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vendredi, 02 septembre 2016

« La France ne lui donne pas assez à manger » : le clandestin menace de mort des agents de la SNCF

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2016

Par le 01/09/2016

A la suite d’un déclenchement d’alarme, deux contrôleurs du train reliant Marseille à Lyon sont intervenus dans un compartiment lors de l’arrêt en gare d’Avignon.

Deux individus, allongés sur des sièges, ont été suspectés d’être les auteurs de ces faits. Ils ont nié avoir tiré le signal d’alarme de façon intempestive. Sans billet, ils ont refusé de descendre en gare d’Avignon pour en acheter. Il était alors fait appel à la Surveillance générale (sûreté ferroviaire). Un des individus, très énervé, s’en est pris au contrôleur et à un agent de la Surveillance générale en l’insultant et le menaçant de mort.

Au poste de police, il a déclaré « qu’il n’avait rien à perdre, que la France ne lui donne pas assez à manger, ni de travail et qu’il fera couler le sang ». Il en profitait pour dégrader sa cellule de garde à vue. De nationalité camerounaise, le mis en cause est en situation irrégulière. Il fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. Entendu, il a reconnu s’être énervé et avoir menacé les contrôleurs car il avait déjà été verbalisé pour un voyage sans titre de transport mais a nié être l’auteur du déclenchement du signal d’alarme. Il fera l’objet d’une convocation par officier de police judiciaire prochainement.

Le Midi Libre

Merci à cathyB

 

Source : fdesouche

Toulouse : L'auteur de l'agression au couteau sur un policier mis en examen

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2016

YL avec AFP Publié le

L'agresseur du policier toulousain a été mis en examen et écroué. Il avait poignardé au cou un policier à l'intérieur du commissariat ce mardi, après avoir trompé sa vigilance.

Les faits se sont déroulés à l'accueil du commissariat de quartier de Toulouse centre © Pascale Lagorce

© Pascale Lagorce Les faits se sont déroulés à l'accueil du commissariat de quartier de Toulouse centre

L'agresseur présumé du policier poignardé au cou mardi dans un commissariat de Toulouse a été mis en examen ce jeudi soir pour "tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique", a-t-on appris auprès du parquet.

L'agresseur présumé, âgé de 31 ans, a été placé en détention provisoire. Souffrant de troubles psychiatriques, il a reconnu avoir porté un coup de couteau au policier, mais nié son intention de le tuer, selon le parquet.

L'enquête a montré qu'il était allé acheter un couteau "quelques heures auparavant", ce qui montre, selon le parquet, qu'"il inscrit son action dans le temps".
Il a expliqué "avoir eu le sentiment d'être suivi, observé par les policiers de la sécurité intérieure", et en frappant l'adjoint de sécurité, avoir voulu "atteindre un policier" de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), selon la même source.

Une expertise psychiatrique devrait être effectuée en urgence.

La victime, un jeune agent de sécurité, s'est vu prescrire 4 jours d'incapacité totale de travail (ITT).

Peu après 14H00, mercredi, un homme s'était présenté au commissariat du Rempart St-Etienne, en plein centre de Toulouse, pour déposer plainte pour le vol de son téléphone portable. Revenu peu de temps après, il avait poignardé l'agent de sécurité avant de tenter de lui subtiliser son arme de service et d'être interpellé.

L'agresseur n'était pas fiché pour radicalisation, mais avait déclaré lors de son interpellation "en avoir marre de la France", avait déclaré le procureur de Toulouse mercredi. Il était connu de la justice dans deux procédures qui avaient été abandonnées en raison de son état mental, à la suite d'expertises.

Didier Martinez, secrétaire régional du syndicat SGP-Police, a déclaré mercredi dans un communiqué que la victime "allait mieux", et estimé que "plus que jamais, cet événement suscite une vigilance maximale".
 

Rentrée des classes...

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2016

Ignace - Rentrée et réforme du collège

 

Source : medias-presse.info

Comment les USA chassent la France du marché iranien…

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2016

Nicolas Gauthier Eurolibertés cliquez ici

CrIrtkkXgAIA0tz.jpgOn devrait se pencher plus souvent sur la presse économique, riche d’enseignements politiques, enseignements assez peu relayés par les autres médias mainstream. La preuve par le mensuel Challenges du mois d’août dernier et ce volumineux dossier intitulé « Iran, la face cachée de l’Eldorado ». Soit l’occasion pour le lecteur d’apprendre l’existence de l’UANI (United Against Nuclear Iran).

De quoi s’agit-il ? D’une discrète officine qui, depuis fin juin, « appelle Airbus, Air France, Renault, Total, Engie, Vinci à renoncer à leurs contrats en Iran, » tout en sommant Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale de « défendre les droits de l’homme » à l’occasion de son récent voyage à Téhéran.

Qui sont les responsables de ce puissant lobby ?

« Un coup d’œil à la liste des fondateurs et membres du conseil de surveillance de l’UANI met en évidence des motivations moins nobles. On y trouve l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, ainsi que d’anciens patrons du Mossad, Tamir Pardo et Meir Dagan (décédé en mars dernier), dont le mandat avait été marqué par l’assassinat ciblé de scientifiques iraniens. »

Et le mensuel en question de révéler, citant « un ponte français de l’intelligence économique » : « Cette ONG est le faux nez des faucons américains et de leurs alliés de la ligne dure du Likoud israélien. C’est organisé par une vingtaine de types à peine, mais après le traumatisme de l’amende de BNP Paribas, ça peut faire du dégât. »

À ce titre, on rappellera que cette banque avait dû s’acquitter d’une amende record de neuf milliards pour avoir « violé » l’embargo unilatéralement décidé par les USA sur l’Iran…

Il y a effectivement de quoi faire peur aux plus grandes entreprises françaises, ce d’autant plus qu’elles savent n’être que de loin protégées par la diplomatie élyséenne. Exemple ? Le groupe PSA, récemment obligé, sous pression de General Motors, son actionnaire américain et minoritaire, de rompre le contrat historique le liant au groupe Khodro, géant de l’automobile iranienne, à la grande indifférence de notre gouvernement et au ravissement des constructeurs d’outre-Atlantique qui en profitèrent alors pour prendre notre place…

Pis, les gigantesques transactions financières qu’impliquent de tels accords commerciaux demeurent encore et toujours, de près ou de loin, soumis au contrôle bancaire américain. D’où la nécessité pour la France de faire transiter ses fonds par de complexes réseaux pouvant impliquer Dubaï, la Chine ou la Russie ; ce qui implique un important surcoût financier et une évidente baisse de compétitivité pour les entreprises tricolores.

En attendant, que fait l’État ? Quel État, au fait ? Le nôtre ? Quand on voit celui dans lequel il se trouve, on comprend mieux. Et quand on constate celui des instances européennes, on ne comprend que trop bien…

 

Source : synthesenationale