Après la colonisation européenne qui apporta à l’Afrique les premiers éléments de la sécurité, de l’hygiène et du développement, on constate une fulgurante croissance des populations, qui aboutira à une multiplication par 16 du nombre d’Africains entre 1930 et 2050. Le mouvement est en marche. En 2100, sur un total mondial d’un peu plus de 11 milliards d’habitants dans le monde, 40 % seront africains, la majorité d’entre eux étant sans qualification.

Prenons le cas du Zimbabwe (ancienne Rhodésie), qui comptait 700 000 habitants en 1900 et 16 millions en 2017. Si le nombre des Français avait augmenté dans les mêmes proportions, l’Hexagone compterait aujourd’hui 855 millions d’habitants !

Plus près de la France, au Sahel francophone, où les populations devraient tripler d’ici 2050, la population devrait se situer alors autour de 350 millions. Si la population de la France augmentait de la même façon, elle serait de 420 millions !

S’agissant du Nigéria, sa population a été multipliée par 4,5 depuis l’indépendance et la population de sa capitale Lagos par 60. Dans cette immense agglomération, le tout à l’égout est inexistant. C’est le plus grand cloaque du monde, dans lequel, écrit Stephen Smith, les habitants, abandonnés à eux-mêmes, se lavent et se procurent l’eau à boire et à faire la cuisine !

On ne s’étonnera donc pas que Stephen Smith ait noté que, dans leur majorité, les populations africaines, hormis l’infirme minorité des privilégiés officiels et généralement corrompus, souffre de malnutrition chronique. Près de 100 millions d’enfants en âge scolaire sont anémiques, malgré les centaines de milliards de dollars déversés chaque année sur le continent par les nations occidentales, la France en tête.

On ne peut passer sous silence non plus le Sida, cette grave affection originaire de l’Afrique centrale (Congo et Rwanda), qui, par suite de la décolonisation, s’est répandue dans le monde entier.

Il demeure – il faut le souligner – que la population africaine en âge de travailler va quintupler au cours des 40 prochaines années. Pour l’absorber, il faudrait créer en Afrique 420 millions d’emplois, ce qui, évidemment, n’aura pas lieu. Donc le seul espoir pour la jeunesse innombrable de l’Afrique noire, c’est la fuite vers l’Europe de l’ouest. Les migrants sub-sahariens qui ont réussi à s’y fixer ont envoyé au « pays » en 2013 (la dernière année pour laquelle les données complètes ont été réunies) 33,2 milliards de dollars, ce qui, avec l’aide au développement dispensée par les puissances occidentales, permet aux « petits frères » de rejoindre les « grands frères » à Paris, à Saint-Denis, à Marseille – bref partout.

À ce « flux migratoire », expression autorisée, s’ajoute le droit du sol en vigueur dans toute la France, y compris à Mayotte, département français. Ainsi aura-t-on en France des foules considérables d’Africains assistés par une gouvernance surendettée qui enlève aux Français, dont la natalité est très faible, ce qu’ils ont légitimement acquis, de manière à alimenter la préférence étrangère.

Alors, que va-t-il se passer ? Deux thèses sont en présence. La première veut que, se réveillant enfin et prenant conscience de l’extrême danger de cette invasion, les populations européennes se révoltent et refoulent manu militari les envahisseurs, les rapatriant sur le continent d’où elles viennent. De vastes camps d’hébergement seraient créés. Des millions de migrants y seraient concentrés, puis transportés par convois ferroviaires dans des ports d’où, par paquebots entiers, ils seraient déposés sur les rivages africains. Il va sans dire qu’un tel mouvement n’aura pas lieu pour des raisons humaines, politiques et pratiques. D’autant que les États africains refusent de reprendre les millions de migrants dont ils ont été tout heureux de se débarrasser.

L’autre thèse, beaucoup plus réaliste, est celle de la soumission et de la résignation. Sans doute y aura-t-il quelques mouvements de résistance sporadiques, mais ils ne résoudront pas le problème. Le chaos s’installera et la plus belle civilisation de l’humanité, la civilisation occidentale et chrétienne, disparaîtra sous les coups des barbares qui s’entre-tueront.

 

Source : les4verites

samedi, 12 août 2017

Un Italien : « Je préfère 10 ans de fascisme plutôt qu’une Europe africanisée »

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2017

Publié le 11 août 2017 - par  
 

“Je préfère 10 ans de fascisme plutôt que de subir ce qui se prépare : une Europe africanisée, détruite, dans laquelle nous serons des étrangers chez nous. Dans laquelle nos enfants ne seront que de la chair à consommer et à tuer.”

Tel est le coup de colère d’un citoyen réagissant à la détresse des habitants de Vintimille, submergés par le tsunami migratoire venu d’Afrique. Un coup de colère qui en dit long sur le ras-le-bol des peuples face à l’immigration sauvage et que les dirigeants européens seraient bien avisés de ne plus ignorer.

http://lesobservateurs.ch/2017/08/10/on-nen-peut-plus-les...

