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jeudi, 29 septembre 2016

Dimanche 2 octobre à Rungis, c'est le grand rendez-vous des patriotes...

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2016

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Orbán : un appel pour aider les chrétiens en priorité, couler les navires illégaux et lutter contre le nihilisme

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2016

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28/09/2016 – 07H00 Budapest (Breizh-info.com via Visegradpost.com) – Viktor Orbán est un habitué des déclarations choc. Et ce qu’il a dit après les vacances d’été n’a pas tardé à faire grand bruit. Pour le Premier ministre hongrois, tout d’abord, ce que ses «ennemis représentent aujourd’hui n’a rien à voir avec les pensées et les idées des grands penseurs libéraux du passé. Cela est du nihilisme pur, et ce point de vue nihiliste est parvenu furtivement à se répandre sur le monde et dans les institutions de l’Union européenne ».

« Aujourd’hui, la naïveté est la norme à Bruxelles »

Parlant des migrants, et affirmant que la faute ne leur appartient pas, il a tôt fait de désigner Bruxelles pour responsable. « Nous autres Européens n’avons même pas encore décidé ce que nous voulions faire ». « S’ils invitent ces malheureux, ils vont venir. Nous avons la possibilité maintenant d’utiliser le référendum pour faire dérailler les efforts de l’UE, et nous espérons que notre exemple fera écho à travers l’Europe et que commencera une vague, de sorte qu’après le printemps prochain une direction différente soit installée à la tête des institutions de l’Union. Il ne faut pas oublier que l’élite nihiliste pense l’Europe centrale comme une région ayant besoin de changement, d’une dilution de la population, » a souligné Viktor Orbán.

Le chef de l’exécutif hongrois a résumé ensuite les questions fondamentales à poser selon lui : « Nous devons répondre à ceci : voulons-nous des nations, ou voulons-nous une Europe unie ? Voulons-nous la famille et les enfants, ou ne pourrions-nous pas même décider de qui est un homme et qui est une femme ? Alors que le soixantième anniversaire du traité de Rome arrive au printemps prochain, nous devons répondre à ceci : avons-nous vraiment des valeurs communes à tous ? ».

« Nous avons besoin de zones sous contrôle en dehors de l’Union européenne ! Nous devons décider qui peut entrer et qui ne le peut pas ! »

Sur les migrants encore, le premier ministre hongrois a dit les choses clairement. Les nihilistes dont il avait parlé précédemment veulent la destruction de l’Europe telle qu’elle a été jusqu’à présent. « Pour eux c’est une occasion unique de pouvoir détruire l’Europe qui est fondée sur la Chrétienté et l’identité nationale afin de complètement modifier les fondations ethniques de l’Union européenne. Ils savent que les musulmans ne voteront jamais pour des partis avec des racines chrétiennes, et donc qu’avec une masse importante de musulmans, ils pourront écarter à jamais du pouvoir les partis conservateurs traditionnels. Mais la guerre est également une très grande opportunité pour les nations ayant des racines chrétiennes. Notre grande opportunité est de résoudre les discussions sur les migrants en dehors du politiquement correct. Notre stratégie porteuse d’espoir est avec le V4, et peut-être bientôt avec l’Autriche, de contraindre les élites à retirer ces décisions de leurs mains et les placer dans les mains des gens grâce aux référendums».

Enfin, Viktor Orbán a déclaré que les dirigeants européens doivent aider les chrétiens d’abord avant tout autre. « Si nous voulons aider, nous devrions aider à la racine du problème, etd’abord, nous devons aider les chrétiens. Si l’Europe sait ce qui est bon pour elle et veut une armée commune, alors elle doit dominer la mer Méditerranée et ses côtes, tout comme les anciens chefs militaires romains l’ont fait. Ils ont coulé tous les navires vides et non autorisés. Bien sûr, il faut sauver les migrants avant cela et les ramener en Afrique dans un camp de migrants conçu pour environ deux à trois millions de personnes, quelque part en Libye ».

Photo : EuropeanPeople’s Party/Wikimedia (cc)

 

Source : breizh-info

Le gouvernement britannique valide enfin le projet Hinkley Point !

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2016

Rédigé par Notre équipe le 28 septembre 2016.

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Incertain depuis le Brexit et le changement de gouvernement qu’il a entraîné, le projet de construction de deux réacteurs nucléaires de type EPR à Hinkley Point, en Grande-Bretagne, a finalement été validé de manière définitive par Theresa May. Une bonne nouvelle pour la filière nucléaire française comme pour le Royaume-Uni, qui voit ici le moyen de garantir sur le long terme la stabilité de son approvisionnement électrique tout en respectant ses objectifs de réduction des émissions de CO2. 

Un feu vert sous conditions

Le gouvernement britannique est finalement revenu à la raison. Après avoir fait durer le suspense sur la réalisation du projet Hinkley Point, Theresa May, en poste depuis mi-juillet, a certes établi une liste de conditions, mais elle a surtout confirmé l’accord de principe donné auparavant par son prédécesseur, David Cameron. Le projet de centrale nucléaire, résultat d’un partenariat entre le gouvernement britannique et un consortium d’entreprises emmené par l’énergéticien français EDF, devrait donc se dérouler comme prévu et permettre l’installation, dans le sud-ouest de l’Angleterre, de deux réacteurs EPR d’une puissance cumulée de 1650 MW.

