Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 12 novembre 2017

11 novembre, De Gaulle et ses guignols

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2017

 Patrick Parment

qNQE606I.jpgA chaque 11 novembre on nous sort la même soupe : le pèlerinage à Colombey-les-deux-Eglises qui est aux gaullistes ce que La Mecque est aux musulmans. Il y a un mythe gaulliste lié à une légende fabriquée de toute pièce et qui ne reflète que peu la réalité. L’homme du 18 juin n’y est pas pour grand-chose dans la victoire des Alliés sur les Allemands en 1944. En revanche, De Gaulle avait bien compris que les Américains étaient des envahisseurs autrement plus dangereux que les Allemands. Dans le grand cirque guerrier de 39-45, le rôle de la Résistance est marginal. Ce qui l’est moins, c’est l’attitude des communistes qui ont poussé les Allemands à prendre des otages suite à l’assassinat aveugle et gratuit de soldats allemands.  Ce qui l’est moins toujours, c’est l’attitude des communistes durant la grande braderie de l’Epuration où ils s’en donnèrent à cœur joie pour régler leurs petites affaires. Et sur cette période douloureuse de notre histoire, on n’a que le silence du camarade De Gaulle, intronisé, il est vrai, par Joseph Staline en 1941 qui lui sauva la mise à Londres auprès de Churchill.

Puis il y a le De Gaulle du coup d’Etat du 13 mai 1958 et surtout le De Gaulle qui va brader l’Algérie aux tueurs du FLN. Depuis cette date, tous les gouvernements se sont couchés devant les autorités algériennes pour le plus grand bonheur du patronat français.

La seule chose que l’on retiendra de De Gaulle est qu’il a agi et régné comme un monarque grâce à une constitution frisant le fascisme. Le reste, c’est de la posture, sans plus.

Alors De Gaulle….

Mais commémorer le 11 novembre 1918 est un devoir, car Il faut rendre hommage à nos poilus qui étaient pour la plupart de braves paysans que l’on a arraché à leur terre et à leur famille.

 

Source : synthesenationale

samedi, 12 août 2017

Un Italien : « Je préfère 10 ans de fascisme plutôt qu’une Europe africanisée »

Publié par Guy Jovelin le 12 août 2017

Publié le 11 août 2017 - par  
 

“Je préfère 10 ans de fascisme plutôt que de subir ce qui se prépare : une Europe africanisée, détruite, dans laquelle nous serons des étrangers chez nous. Dans laquelle nos enfants ne seront que de la chair à consommer et à tuer.”

Tel est le coup de colère d’un citoyen réagissant à la détresse des habitants de Vintimille, submergés par le tsunami migratoire venu d’Afrique. Un coup de colère qui en dit long sur le ras-le-bol des peuples face à l’immigration sauvage et que les dirigeants européens seraient bien avisés de ne plus ignorer.

http://lesobservateurs.ch/2017/08/10/on-nen-peut-plus-les...

Voilà où nous mènent les poules mouillées qui nous gouvernent, lesquelles s’obstinent à nous imposer une société multiculturelle dont les peuples ne veulent plus. C’est l’exaspération la plus totale que les élus refusent de prendre en compte.

Quand on écoute les citoyens confrontés au choc culturel et soumis aux nuisances des migrants, le discours est partout le même, en Italie, en France, en Allemagne, en Suède et bien d’autres pays.

Les témoignages accablants sont innombrables mais le pouvoir les dissimule.

Car la presse véhicule des mensonges et ne relaie que des reportages à l’eau de rose, se gardant bien de rapporter la détresse vécue par les riverains de Calais ou de Vintimille, pour ne citer que ces deux exemples.

A croire qu’un bidonville ou un camp sauvage sont une richesse culturelle !

Voici quelques paroles d’habitants de Vintimille, ville frontière avec la France, où les habitants désespérés subissent le même calvaire que les Calaisiens.

“On n’en peut plus, la ville est envahie.”