Voilà où nous mènent les poules mouillées qui nous gouvernent, lesquelles s’obstinent à nous imposer une société multiculturelle dont les peuples ne veulent plus. C’est l’exaspération la plus totale que les élus refusent de prendre en compte.

Quand on écoute les citoyens confrontés au choc culturel et soumis aux nuisances des migrants, le discours est partout le même, en Italie, en France, en Allemagne, en Suède et bien d’autres pays.

Les témoignages accablants sont innombrables mais le pouvoir les dissimule.

Car la presse véhicule des mensonges et ne relaie que des reportages à l’eau de rose, se gardant bien de rapporter la détresse vécue par les riverains de Calais ou de Vintimille, pour ne citer que ces deux exemples.

A croire qu’un bidonville ou un camp sauvage sont une richesse culturelle !

Voici quelques paroles d’habitants de Vintimille, ville frontière avec la France, où les habitants désespérés subissent le même calvaire que les Calaisiens.

“On n’en peut plus, la ville est envahie.”

“On ne peut plus vivre librement dans notre ville.”

“Ce n’est plus notre ville, c’est juste un énorme camp de réfugiés.”

“Le gouvernement nous l’impose et on paye.”

“Où est la souveraineté du peuple. ?

“On ne peut plus vivre. Nos femmes ne peuvent plus se promener seules la nuit.”

“La situation ne fait que se dégrader, on n’en peut plus.”

“En fait, il n’y a plus du tout de touristes et on trouve de moins en moins de travail.”

A Vintimille, Calais, et bien d’autres villes ou quartiers envahis par les migrants, même combat, même constat, même discours.

Non pas le discours mielleux et mensonger des rédactions ou des politiques, tous confortablement installés dans leurs bureaux climatisés, bien loin des nuisances des camps sauvages qui fleurissent partout.

Mais le discours du réel, du vécu, par des riverains qui sont à bout, qui vivent dans la peur, qui voient leurs biens perdre de la valeur, qui voient leurs conditions de vie se dégrader de jour en jour. Des citoyens désespérés qui voient leur avenir et surtout celui de leurs enfants s’assombrir.

Des victimes qui subissent de plein fouet le raz-de-marée et que les autorités ignorent et méprisent, tandis que la bobosphère les taxe de racisme et de xénophobie. Leur vie est bouleversée et on les traite de salauds ou de fachos !

C’est le naufrage absolu de notre politique d’accueil, qui fait la part belle  aux clandestins, aux illégaux, aux hors la loi, qui se comportent en envahisseurs et ne respectent plus rien.

On ne compte plus les scènes de violences, les agressions sexuelles de masse comme en Allemagne, les dégradations, les vols. Les migrants ne demandent plus, ils exigent, assurés de l’appui des associations et du pouvoir.

Et que dit Emmanuel Macron ? Il veut que la France prenne toute sa part du fardeau, alors qu’il faudrait stopper net cette invasion qui va détruire l’Europe.

Car parmi ce flot ininterrompu, seulement 10% sont des réfugiés fuyant la guerre. Les autres sont des migrants économiques et des clandestins attirés par la manne sociale. 600 millions d’Africains vivent sans électricité et logent dans des conditions moyenâgeuses.

En Afrique et au Maghreb, pour un jeune, le symbole de la réussite sociale c’est gagner l’Europe et y être régularisé pour accéder aux droits sociaux.

Et ce n’est pas le “célèbre” polygame de Bobigny, avec ses 4 femmes et 46 enfants, qui dira le contraire. Avec ses confortables prestations sociales, cet ex-agent d’entretien ne travaille plus depuis longtemps, mais dans son village au nord du Mali, il est le symbole de la réussite. Un modèle à suivre !

Rien d’étonnant à ce que la France soit le premier pays polygame d’Europe !

Le gouvernement est tout fier d’avoir ouvert 2 nouveaux centres dans le Nord et le Pas-de-Calais, 180 places au total, alors qu’il arrive chaque jour 250 migrants dont 100 à Paris !

C’est dire combien l’Etat est dépassé par l’ampleur du désastre.

Un migrant coûte 30000 euros au contribuable, c’est 15 fois le PIB/hab d’un Africain ! L’Europe c’est l’Eldorado.

De nombreuses villes allemandes ne veulent plus être une terre d’asile.

http://actu.orange.fr/monde/videos/migrants-en-allemagne-...

En Suède, jusque là terre promise pour tout migrant, on a rétabli les frontières et les expulsions explosent.

http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/28/01003-201...

Faudra t-il une révolte généralisée pour que les gouvernants européens écoutent leur peuple et assument leurs obligations élémentaires, à savoir la protection de leur pays et de ses citoyens ?

Car à part Viktor Orban, on ne voit que des chefs d’Etat qui capitulent, totalement complices de  cette entreprise de démolition de la maison Europe.

Jacques Guillemain

 

Source : ripostelaique