Selon l’accord signé au mois d’octobre 2015 par le groupe français et son homologue chinois – China General Nuclear Power Corporation (CGN) –, celui-ci participera à hauteur de 33,5 %, soit 6 milliards de livres sur les 18 milliards d’investissements que représenteront la construction des deux réacteurs (24,5 milliards d’euros). Le groupe EDF financera quant à lui 66,5 % du projet (12 milliards de livres) et devra rassurer le nouveau gouvernement, qui craignait ces derniers mois une prise de participation croissante de la compagnie chinoise.

La Première ministre a fixé à ce titre plusieurs conditions destinées à garantir la sécurité d’approvisionnement en électricité du pays et la mainmise de l’Etat sur des installations jugées stratégiques pour la sécurité nationale. La centrale d’Hinkley Point devra donc fournir 7 % du courant au Royaume-Uni à partir de 2025 et ne pourra être revendue, même en partie, sans l’aval du gouvernement. Le groupe EDF devra s’engager ici à conserver ses parts intactes durant toute la phase de construction des réacteurs, et ne pourra à terme jamais descendre en dessous des 51 % de participation. Le « nouveau cadre légal » prévoit aussi que le gouvernement puisse intervenir dans une éventuelle cession de la part d’EDF une fois la centrale en service.

Un choix économique et écologique

En validant officiellement ce projet, le Royaume-Uni a finalement choisi un camp. Celui de la raison, sans doute, que l’on opposera en Europe aux utopistes allemands, qui persistent encore à croire que les énergies renouvelables peuvent aujourd’hui à elles seules alimenter des sociétés de plus en plus énergivores. En choisissant l’énergie nucléaire pour l’avenir, le gouvernement britannique veut s’assurer d’une production énergétique à la fois stable, bon marché et décarbonée. Ce qui ne l’empêche pas d’accompagner le développement lent mais progressif des énergies renouvelables.

L’énergie nucléaire, n’en déplaise à certains, est en effet l’alternative énergétique la plus rationnelle à l’heure où l’urgence climatique nous oblige à verdir nos mix énergétiques et à substituer aux combustibles fossiles des sources d’énergie non émettrices de CO2. L’exemple de l’Allemagne, contrainte de rallumer ses vieilles centrales au charbon très polluantes suite au retrait précipité (pour ne pas dire irréfléchi) du nucléaire, suffit à nous en convaincre. Les énergies renouvelables, même développées à leur maximum, ne sont pas en capacité aujourd’hui de répondre à la demande énergétique nationale ou mondiale, et doivent donc être épaulées.

Les Britanniques l’ont bien compris et envisagent, via ce projet, de renouveler progressivement plus de 20 % de leur parc nucléaire. Les deux EPR constitueront la première construction de centrale nucléaire dans le pays depuis vingt ans. Ils permettront de répondre à 7 % des besoins en électricité de la Grande-Bretagne sur une période de 60 ans, d’alimenter plus de 6 millions de personnes en électricité et de créer 25 000 emplois directs et indirects. Pour la suite, d’autres projets sont déjà en discussion, et EDF pourrait entreprendre la construction de deux EPR à Sizewell et aider le groupe chinois CGN à obtenir la certification afin qu’il bâtisse son propre réacteur, le Hualong de 1 000 MW, à Bradwell dans l’est de l’Angleterre. Si l’on ajoute enfin les projets potentiels portés par d’autres compagnies comme l’Américain Westinghouse ou le Japonais Hitachi, l’énergie nucléaire semble avoir de beaux jours devant elle outre-Manche.

 

Source : 24heuresactu

Les petits Calais européens

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2016

Les petits Calais européensDes petits Calais, jungles sauvages, amas de détritus, conditions de vie innommables, il y en a dispersés sur tout le territoire européen par l’incurie des bobos socialisants mondialistes qui nous gouvernent. Tension, chaos, sont le lot des villes et campagnes envahies.

A Rome, hier, une vingtaine de jeunes migrants Africains a été expulsé de trois immeubles par les forces de l’ordre. Avec fracas  ! Ces clandestins, totalement en infraction, jeunes et forts, se sont rebellés, se sont couchés par terre et ont bloqué l’avenue Tiburtina, un axe important de la capitale italienne ce qui a généré d’immenses bouchons. Les 20 manifestants ont été identifiés, tandis que 50 autres restaient devant leur squat en refusant de bouger.

Les agents ont essayé de calmer les Africains mais cela n’a pas été facile. Les coups ont fusé. Le dirigeant du service d’ordre a eu le nez cassé ! Une enquête est entrain de déterminer qui est le coupable. Un autre de ces « hôtes » arrivés en Europe sans qu’on les invite, a été arrêté après qu’il a lancé un chariot de courses contre une voiture de la police, tandis qu’un Nigérian de 28 ans a été dénoncé pour menaces et résistance aux forces de l’ordre.

Ces petits Calais, il y en a à la pelle en Europe. La question essentielle est de savoir : quand ils sont expulsés, ces migrants pour la plupart jeunes et bien portant, où vont-ils ?

Certains disparaissent dans la nature. D’autres déplacent leur camps quelques mètres plus loin ou sont relogés sur tout le territoire italien comme la France veut le faire avec ses clandestins de Calais. La seule solution trouvée par les politiciens aux commandes, c’est de déplacer le problème et les noirs problèmes comme des petits pions sur un échiquier fermé. Sans régler aucun des problèmes ! Pour ne pas changer ce sont l’incurie, le laisser-aller, l’imprévoyance et l’imprudence qui caractérisent le mieux ces politiques migratoires funestes et désastreuses qui durent depuis des décennies. Avec l’explosion sociale au bout !

Francesca de Villasmundo

http://roma.corriere.it/notizie/cronaca/16_settembre_27/i...