L’ancien président de la République Nicolas Sárközy se produisait lors d’une réunion publique à Boulogne-Billancourt mardi. À la toute fin de son intervention, deux questions ont été posées par le public. La première concernait les islamistes partis de France pour rejoindre les égorgeurs de l’État islamique (ÉI) au Levant, les mesures qu’il comptait prendre contre eux et contre les pays qui financent les groupes terroristes comme l’Arabie séoudite et le Qatar. La seconde, posée par une étrangère, portait sur la « diversité ».
Concernant les tueurs islamistes, Nicolas Sárközy a refusé – ou oublié – de répondre sur les individus partis de France. Il n’a pas évoqué une seule mesure ni contre les traîtres à notre peuple, ni contre les occupants. Il s’est par contre longtemps attardé sur les vertus de la « diversité » au Proche-Orient.
Il en a profité pour revendiquer un soudain amour pour l’Iran, pour l’Irak, pour la Syrie, pour la Russie, rappelant sa proximité avec le Qatar en le défendant et refusant d’avancer des mesures contre les pays qui soutiennent les groupes terroristes.
Surtout, près de la moitié du temps de la réponse à la question a été consacré à Israël alors que l’entité sioniste n’avait été évoquée à aucun moment par l’intervenant. Il a livré encore une étonnante échelle des valeurs selon laquelle la démocratie elle-même devait s’effacer devant la diversité.
« Pour ces pays, il y a beaucoup plus important que la démocratie : il y a la diversité. […] C’est pour ça qu’il faut défendre le droit inaliénable à la sécurité d’Israël parce qu’un Moyen-Orient et un Proche-Orient sans Juif qui y sont depuis des millénaires, ce n’est plus le Moyen-Orient et c’est n’est plus le Proche-Orient. Ça ne s’appelle pas la démocratie, ça s’appelle la diversité.
Et enfin puisqu’on en est là, et que ce n’est pas votre question, mais que ce sera ma réponse, je suis étonné de ce qui va se passer dans quelques jours où une résolution du Parti socialiste voudrait faire reconnaître de façon unilatérale [sic] l’État palestinien [huées], quelques jours après les attentats odieux et sanglants de Jérusalem [applaudissements].
Là encore je vous dois ma vérité. Je n’accepterai jamais que l’on remette en cause le droit à la sécurité d’Israël. Jamais. [applaudissements nourris] C’est le combat de ma vie.
Je vais vous dire une chose. Je me battrais – Patrick tu le sais – pour que les Palestiniens un jour aient leur État. J’ai pris la responsabilité – qui a été bien critiquée, souviens-toi, Claude – de faire rentrer les Palestiniens à l’UNESCO. Mais la reconnaissance unilatérale, quelques jours après un attentat meurtrier, alors qu’il n’y a aucun processus de discussion de paix, au hasard d’une motion déposée par le Parti socialiste pour régler les équilibres entre eux, cela ne je ne peux pas l’accepter et je demande à mes amis de ne pas la voter. On veut jeter de l’huile sur le feu ? On veut tout compliquer ? » a déclaré Nicolas Sárközy, déclenchant l’hystérie parmi les nombreux juifs présents dans la salle.
L’ancien président a très lourdement insisté encore sur la « diversité » lors de sa réponse à la dernière question.
« Je veux continuer à promouvoir des hommes et des femmes de la diversité, parce que je veux que nous ressemblions à la France et non pas à une partie de la France » a-t-il déclaré, évoquant la France comme telle que conçue par le projet mondialiste. Ce raciste antiblanc a reconnu n’avoir nommé Rachida Dati au ministère de la Justice uniquement parce que c’est une étrangère : « J’avais voulu Rachida Dati comme garde des Sceaux parce que je m’étais dit que Rachida Dati, avec père et mère algérien et marocain, pour parler de la politique pénale, ça avait du sens. » a-t-il lancé. Cette déclaration a provoqué une polémique dans les médias, dont aucun n’a rappelé les implications de plusieurs frères de Rachida Dati dans des affaires criminelles, notamment des trafics de drogues internationaux.
« Ou que Rama Yade, cette jeune femme arrivée à 8 ans […] c’était important que nous la droite et le centre républicains nous représentions la France dans sa diversité, parce que la France d’aujourd’hui elle est comme ça. Et si vous ne représentez pas la France dans sa diversité, la France ne se reconnaîtra pas en vous. Donc je crois à la représentation de la diversité » a ajouté Nicolas Sárközy, dans des propos à l’opposé des discours tenus devant les Français blancs du sud du pays il y a seulement quelques jours contre l’immigration-invasion.
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