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vendredi, 15 février 2019

Marseille : 3 racailles qui se font passer pour des policiers écopent seulement d’une amende de 135€ !

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2019

Auteur : Pierrot
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Incroyable ! 3 racailles (probablement des allogènes) se servent d’un gyrophare, prennent en chasse une voiture, arrêtent son conducteur et se font passer pour des policiers de la BAC; ils écopent de seulement 135€ d’amende. Pas de prison avec sursis, pas de travaux d’intérêt généraux, seulement 135€ ! C’est moins qu’un stationnent gênant à paris…

France Bleu : « C’est un sketch, un très mauvais signal envoyé par la justice », s’exclame Rudy Manna, secrétaire régional PACA du syndicat Alliance Police national, lorsqu’il apprend la décision de la justice marseillaise concernant les trois « faux policiers », interpellés dans le 15e arrondissement dans la nuit de mardi à mercredi. Placés en garde à vue après avoir tenter un faux contrôle vers 3h30 du matin, ils ont été remis en liberté.

Bien connus des services de police, les individus âgés de 19, 25 et 29 ans, ont équipé leur voiture d’un gyrophare et ont pris en chasse un véhicule, obligeant son conducteur à s’arrêter. Ils se sont ensuite présentés comme un équipage de la BAC, sans savoir que l’homme qu’ils venaient de stopper était lui-même policier de la BAC Nord, en civil.

Le parquet a finalement décidé de ne pas les condamner pour s’être fait passer pour des agents de police, mais uniquement pour détention d’un gyrophare. Les trois hommes écopent donc d’une amende de 135 euros.


Source : : contre-info

samedi, 21 avril 2018

Montpellier (34) : Imad, un multirécidiviste, tue une retraitée et blesse un policier pour échapper à son arrestation

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2018

Par  le 21/04/2018

 
 
Depuis le 12 avril, il est l’un des hommes les plus recherchés de notre région. Ce matin-là, Imad K., 39 ans, a semé la mort sur son passage à Montpellier. Il a écrasé, avenue de Maurin, une retraitée de 78 ans, en échappant à une arrestation par la police. La vieille dame, percutée par sa voiture, n’a pas survécu à ses blessures. Cet homme qui, quelques instants plus tôt, avait également blessé un policier en lui fonçant dessus avec sa voiture, n’était en liberté que depuis quelques semaines.

Courant janvier, la cour d’appel de Montpellier avait donné tort au juge de la liberté et de la détention, qui l’avait placé fin décembre sous mandat de dépôt. Bien qu’ayant été déjà 12 fois condamné, il avait bénéficié d’une remise en liberté, les juges estimant que les dernières péripéties l’ayant envoyé derrière les barreaux n’étaient pas assez crédibles. […]

Peu après, les policiers narbonnais décident de venir demander des explications à ce dernier. Il les repère à leur arrivée, sur son lieu de travail, dans le quartier Tournezy, saute dans sa voiture, démarre en trombe et percute l’un d’eux, qu’il blesse à la jambe. Il échappe aux tirs de l’autre policier qui ouvre le feu sur son véhicule. […]

 

Midi Libre via fdesouche

vendredi, 24 novembre 2017

Calais. Un policier avait giflé un migrant : 6 mois de prison ferme

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

Le parquet, relevant que le migrant était menotté, avait requis 6 mois de prison ferme.

  • Le parquet, relevant que le migrant était menotté, avait requis 6 mois de prison ferme. | Photo d'illustration Ouest-France / Joël Le Gall
Un policier qui avait giflé un migrant à l'été 2016 dans un centre de rétention près de Calais a été condamné jeudi à six mois de prison ferme, au tribunal de Boulogne-sur-Mer.

Cet agent de la police aux frontières (PAF) assurait l'escorte d'un migrant jusqu'en salle de jugement du centre de rétention administrative de Coquelles. Il lui était reproché d'avoir, juste avant le passage devant le juge des libertés et de la détention, giflé le migrant, sous les yeux d'une greffière qui a ensuite témoigné contre lui.

« C'était un geste malheureux de protection, il n'a pas voulu gifler », a assuré de son côté son avocat Me Antoine Deguines. « Cette personne était assez agitée, elle se relevait tout le temps, il a craint un coup de tête et a allongé le bras qui est allé sur le visage de la personne ».

Révocation de sursis

En prononçant ces six mois ferme, le tribunal a suivi les réquisitions du parquet, qui avait relevé que ce geste avait été commis alors que le migrant était menotté. Le quadragénaire s'est également vu interdit de détention d'arme pendant cinq ans et interdit de fonction publique pendant deux ans avec sursis.

Il avait déjà été condamné pour violences sur concubine et le sursis qui avait alors été prononcé, de quatre mois, a été révoqué.

 

Source : ouest-france

mardi, 17 octobre 2017

Procès Mérah : Un policier avait identifié le terroriste mais a été ignoré car sa hiérarchie privilégiait la piste de l’ultra-droite

Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2017

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Mohamed Merah aurait-il pu être arrêté plus tôt? La question des failles du renseignement se trouve au coeur du dossier Merah.

REUTERS/Philippe Wojazer

L’ancien patron du renseignement toulousain est revenu ce lundi sur les failles de l’affaire Merah. Il a évoqué sans le vouloir une information classée secret défense.

L’ancien directeur régional du renseignement intérieur toulousain au moment de l’affaire Merah ne mesure pas tout de suite la petite bombe qu’il vient de lâcher. […] Le 15 mars 2012, jour de l’attentat de Montauban qui a coûté la vie à deux militaires, Christian Balle-Andui se remémore en effet avoir transmis à sa direction une note. Ce document comporte une douzaine de noms de djihadistes toulousains qu’il a identifiés et parmi lesquels se trouve selon lui le suspect. Parmi eux, celui de Mohamed Merah. Mais à ce moment précis, sa hiérarchie est sur la piste de l’ultra-droite. Son intuition restera sur des feuilles de papier. […]

Source 1 : L’Express

 

Source 2 : fdesouche

lundi, 25 septembre 2017

Un policier jugé pour avoir giflé un migrant

Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2017

Par N. L. J. |  

Le centre de rétention de Coquelles.  PH. ARCH. PH. PAUCHET.
Le centre de rétention de Coquelles. PH. ARCH. PH. PAUCHET.

Amené de force, l’homme a un comportement agité, l’un des deux policiers de son escorte lui porte alors un coup au visage.

La nature et les circonstances de ce coup ont fait débat au tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer. Des témoignages, dont celui de la greffière du tribunal de Coquelles, mentionnent une gifle. À la barre, le policier prévenu, âgé de 44 ans, évoque un geste réflexe de défense en réaction à un comportement agressif du migrant. Il mime un blocage porté au niveau des côtes.

«  Il y a bien eu gifle et elle ne se justifiait nullement. La personne, assise, était menottée et votre collègue la maintenait. À supposer que cette gifle fût un réflexe, cela n’atténue pas votre responsabilité. Comme policier, vous avez une obligation de sang-froid et de neutralité  », a tonné la procureure qui a requis que le prévenu soit condamné à six mois de prison ferme.

Son avocat, qui a plaidé pour la relaxe de son client, admet la matérialité de la gifle, mais contesté son caractère intentionnel : «  Elle se voulait repoussoir. »

Le fonctionnaire de police risque son poste. Il ne fait pour l’instant l’objet d’aucune mesure disciplinaire. Le tribunal correctionnel rendra son jugement le 23 novembre.

 

Source : lavoixdunord