“On ne peut plus vivre librement dans notre ville.”

“Ce n’est plus notre ville, c’est juste un énorme camp de réfugiés.”

“Le gouvernement nous l’impose et on paye.”

“Où est la souveraineté du peuple. ?

“On ne peut plus vivre. Nos femmes ne peuvent plus se promener seules la nuit.”

“La situation ne fait que se dégrader, on n’en peut plus.”

“En fait, il n’y a plus du tout de touristes et on trouve de moins en moins de travail.”

A Vintimille, Calais, et bien d’autres villes ou quartiers envahis par les migrants, même combat, même constat, même discours.

Non pas le discours mielleux et mensonger des rédactions ou des politiques, tous confortablement installés dans leurs bureaux climatisés, bien loin des nuisances des camps sauvages qui fleurissent partout.

Mais le discours du réel, du vécu, par des riverains qui sont à bout, qui vivent dans la peur, qui voient leurs biens perdre de la valeur, qui voient leurs conditions de vie se dégrader de jour en jour. Des citoyens désespérés qui voient leur avenir et surtout celui de leurs enfants s’assombrir.

Des victimes qui subissent de plein fouet le raz-de-marée et que les autorités ignorent et méprisent, tandis que la bobosphère les taxe de racisme et de xénophobie. Leur vie est bouleversée et on les traite de salauds ou de fachos !

C’est le naufrage absolu de notre politique d’accueil, qui fait la part belle  aux clandestins, aux illégaux, aux hors la loi, qui se comportent en envahisseurs et ne respectent plus rien.

On ne compte plus les scènes de violences, les agressions sexuelles de masse comme en Allemagne, les dégradations, les vols. Les migrants ne demandent plus, ils exigent, assurés de l’appui des associations et du pouvoir.

Et que dit Emmanuel Macron ? Il veut que la France prenne toute sa part du fardeau, alors qu’il faudrait stopper net cette invasion qui va détruire l’Europe.

Car parmi ce flot ininterrompu, seulement 10% sont des réfugiés fuyant la guerre. Les autres sont des migrants économiques et des clandestins attirés par la manne sociale. 600 millions d’Africains vivent sans électricité et logent dans des conditions moyenâgeuses.

En Afrique et au Maghreb, pour un jeune, le symbole de la réussite sociale c’est gagner l’Europe et y être régularisé pour accéder aux droits sociaux.

Et ce n’est pas le “célèbre” polygame de Bobigny, avec ses 4 femmes et 46 enfants, qui dira le contraire. Avec ses confortables prestations sociales, cet ex-agent d’entretien ne travaille plus depuis longtemps, mais dans son village au nord du Mali, il est le symbole de la réussite. Un modèle à suivre !

Rien d’étonnant à ce que la France soit le premier pays polygame d’Europe !

Le gouvernement est tout fier d’avoir ouvert 2 nouveaux centres dans le Nord et le Pas-de-Calais, 180 places au total, alors qu’il arrive chaque jour 250 migrants dont 100 à Paris !

C’est dire combien l’Etat est dépassé par l’ampleur du désastre.

Un migrant coûte 30000 euros au contribuable, c’est 15 fois le PIB/hab d’un Africain ! L’Europe c’est l’Eldorado.

De nombreuses villes allemandes ne veulent plus être une terre d’asile.

http://actu.orange.fr/monde/videos/migrants-en-allemagne-...

En Suède, jusque là terre promise pour tout migrant, on a rétabli les frontières et les expulsions explosent.

http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/28/01003-201...

Faudra t-il une révolte généralisée pour que les gouvernants européens écoutent leur peuple et assument leurs obligations élémentaires, à savoir la protection de leur pays et de ses citoyens ?

Car à part Viktor Orban, on ne voit que des chefs d’Etat qui capitulent, totalement complices de  cette entreprise de démolition de la maison Europe.

Jacques Guillemain

 

Source : ripostelaique